Ouvrier peintre à Issoudun (Indre) ; militant démocrate pendant la Seconde République.
Emprisonné plusieurs semaines à la suite du coup d’Etat du 2 décembre 1851 puis remis en liberté sans ouverture d’un procès, Nicolas Florent perçut à partir de 1882 une rente annuelle de 100 Francs suite à la loi d’indemnisation des victimes de la répression politique impériale.
SOURCES : L’Echo des Marchés et L’Eclaireur du Berry, octobre 1882. – Notes de Jean-Luc Labbé.