MAZZO Jean-Baptiste

Attendant, en compagnie de ses camarades Francis Maria* et Louis Roux-Guisto*, son patron qui devait revenir avec une camionnette récupérer les fromages conservés à la vacherie de L’Authion, Jean-Baptiste Mazzo vit arriver une patrouille menaçante de la 90e Panzer Grenadier et chercha à s’enfuir en direction de Mille Fourches, abattu à trois cent mètres de la vacherie. Son corps fut retrouvé le 11 mai 1945, avec le bras droit coupé et les jambes ligotées par un ceinturon de l’armée allemande, la tête ayant disparu. Il fut inhumé à Roquebillière deux jours plus tard.
Son nom figure sur la plaque apposée dans la vacherie de L’Authion comme sur la stèle érigée en 1948 au col de Turini.