CHALLAYE Félicien, Robert

Par Nicole Racine

Né le 1er novembre 1875 à Lyon (Rhône), mort le 26 avril 1967 à Paris ; essayiste politique et social ; militant anticolonialiste et pacifiste ; président de la Ligue internationale des combattants de la paix.

Fils d’Eugène Challaye, comptable, et de Marie-Antoinette Funke, directrice d’école professionnelle, Félicien Challaye fit ses études à Lyon et entra, en 1894, à l’École normale supérieure dans la même promotion des lettres que Charles Péguy. Il a raconté, dans Péguy socialiste, paru en 1954, son amitié pour Péguy et comment il s’est alors rallié au « socialisme péguyste » (lorsque Péguy ouvrit sa librairie, en mai 1989, Challaye fit partie des amis qui se groupèrent pour la soutenir). Il fut reçu premier à l’agrégation de philosophie en 1897, fit son service militaire en 1897-1998 à Romans (Drôme). Après une année d’études à l’Université de Berlin en 1898-1899, il entreprit deux ans de voyage autour du monde (septembre 1899-août 1901) comme boursier de l’Université de Paris (fondation Albert Kahn). Il visita ainsi l’Égypte, l’Inde, l’Australie, la Nouvelle Zélande, puis Java, l’Indochine française, la Chine du Sud, le Japon.

Dans Souvenirs sur la colonisation publiés en 1935, Challaye a raconté comment ses premiers voyages en Inde britannique au début de 1900, en Indochine française en 1901, lui firent comprendre que « la colonisation n’est pas une entreprise humanitaire ; elle est un régime d’oppression politique ayant pour fin l’exploitation économique des peuples soumis ». Lorsque Péguy, qui venait de fonder les Cahiers de la Quinzaine, lui demanda des souvenirs de ses voyages pour les Cahiers, Challaye choisit - nous dit-il - « celui où l’expérience m’avait paru apporter le démenti le plus net aux idées enseignées alors sur les bienfaits de la colonisation française ; celui aussi, où j’estimais qu’il était à la fois possible et urgent d’inaugurer une politique différente : la question d’Indochine » (Péguy socialiste, p. 131). C’est ainsi que sous le titre « Courrier d’Indochine », le 7e cahier de la troisième série (janvier 1902) des Cahiers de la Quinzaine publia les lettres adressées à Péguy par Challaye après son premier voyage en Indochine. Challaye y dénonçait les brutalités de l’administration et les méfaits des missions catholiques. Ce premier « Courrier d’Indochine » fut suivi d’un second (9e cahier de la quatrième série) et Challaye continua à confier un certain nombre de ses souvenirs de voyage aux Cahiers. Notons le 13e cahier de la quatrième série (mars 1903), « Impression sur Java, fragment de Journal », sur la colonie hollandaise.

En 1903, Challaye se fixa à Paris après avoir été jugé indésirable au lycée de Laval (Mayenne), ville dans laquelle il avait participé à la création d’une Université populaire. C’est à Paris qu’il enseignera la philosophie après la guerre et qu’il sera professeur au lycée Concordet de 1919 à 1937.

Marié à Jeanne Boudot, divorcée d’Albert Mathiez, il eut un fils, Jean.

En 1905, Challaye fit partie de la mission conduite par l’explorateur Savorgnan de Brazza, chargé d’une enquête ordonnée par le ministre des Colonies, à la suite de la révélation de scandales au Congo français. Le journaliste Paul Bourde, lecteur des Cahiers ayant remarqué l’étude consacrée à la colonisation hollandaise, le recommanda Challaye à Brazza, avec la caution morale de Péguy. En février 1906, le 12e cahier de la septième série des Cahiers publia le dossier rapporté par Challaye sous le titre « Le Congo français » avec une préface de Charles Péguy. Il y dénonçait les crimes commis envers les indigènes par les compagnies concessionnaires et une administration complice.

A son retour en France, il devint professeur suppléant au lycée de Laval (Mayenne) pour deux années. L’inspecteur d’académie, en avril 1902 insistait sur sa valeur et ajoutait « ce n’est pas précisément l’homme qui convient au milieu lavalois ». En 1903, il se fixa à Paris après avoir été jugé indésirable au lycée de Laval, ville où il avait participé à la création d’une Université populaire. Refusant toute nomination en province, jusqu’à sa titularisation en janvier 1914, il fut suppléant dans divers lycées parisiens (Louis le Grand, Michelet, lycée Hoche à Versailles, Janson de Sailly, lycée Hoche à Versailles, Charlemagne, parfois en classes préparatoires à Saint-Cyr). Ces périodes d’enseignement alternaient avec des congés (par exemple pour une fonction de chef adjoint du secrétariat particulier du ministre des finances de janvier à octobre 1907 ou le secrétariat d’Albert Kahn en 1921).

Pendant la guerre, il ne se montra pas encore le pacifiste radical qu’il deviendra plus tard et il était proche des socialistes ralliés à la défense nationale comme en témoigne la publication en brochure, en 1916, par le Comité de propagande socialiste d’une conférence qu’il prononça sur « la signification morale de la guerre actuelle ». Mobilisé comme sergent d’infanterie, Challaye combattit sur le front d’octobre 1914 à octobre 1916. Sa blessure à la face lui valut la Croix de guerre 1914-1918. Non réformé, il fut envoyé pendant trois ans en mission en Extrême Orient (Corée, Japon).

Revenu en France, il enseigna comme professeur au lycée Concordet de 1921 à sa retraite en 1937 avec des compléments de service enseignement dans d’autres établissements (lycée Racine, lycée de jeunes filles de Versailles). Ses services furent entrecoupés par des autorisations d’absences données pour la tenue de diverses réunions.

Son enseignement était jugé excellent. Parmi les rapports d’inspection, en 1925, l’Inspecteur général notait « esprit fin, spirituel, son enseignement est concret, varié personnel ; il intéresse et séduit ». Le proviseur du lycée en 1933 le caractérisait ainsi : « […] sa correction de professeur est si grande, son enseignement est si vivant et ouvert et en même temps si méthodique, si bien adapté aux nécessités de la formation intellectuelle, qu’il est très recherché et très aimé comme maître et que c’est pleine justice ».

Marié à Jeanne Boudot, divorcée d’Albert Mathiez, il eut un fils, Jean. Il habitait le IXe arrondissement puis avec sa famille vécut au Vésinet (Seine-et-Oise).

Le 10 juin 1911, la Revue du Mois, dirigée par Émile Borel publia un article « Politique internationale et journalisme d’affaires » dans laquelle Challaye dénonçait dans l’affaire de la N’Goko Sangha, compagnie concessionnaire du Congo français, le rôle d’un journaliste, rédacteur de politique étrangère au Temps, André Tardieu ; il dénonçait également le rôle de ce même journaliste dans l’affaire de l’Homs-Bagdad. Challaye reprit ces accusations dans son livre Un apprenti dictateur : André Tardieu, paru d’abord aux éditions de la « Révolution prolétarienne » en 1930, puis à la Librairie du Travail en 1932 et 1934.

Challaye effectua de nombreux voyages : au Japon et en Chine, comme chargé de mission du gouvernement français, entre 1917 et 1919, en Indochine française en 1918-1919, en Tunisie en 1934, d’où il rapporta des études. Toute sa vie, il resta un anticolonialiste engagé. Ses positions anticolonialistes entraînèrent l’« affaire Challaye » en 1930 et l’ouverture d’une enquête par le ministère de l’Instruction publique. À la suite des procès de Saïgon et de Hanoï (mai-juin 1933), il présida le « Comité d’amnistie et de défense des Indochinois et peuples colonisés » (présidents d’honneur : Henri Barbusse*, Paul Langevin*, Victor Margueritte*, Romain Rolland* ; secrétaire : Francis Jourdain*).

Dès avant la Première Guerre mondiale, Challaye s’intéressa aux problèmes internationaux. En 1909, il collabora au volume L’Année, édité par la librairie de Pages Libres, en rédigeant « L’Année internationale ». Le 10 mai 1913, il publia un article dans la Revue du Mois, « Les rapports franco-allemands », dans lequel il dénonçait l’esprit de revanche. Il s’intéressa également au mouvement ouvrier et consacra en 1909 un livre à Syndicalisme révolutionnaire et syndicalisme réformiste (dédié à Anatole France) qui conclut à la nécessité des deux courants dans le mouvement ouvrier français. Il professait une grande admiration pour Jean Jaurès et pour sa lutte en faveur de la paix (il lui consacrera deux livres). Lorsqu’il apprit son assassinat, bouleversé, il prit la décision de se désabonner des Cahiers de la Quinzaine ; la mort de Péguy, au début de la guerre, empêcha Challaye de se brouiller avec son ami de jeunesse.

Pendant la guerre (qui lui valut la Croix de guerre 1914-1918), il ne se montra pas encore le pacifiste radical qu’il deviendra plus tard et il était proche des socialistes ralliés à la défense nationale comme en témoigne la publication en brochure, en 1916, par le Comité de propagande socialiste d’une conférence qu’il prononça sur « la signification morale de la guerre actuelle ».

Il devint pacifiste « intégral » après la Première Guerre mondiale, sous l’influence d’ouvrages comme ceux de Georges Demartial* qui traitaient des responsabilités de guerre. « La certitude d’avoir été dupé lors de ma consciencieuse participation à la guerre de 1914 - comme je l’aurais été si j’avais participé à la guerre de 1870 en croyant à l’innocence de mon pays - contribua tout particulièrement à fortifier mon amour de la paix, et à en faire sortir un pacifisme intégral, c’est-à-dire un pacifisme condamnant toute guerre, quel que soit son prétexte, et repoussant tout moyen de guerre entre peuples.

« Je compris qu’au moment où éclate une guerre, il est absolument impossible, du moins dans les pays belligérants, de découvrir quel est le véritable agresseur. Le plus souvent, d’ailleurs, il y a des deux côtés une volonté d’agression. Je compris qu’il n’y a aucune différence entre armée défensive et armée offensive, les armements servant à la défense étaient les mêmes que ceux qui servaient à l’attaque, et pouvaient instantanément se transformer en moyens d’agression. » (La Philosophie du pacifisme)

Ce pacifisme intégral devait l’amener à refuser toute guerre et à faire sienne la phrase de Bertrand Russel : « Pas un des maux que l’on voudrait éviter par la guerre n’est un mal aussi grand que la guerre elle-même ». Ainsi s’expliquent les positions rassemblées dans la brochure éditée à ses frais par l’auteur, Pour la paix sans aucune réserve (1932). L’avènement d’Hitler en Allemagne ne le conduisit pas à modifier ses thèses qu’au contraire, il poussa à ses ultimes conséquences. Dans Pour la paix désarmée même en face de Hitler (1934), il écrivait que l’occupation étrangère était préférable à la guerre. Il préconisait inlassablement une paix fondée sur la négociation, le désarmement et dénonçait la politique des alliances militaires.

Président de la « Ligue Internationale des combattants de la paix » (LICP), il prit la parole dans de nombreuses réunions contre la guerre. Il écrivit dans Le Barrage devenu en 1934 l’organe de la LICP en remplacement du Combat pour la Paix ; puis dans La Patrie Humaine lorsqu’elle servit d’organe à la LICP. Challaye prônait une politique de désarmement. Il donna son témoignage en faveur des objecteurs de conscience (notamment en faveur d’Eugène Guillot* en 1930). Il anima les campagnes pacifistes de la LICP contre le réarmement, les alliances militaires, la psychose de guerre. En mars 1936, au moment de l’occupation de la Rhénanie, il rédigea le tract « Nous ne marchons pas » qu’il fit répandre à 200 000 exemplaires en quelques jours. Challaye fit adhérer la LICP au Front populaire, mais sous certaines conditions en ce qui concernait la politique extérieure ; il mettait en garde contre toute croisade antifasciste, notamment vis-à-vis de l’Allemagne hitlérienne. En 1936, la LICP lança des campagnes contre la loi de deux ans, contre le pacte franco-soviétique.

En 1937, Challaye démissionnait, à la suite du congrès de Tours, du comité central de la Ligue des droits de l’Homme (LDH) avec sept autres membres appartenant comme lui à la minorité pacifiste. Il expliqua les raisons de sa démission par la carence de la Ligue dans la question du colonialisme, par l’abandon des conceptions pacifistes sur l’organisation de la sécurité, par son attitude envers l’Allemagne hitlérienne, par son attitude dans la guerre d’Espagne et sur la question des procès de Moscou (le 18 avril 1937, Challaye avait envoyé une lettre de protestation au secrétariat général de la LDH pour protester contre la façon unilatérale dont les Cahiers de la Ligue rendaient compte des procès - voir Cahiers des Droits de l’Homme, 15 juin-1er juillet 1937).

En septembre 1938, Challaye effectua en Allemagne un voyage sous l’égide de l’Association des professions françaises en accord avec le Deutsche Arbeit Front, dans un esprit de rapprochement franco-allemand. À son retour, il écrivit un article dans La Grande Revue d’octobre 1938.

Félicien Challaye professa en 1938 un cours de philosophie au Centre confédéral d’éducation ouvrière de la CGT (qui fut publié par l’Institut supérieur ouvrier sous le titre « Cours de Philosophie. Esquisse d’une morale nouvelle »). En septembre 1939, il fut signataire du tract « Paix immédiate ». Durant l’Occupation, Challaye, comme d’autres syndicalistes et socialistes pacifistes ralliés à la collaboration franco-allemande, écrivit dans L’Atelier (1943-1944) et dans Germinal (1944). Cela lui valut de voir ses œuvres frappées d’interdit par le Comité national des écrivains. En août 1945, le conseil supérieur d’enquête de l’Éducation nationale, prononça la suppression de son honorariat et la suspension de sa pension pendant cinq ans.

En 1951, Challaye fut associé par Émile Bauchet à la fondation du Comité national de résistance à la guerre et l’oppression (CNRGO) dont l’organe était la Voix de la Paix (premier numéro 15 janvier 1951).

Félicien Challaye laissa une œuvre abondante ; il écrivit des ouvrages sur la philosophie, le socialisme, le mouvement ouvrier, les problèmes coloniaux, la Chine, le Japon, des manuels pédagogiques à l’intention des écoles primaires. Dans La Philosophie du Pacifisme, testament du vieux pacifiste, il écrivait cette phrase qui résume toute sa vie : « Non, pas de paix dans l’honneur, ni dans la justice, ni dans la liberté. La paix tout court. La paix sans relation avec aucune des idées en elles-mêmes les plus légitimes, ni avec les plus nobles mots les exprimant. La paix considérée comme un absolu. »

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article19287, notice CHALLAYE Félicien, Robert par Nicole Racine, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 24 mars 2021.

Par Nicole Racine

ŒUVRE CHOISIE : Au Japon et en Extrême-Orient, A. Colin, 1905, IV-271 p. — Le Congo français, 1906, 119 p. (Cahiers de la Quinzaine, 12e cahier de la VIIe série). — Pierre Mille, F. Challaye, Les deux Congo devant la Belgique et devant la France, 1906, 95 p. (Cahiers de la Quinzaine, 16e cahier de la VIIe série). — L’Année. — 1. L’année internationale, par F. Challaye, Librairie de « Pages libres », 1909. — Le Congo français, la question internationale du Congo, F. Alcan, 1909, II. 316 p. — Syndicalisme révolutionnaire et syndicalisme réformiste, F. Alcan, 1909, 156 p. — La signification morale de la guerre actuelle..., L’Humanité, 1916, 15 p. (Comité de propagande socialiste pour la défense nationale). — Le Mouvement ouvrier au Japon, Librairie du Parti socialiste et de L’Humanité, 1921, 111 p. — L’Énigme de la Chine actuelle, Ligue des droits de l’Homme, 1927, 56 p. — Un aspirant dictateur, André Tardieu, Impr. spéciale et éditions de La Révolution prolétarienne, 1930, 24 p. (2e éd., Librairie du Travail, 1932, 32 p., édition revue et augmentée, 1934, 37 p.). — Pour la paix sans aucune réserve. Thèse de F. Challaye, suivie d’une discussion entre Th. Ruyssen, F. Challaye, G. Canguilhem, J. Le Mataf, et de textes de B. Russell et d’Alain sur la vraie et la folle Résistance, Nîmes, Impr. coopérative « La Laborieuse », Documents des « Libres Propos », 1932, 71 p. — (7e édition revue et augmentée, Paris, chez l’auteur, 1936, 16 p.). — Pour la paix désarmée même en face de Hitler, Le Vésinet, chez l’auteur, 22 janvier 1934, 23 p. — Les origines de la Guerre mondiale, les responsabilités russes et françaises, Paris, 55 rue Lamarck, 32 p. [1934]. — F. Challaye et Marguerite Reynier, Cours de morale à l’usage des écoles primaires supérieures et des cours complémentaires (1re année), F. Alcan, 1934, 4e éd., VIII-259 p. — Idem, Cours de morale et instructions civiques à l’usage des écoles primaires supérieures et des cours complémentaires (2e année), F. Alcan, 1934, 4e édition, VIII-248 p. — Souvenirs sur la colonisation, Libr. Picard, 1935, 210 p. — La Crise de la Ligue des droits de l’Homme, Impr. du Palais, 1937, paginé 77-99 [139], extrait de La Grande Revue, novembre 1937. — Jaurès, Mellotée, 1937, 319 p. (nouvelle édition 1948, 333 p.). — Jaurès et la limitation des conflits, Paris, L’auteur, 55 rue Lamarck, s.d., 16 p. — La Formation du socialisme. De Platon à Lénine, F. Alcan, 1937, 192 p. — La Chine, le Japon et les puissances, Rieder, 1938, 96 p. — Un cours de philosophie à la CGT, s.l.n.d., paginé 359-373, extrait de La Grande Revue, juin 1938. — Huit jours de septembre en Allemagne (fragments de journal), Impr. du Palais, paginé 203-231, extrait de La Grande Revue, octobre 1938. — Cours de philosophie. Esquisse d’une morale nouvelle, Centre confédéral d’éducation ouvrière, 1939, 35 p. (Publications de l’Institut Supérieur Ouvrier, XXX). — Histoire de la propriété, PUF, 1941, 124 p. — Cours de morale et instructions civiques, à l’usage des écoles primaires supérieures. Adaptation aux nouveaux programmes, PUF, 1941, 7 p. — Bergson, Mellottée, 1947, 312 p. — Freud, Mellottée, 1948, 387 p. — Péguy socialiste, Amiot-Dumont, 1954, 335 p. — La Philosophie du pacifisme, Auberville-sur-Mer, Comité national de résistance à la guerre et à l’oppression, 1958, 48 p. (supplément à La Voie de la Paix, n° 74, 25 février 1958).

SOURCES : Arch. Nat. F7/12 962, F7/12 968, F7/12 969, F17 2457061, AJ 194. — Souvenirs sur la colonisation, op. cit. — Péguy socialiste, op. cit. — Who’s Who in France 1967-68, J. Lafitte. — La Voie de la Paix, juin 1967, article d’Émile Bauchet. — Association amicale des anciens élèves de l’École Normale Supérieure, 1968, notice nécrologique par A. Alba.— Notes de Jacques Girault.

ICONOGRAPHIE : Souvenirs sur la colonisation, op. cit.

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