Démocrate-socialiste à Argenton-sur-Creuse (Indre), victime de la répression politique qui suivit le coup d’Etat du 2 décembre 1851.
En 1882, sa veuve Françoise née Lamy perçut une rente annuelle de 400 Francs suite à la loi d’indemnisation des victimes du pouvoir impérial. Ce nommé Legrand ne figurait pas dans les procédures judiciaires de décembre 1851 et janvier 1852 ; peut-être avait-il été condamné en 1856 ou 58.
SOURCES : L’Echo des Marchés, octobre 1882. – Notes J-L Labbé.