MASSICOT

Militant démocrate à Argenton-sur-Creuse (Indre), victime de la répression politique suite au coup d’Etat du 2 décembre 1851. Décédé avant 1882.

En 1882, sa veuve Marie née Pouriat, couturière toujours domiciliée à Argenton, perçut une rente annuelle de 400 Francs en application de la loi d’indemnisation des victimes du pouvoir impérial.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article191344, notice MASSICOT, version mise en ligne le 9 avril 2017, dernière modification le 9 avril 2017.

SOURCES : L’Echo des Marchés octobre 1882. – Notes J-L Labbé.

rebonds ?
Les rebonds proposent trois biographies choisies aléatoirement en fonction de similarités thématiques (dictionnaires), chronologiques (périodes), géographiques (département) et socioprofessionnelles.
Version imprimable