Par Frédéric Stévenot
Né le 10 avril 1914 à Soultz (Haut-Rhin), tué le 29 août 1944 à Soissons (Aisne) ; gardien de la paix ; marié ; FFI.
Fils de Georges Schmitt et de Marie Louise Gasperement, sans profession, domiciliés à Sainte-Croix-aux-Mines (Haut-Rhin) en 1944, Louis Schmitt était marié à Marie Henriette Singhoff.
Selon l’acte de décès, Louis Schmitt est mort « rivière d’Aisne », à la passerelle du mail. Domicilié à Soissons (au 4 de la rue de Mantoue), il était alors gardien de la paix.
Âgé de 30 ans. Le nom de Louis Schmitt apparaît sur une plaque commémorative au n° 12 de la rue Méchain, à Soissons, en l’honneur des volontaires et FFI morts lors des combats de la libération de la ville. Il figure également sur le monument aux morts de la ville.
L’acte de décès porte la mention « Mort pour la France », ce que ne confirme pas le site « Mémoire des hommes ».
Par Frédéric Stévenot
SOURCES. État civil de Soissons (acte n° 323 du 30 août 1944). — Site Internet : Mémorial GenWeb ; Généalogie Aisne.