Ouvrier porcelainier, militant démocrate de l’Indre pendant la Seconde République
En 1882, Joseph Bonnet, se trouvant alors céramiste à Malakoff en région parisienne, perçut une rente annuelle de 100 Francs dans le cadre de la loi d’indemnisation des victimes de la répression impériale. Le faible montant de cette indemnité semblait correspondre à quelques semaines de prison et une remise en liberté sans procès entre décembre 1851 et janvier 1852. Indemnisé au titre de ses préjudices subis dans l’Indre, son nom n’apparaissait pas dans les procédures judiciaires engagées suite au coup d’Etat.
SOURCES : L’Echo des Marchés octobre 1882. – Notes de J-L Labbé.