CELOR Pierre, Louis, Joseph, Jean dit GRENET ou GRELET Pierre

Par Jean Maitron, Claude Pennetier

Né le 19 avril 1902 à Tulle (Corrèze), mort le 6 avril 1957 à Paris ; employé de commerce ; militant communiste au Maroc, membre du comité central du Parti communiste (1929-1932), membre du bureau politique (1928-1930 ou 1931) ; exclu du Parti communiste en 1932 pour « travail fractionnel », accusé par le PC d’être en relations avec la police ; dirigeant du Rassemblement national populaire, secrétaire adjoint du Parti populaire français (1942-1944).

Pierre Celor vu par <em>l’Humanité</em>
Pierre Celor vu par l’Humanité

Fils de Pierre Celor, ouvrier coiffeur mort en 1916 des suites de blessures de guerre, et de Marie-Antoinette Bournel, morte en 1914 au Maroc, Pierre Celor (écrit souvent par erreur Célor) fut recueilli, son père étant mobilisé, par un oncle ancien agent de police tandis que son frère, futur ouvrier électricien, était élevé par une tante. Il fréquenta l’école primaire jusqu’à l’âge de treize ans en France et à Alger où son père s’était installé. Le 16 février 1919, il se maria, jeune, avec Anna Grinblat, née le 11 février 1898 à Waziers (Nord). Il divorça et se remaria en en 1929 avec « La camarade Vera, une communiste polonaise » ; c’était un mariage blanc pour légalisation. Enfin, il vécut avec Marthe Louise Lacorne (dite Louisette Lacorne*) qu’il épousa. Elle resta sa compagne jusqu’à sa mort.

À sa sortie de l’école primaire en 1915, Pierre Celor commença à travailler aux chemins de fer de l’État à Paris, aux Ateliers du Champs de Mars, et y resta jusqu’en 1917. Il suivit pendant un an des cours du soir de comptabilité, puis entra à la maison Saint-Frères où il faisait des courses et un peu de dactylographie. À la fin de 1920, il fut envoyé par cette entreprise comme sous-directeur et comptable de la succursale au Maroc. Il disait dans son autobiographie de décembre 1931 avoir eu le désir de revoir ce pays où était enterrée sa mère. Licencié par la direction et expulsé pour son action contre la guerre du Rif, il rentra à Paris dans la maison Haïk en 1925 puis la quitta en août de la même année pour devenir permanent communiste. Son parcours politique pendant ces années 1915-1925 est exposé dans un texte autobiographique du 17 juillet 1931. C’est aux chemins de fer, entre 1915 et 1917, qu’il subit l’influence des minoritaires du syndicat des cheminots : « Cette influence anarcho-syndicaliste a été grande en moi [...] Le groupe de la Vie ouvrière (Monatte*) était mon guide. » Il lisait la Vague et le Journal du Peuple. En mai-juin 1919, à la suite des campagnes de Raymond Péricat* dans l’Internationale, il adhéra au premier « Parti communiste » devenu, en décembre, Fédération communiste des soviets. Il militait au 14e Soviet (XIVe arr.), écrivit dans le journal le Soviet un article sur l’insoumission et adhéra en 1919 au syndicat des employés. Au moment du congrès de Tours, il ne comprit pas le maintien de dirigeants « chauvins » comme Cachin dans le nouveau parti. Il ne comprit, écrira-t-il, ses erreurs « sectaires » qu’après la lutte contre L.-O. Frossard* et la campagne contre l’occupation de la Ruhr. Il adhéra alors, en 1923, au Parti communiste et participa à l’organisation du parti à Casablanca où il devint secrétaire en 1924, s’efforçant d’assurer les liaisons avec les « nationaux révolutionnaires ». La police le soupçonna d’être avec deux autres Français, Alamy* et Pinet*, à l’origine de la diffusion de tracts communistes glorifiant Abd-el-Krim et réclamant l’évacuation du Maroc.

Alors qu’il était militaire, il fut expulsé en 1925. Dans son autobiographie Pierre Celor exposait ainsi cet épisode. De santé précaire (il subira d’ailleurs en 1927 l’ablation du rein gauche), il fut ajourné trois fois avant d’être affecté en 1925 à la 32e section des infirmiers militaires à Casablanca. Mais la police ayant intercepté sa correspondance, il fut mis en cellule pendant un mois. Il en sortit pour être ramené en France, l’autorité militaire le considérant comme « nuisant à la sécurité du corps d’occupation ». Il fut alors réformé. De retour à Paris, il fut renvoyé en Algérie pour reprendre l’organisation de la lutte contre la guerre coloniale après avoir suivi à Paris une école de huit jours de la Jeunesses communistes des « techniciens antimilitaristes illégaux ».

En liaison avec Jacques Doriot*, il assura le travail illégal et la liaison avec les nationalistes à Oran, Orléansville, Tlemcen... Au début de 1926, ayant perdu sa situation professionnelle, il fut désigné par le bureau politique (BP) du PC comme secrétaire de la section coloniale près du comité central (CC).

Devenu permanent politique à Paris, Pierre Celor siégea à la direction des Jeunesses communistes. Il entra à la commission centrale coloniale du Parti communiste comme responsable de la documentation et collabora au Bulletin hebdomadaire de la presse. Les Cahiers du Bolchevisme publièrent le 21 janvier 1926 un article de sa plume, intitulé « Les travailleurs coloniaux en France. » Il écrivait également dans l’Humanité sur les questions militaires et coloniales (parfois sous le pseudonyme d’Étienne Digard et Grenet). Il collabora aussi à la Caserne. Celor était fréquemment invité aux réunions du Bureau politique consacrées aux question coloniales. À la section coloniale, il disait avoir fait exclure les « colonialistes » du parti et accéder des « indigènes » à la direction. Il fut confirmé à sa fonction lors du congrès de Lille.Selon la police : « il était également chargé de missions auprès des dirigeants du Kuomintang, 320 rue Saint-Jacques (VIe arr.), où il s’employait à obtenir des renseignements concernant la révolution chinoise. Mais les Chinois se lassèrent de ses importunités et cessèrent rapidement toute relation » (Arch. Jean Maitron, fiche de police Pierre Celor). En l’absence d’Henri Barbé*, les Jeunesses communistes étaient dirigées par André Ferrat, Henri Lozeray et Celor. Manouilski, secrétaire du Komintern, désireux de s’appuyer sur la jeune génération pour renouveler la direction du parti et appliquer la nouvelle politique « classe contre classe », donna rendez-vous secrètement à ces trois militants, dans les jardins du Luxembourg, à l’automne 1927. Il leur fit comprendre l’espoir que plaçait le Komintern dans les cadres des JC. Ceux-ci y virent un encouragement supplémentaire à la coordination de leur travail dans le PC. Après un séjour à l’hôpital Saint-Louis vers novembre-décembre 1927, pour soigner une atteinte de tuberculose, Pierre Celor entra dans les organes de direction. Il expliquait en ces termes cette affectation : « Après le IXe Exécutif, sur la base de ma participation à la fixation de la tactique « classe contre classe », je suis désigné collaborateur du secrétariat du parti. Fin 1928, je suis coopté au BP provisoire qui prépare le 6e congrès : responsable du travail militaire, de l’autodéfense, de la liaison avec les Jeunesses communistes. »

Il siégea au bureau politique en 1928 et fut nommé conseiller technique chargé du travail antimilitariste et de la liaison avec les jeunes auprès du secrétariat. Le BP du 15 mars 1928 le chargea des rapports avec les « illégaux » et du renforcement du secrétariat avec pour mandat d’assurer la liaison avec les sections du CC. Au sein du secrétariat, Celor était chargé du travail politique et François Chasseigne de la correspondance. Du 17 juillet au 2 septembre 1928, il fit partie de la délégation qui se rendit à Moscou pour assister au VIe congrès de la IIIe Internationale communiste. La commission française souhaita la constitution d’un bureau politique composé de : Semard*, Thorez*, Benoît Frachon, Cachin*, Racamond*, Monmousseau*, Ferrat*, Midol*, Celor et Doriot*. Il prolongea son séjour en URSS jusqu’à la fin novembre pour suivre un traitement dans un sanatorium. Le BP du 30 novembre 1928 le chargea de diriger la commission « anti ». À la réunion du 7 décembre 1928, J. Doriot lui proposa de reprendre la responsabilité de la section coloniale mais Celor refusa. Le VIe congrès du Parti communiste français, réuni du 31 mars au 7 avril 1929 à Saint-Denis, l’élut au comité central. Il appartint au bureau politique et au secrétariat collectif avec Barbé*, Benoît Frachon et Thorez. Pierre Celor, alors recherché par la police, fut, avec Maranne* et Havez*, un des responsables de la préparation de la réunion clandestine du comité central à Achères (Seine-et-Oise, Yvelines) avant le 1er août 1929. La police intervint, mais la quinzaine de militants recherchés (dont Celor) put s’enfuir en appliquant les consignes qui leur avaient été données par le service de sécurité ; seul Thorez caché dans un placard fut arrêté. Lors de cette « affaire du complot », Celor fut recherché pendant dix mois par la police et remplit dans l’illégalité les fonctions de membres du secrétariat. Le bureau politique le désigna comme « responsable politique du service secret du parti ». Membre de la cellule Renault, il fut désigné en août 1930 comme secrétaire à l’organisation de la région parisienne jusqu’à mi 1931. Barbé et Celor, principaux animateurs du « noyau de la jeunesse », faisaient vivre le Parti communiste au rythme d’une politique ultra-révolutionnaire. Ils agissaient « au nom de la base » sans attendre l’accord des organismes réguliers de direction. En 1929, il participa à la direction d’une grève des mineurs de fer à Piennes (Meurthe-et-Moselle). À partir du début de l’année 1930, l’Internationale communiste s’inquiéta du recul de l’implantation et de la perte de lecteurs de la presse communiste. Elle chargea bientôt Barbé et Thorez de modifier radicalement la situation du PCF. Signe de la perte d’influence, le nom de Celor disparut de la liste du bureau politique désigné par le comité central des 17 et 18 juillet 1930 ; les membres passaient de quinze à huit : Barbé, Cachin, Doriot, Ferrat, Monmousseau, Semard, Thorez et Lozeray (Ph. Robrieux, Maurice Thorez, p. 133.) Revint-il au BP dans les mois qui suivirent ? Barbé et l’Humanité le présentent comme membre de cette instance en juillet 1931 (Souvenirs, op. cit.). Il fit partie, avec Barbé, Thorez et Benoît Frachon, de la délégation française au XIe plénum du comité exécutif de l’Internationale (avril 1931) où Manouilski critiqua les insuffisances du Parti communiste français.

Manouilski vint en France, en juillet 1931, procéder à une enquête sur les « agissement fractionnels » du noyau de la Jeunesse. L’affaire Barbé-Celor commençait. Celor n’assista pas à la réunion du bureau politique durant laquelle Raymond Guyot fit son autocritique en dénonçant le groupe. Il était parti à Moscou en juin, « pour échapper aux poursuites intentées contre lui » affirme sa fiche de police, ou appelé par le Komintern pour représenter le parti français selon le témoignage de sa femme qui le rejoignit en août. Pierre Celor refusa de faire son autocritique malgré les sollicitations du PCF, de l’IC et, semble-t-il, d’Henri Barbé lui-même. Barbé et Celor furent interrogés à Moscou, à partir d’octobre 1931, par une commission d’enquête chargée de découvrir un indicateur de police dans le « groupe ». Il semble que le premier soit sorti de cette épreuve ébranlé dans sa confiance en Celor. Le comité central du PCF, réuni les 2, 3 et 4 décembre, entendit les rapports de Marty et de Duclos et releva Celor de ses fonctions nationales et internationales (retiré du bureau politique, blâmé publiquement, relevé de sa délégation à l’IC, relevé de sa candidature au praesidium de l’IC et de celle au secrétariat politique de la CE de l’IC [l’Humanité, 27 décembre 1931]). À cette époque, Pierre Celor relatait ainsi son « affaire » à la demande de la commission des cadres du Komintern : « J’ai été exclu [...] pour avoir été un des dirigeants du groupe clandestin qui dans le PCF a la principale responsabilité dans la mauvaise situation du parti (politique sectaire mécanique [...] analyse erronée de la situation en France, liquidation de fait du front unique. En outre des fautes du groupe, j’ai émis des doutes quant à l’appréciation du XIe plénum sur la social-démocratie et j’ai nié l’existence du groupe [...] C’est à la suite de ces fautes très graves que je suis à l’ELI. » Son passage à l’ELI (école léniniste internationale), sous le pseudonyme d’Arthur Riquet semble avoir été court (questionnaire de l’ELI n° 1508). À Moscou, les accusations contre lui se précisèrent à partir de la réunion d’un « collège d’enquête », le 8 mars 1932, en présence de Havez, responsable des services de sécurité du PCF, et de Barbé (qui, selon Louise Celor, se comporta en accusateur plus qu’en témoin). Il fut accusé de liaison avec les services de police. Selon le témoignage de son épouse, Celor se vit d’abord proposer d’aller à l’École léniniste internationale pour se racheter, puis, devant son refus et sa volonté de retourner en France, les Soviétiques conservèrent son passeport. Il tenta une démarche auprès de l’ambassade de France qui lui aurait fait des offres inacceptables. Sa famille lui envoya des papiers. Louise et Pierre Celor arrivèrent en France le 8 octobre 1932. La veille, le Parti communiste avait annoncé son exclusion. La commission de contrôle des cadres, écrivit Albert Vassart, « avait acquis la certitude que Celor était un policier » (Mémoires inédits p. 331). L’Humanité publia, du 8 au 12 octobre, une série d’articles consacrés au « traître Celor ». Un seul portait, sous la signature de Marcel Cachin (Barbé affirma avoir rédigé lui-même tous ces articles), des accusations précises : « En 1925, en pleine guerre du Rif, Celor, qui a cette époque était soldat au Maroc, fut arrêté avec des tracts contre la guerre et d’autres documents du Parti. Interrogé, pour sauver sa peau, il a vendu le groupe communiste de Casablanca. En récompense, il fut libéré sans aucune inculpation, ni poursuite et, en même temps, chose bizarre, il fut aussi libéré du service militaire. D’après ses déclarations, il fut seulement envoyé en France. Avait-il consenti à " travailler " pour la police ? C’est encore un secret. » (9 octobre 1932) En fait Celor n’était plus militaire à l’époque de son expulsion. Les archives consultées par Georges Oved ne contiennent aucun élément qui aille dans le sens de ces accusations. Alamy et Pinet avaient été expulsés en même temps que Celor et, quelles que soient les éventuelles révélations qu’ils aient pu faire à la police, celles-ci n’ont entraîné aucune arrestation (renseignements fournis par G. Oved).

Pierre Celor purgea huit mois de prison pour insoumission aux périodes militaires de réserve. Chef de service aux Établissements Cauvin-Yvosse (ou Yvose), 55 rue de Lyon, à Paris (XIXe arr.), il n’eut aucune activité politique de 1932 à 1941. Il était établi fabricant de vêtements imperméables à cette dernière date. Il rejoignit après février 1941 le Rassemblement national populaire de Marcel Déat et siégea à son comité central. Georges Albertini* en fit son conseiller personnel et le décrivit ainsi : « national -socialiste fanatique, anticommunsite, antisémite, antimaçon et anticapitaliste » (Rigoulot, op. cit., p. 97). Le Cri du Peuple du 9 septembre 1942 publia un article annonçant son adhésion au Parti populaire français : « La raison révolutionnaire et mes sentiments unitaires s’accordent pour que je rejoigne le PPF et son chef Jacques Doriot, qui affirme sa volonté de conduire un parti au combat, lié au peuple, homogène, hiérarchisé, discipliné. » Le Bureau politique le coopta et le désigna comme secrétaire adjoint chargé des problèmes corporatifs. Devant l’avance alliée, il partit le 19 août 1944 à Neustadt (Allemagne), où il dirigea l’école des cadres du PPF. Arrêté en Italie en 1945 et envoyé en France, il fut condamné le 16 décembre 1947 à sept mois de prison par la Haute cour de justice. La grâce du 14 juillet 1949 lui donna la liberté. Son état de santé ne lui permit pas, semble-t-il, de reprendre une activité professionnelle. Celor collabora aux travaux d’un centre de documentation anticommuniste - le BEIPI - où il retrouva Henri Barbé. Leur évolution politique comme leur conversion au catholicisme intégriste les rapprochaient malgré les souvenirs douloureux de leur séjour commun à Moscou. Celor mourut à l’âge de cinquante-cinq ans, le 6 avril 1957.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article19140, notice CELOR Pierre, Louis, Joseph, Jean dit GRENET ou GRELET Pierre par Jean Maitron, Claude Pennetier, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 8 septembre 2012.

Par Jean Maitron, Claude Pennetier

Pierre Celor vu par <em>l'Humanité</em>
Pierre Celor vu par l’Humanité

ŒUVRE : La Politique communiste dans la région parisienne (rapport présenté au Comité régional du 12 août 1930), 1930. — Discours prononcé au Comité central du 17 juillet 1930, 1930. — « Contribution à l’Histoire de Parti communiste français : « le groupe Barbé-Celor », (en collaboration avec Henri Barbé), Est-Ouest, 16-30 juin 1957, n° 176, 1er-15 juillet 1957, n° 177.

SOURCES : Arch. Nat. F7/13090, F7/13171. — Arch. Jean Maitron, Pierre Celor. — Arch. Komintern, RGASPI, Moscou, 495 270 7611 : deux questionnaires pour le CE de l’IC du 26 juin 1931 ; texte autobiographique du 17 juillet 1931 ; autobiographie non datée (fin décembre 1931 ou début 1932) ; questionnaire de l’ELI ; questionnaire de Louise Lacorne. — L’Humanité, 1928-1932. — Bulletin du Comité d’Information ouvrier et social, n° 1, avril 1944. — Est-Ouest, 16-30 juin 1957, n° 176, note 9 p. 5. — Albert Vassart, Mémoires, op. cit. — Louis Couturier, Les « grandes affaires » du Parti communiste français, 1972. — Philippe Robrieux, Maurice Thorez : Vie secrète et vie publique, 1975. — Philippe Robrieux, Histoire intérieure du Parti communiste 1920-1945, 1980. — Victor Barthélémy, Du communisme au fascisme, 1978. — Jacques Varin, Jeunes comme JC, t. 1, 1978. — Henry Coston, Dictionnaire de la politique française, t. 1, 1967. — Branko Lazitch, Biographical Dictionnary of the Komintern, — Jean-Paul Brunet, « Une crise du Parti communiste français : L’affaire Barbé-Celor », Revue d’histoire moderne et contemporaine, juillet-septembre 1969. — Danielle Tartakowsky, « Le "groupe" Barbé-Celor », L’Humanité, 12 février 1980, p. 13. — Renseignements fournis par G. Oved qui prépare une thèse d’État sur « La gauche française et le nationaliste marocain — 1905-1955 ». — Pierre Rigoulot, Georges Albertini, Socialiste, collaborateur, gaulliste, 2012, Perrin. — Renseignements fournis par l’I.M. Thorez. — Notes de Jacques Girault, de Philippe Robrieux et de René. Lemarquis. — Notice Pierre Celor du DBK.

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