Militant démocrate à Argenton-sur-Creuse (Indre), victime de la répression politique suite au coup d’Etat du 2 décembre 1851. Décédé avant 1882.
En 1882, sa veuve Marie née Pouriat, couturière toujours domiciliée à Argenton, perçut une rente annuelle de 400 Francs en application de la loi d’indemnisation des victimes du pouvoir impérial.
SOURCES : L’Echo des Marchés octobre 1882. – Notes J-L Labbé.