CHAMSON André

Par Cécile Duret, Nicole Racine, Guy Putfin

Né le 7 juin 1900 à Nîmes (Gard), mort le 9 novembre 1983 à Paris ; écrivain, conservateur adjoint du Musée de Versailles (1933-1939), conservateur du Petit-Palais (1945-1959), directeur général des Archives de France (1959-1971) ; co-fondateur de l’hebdomadaire Vendredi en 1935.

Issu d’une famille cévenole d’origine paysanne (Jean Chamson et de Madeleine Aldebert), André Chamson resta toujours marqué par ses origines protestantes, la tradition républicaine et dreyfusarde de sa famille. Lui-même s’est toujours voulu de « la race des camisards » et il avait fait sien leur fameux « Register » (Résistez), bien avant son engagement dans la lutte antifasciste. Le thème de la « résistance », si fondamental dans son œuvre littéraire, s’ancre profondément dans sa tradition protestante et camisarde. Il naquit à Nîmes où s’était établi avec ses trois fils son grand-père paternel, Jules Chamson, paysan des montagnes qui, vers sa quarantième année, avait fondé une usine aux portes de la ville. Après la ruine de la fabrique détruite par un incendie, son fils Jean Chamson se lança dans les affaires à Alès, mais sans beaucoup de succès. Le jeune André connut une enfance pauvre, partagée entre Alès et Le Vigan. Il était fréquemment envoyé chez sa grand-mère Aldebert du Vigan, qui appartenait à l’Eglise méthodiste et qui l’élevait dans la même tradition religieuse (André Chamson a dépeint sa grand-mère dans Le Chiffre de nos jours). Il était entré au lycée Jean-Baptiste Dumas à Alès en 1906 ; mais les ennuis d’argent de ses parents devenant inextricables, la famille se replia au Vigan où l’enfant entra à dix ans à l’école primaire ; il reprit le lycée en 1912. En octobre 1916, il entra en première au lycée de Montpellier où il fit également sa philosophie. « Je suis alors, comme des millions de Français, patriote, mais pacifiste » (Devenir ce qu’on est, p. 41). La proximité de ses racines terriennes, les difficultés financières que connurent ses parents firent qu’André Chamson s’est toujours proclamé du « parti des petites gens ». Ses parents étaient radicaux-socialistes, profondément républicains.

En octobre 1918, il arrivait à Paris pour préparer le concours d’entrée à l’École des Chartes. Socialiste de sentiment plus que d’idées, il assista un temps en 1919 aux réunions du Groupe des étudiants socialistes révolutionnaires où il noua des amitiés et il participa dans ses rangs à la manifestation du 1er mai 1919. « L’amour de la poésie et l’amour de la paix scellent mes premières amitiés parisiennes. À la Sorbonne, je me lie avec Henri Petit et Jacques Kayser. À la manifestation Jaurès, où nous défilons devant Anatole France, avec Jean Prévost », rappelait-il dans Devenir ce qu’on est. Le père d’André Chamson mourut en juin 1919. Reçu à l’École des Chartes, André Chamson menait la vie d’un étudiant pauvre, donnant des leçons pour vivre. Il se liait aussi avec Louis Guilloux chez qui il retrouvait régulièrement H. Petit, J. Grenier, parfois G. Duveau et J. Claparède. En 1923, il commençait à écrire Étienne, dont un seul chapitre, Attitudes, fut publié. Il sortit de l’école des Chartes en 1924, après avoir soutenu une thèse sous la direction de Camille Jullian sur la géographie historique et l’histoire de l’évêché d’Arisitum du VIe au VIIIe siècle. Il épousa en juillet 1924 à Nîmes une jeune chartiste, Lucie Mazauric, fille de l’ancien conservateur des musées archéologiques de Nîmes. Après avoir vécu de divers expédients, il fut nommé à la Bibliothèque nationale où il ne resta que quelques mois. Lucie Mazauric a évoqué dans le premier tome de ses mémoires les premières années parisiennes du jeune couple provincial, le milieu de leurs amis, les petits cercles littéraires qu’ils formaient. En 1925, André Chamson achevait Roux le Bandit, histoire vraie d’un déserteur qui refusait de partir à la guerre de 14 au nom de ses convictions religieuses. Publié en 1925 chez Grasset dans les Cahiers verts de Daniel Halévy, Roux le Bandit lança André Chamson sur la scène littéraire et lui fit obtenir le prix Blumenthal. Il lui ouvrit également le Paris des Cahiers verts chez D. Halévy, où il se lia avec Jean Guéhenno.

Proche de Jacques Kayser et de Richard Cantinelli, André Chamson fut tôt introduit dans le milieu radical. Le premier, Jacques Kayser, membre du cabinet d’Édouard Daladier, ministre de l’Instruction publique, le fit entrer comme chef adjoint du cabinet, fonction qu’il remplit jusqu’à la chute du ministère en mars 1926. Le second, Richard Cantinelli, qui était alors bibliothécaire à la Chambre des Députés, lui conseilla de passer le concours ouvrant l’accès aux services de l’Assemblée nationale. Admis en 1926, André Chamson fut secrétaire législatif à la Chambre des Députés et affecté à la commission de l’Enseignement et des Beaux-Arts jusqu’en 1933. Il devint ainsi familier du monde politique et parlementaire et participa même à la campagne législative de son cousin Charles Berthézenne, élu député radical-socialiste du Gard en 1928.

C’est également en 1926 qu’il commença à collaborer à la NRF et à Europe, où le fit entrer Jacques Robertfrance*, le jeune secrétaire de rédaction des éditions Rieder, désireux de promouvoir une nouvelle génération littéraire. André Chamson donna son premier texte à Europe en février 1926, à l’occasion de l’hommage qui fut rendu à Romain Rolland* pour son soixantième anniversaire. Avec trois autres jeunes écrivains, Jean Prévost, Dominique Braga et Philippe Soupault, il participa à l’ensemble publié sous le titre « Une jeunesse et Romain Rolland ». En 1928, il publiait, toujours dans Europe, « La Révolution de Dix-neuf », témoignage sur sa génération, la « première ligne de jeunesse épargnée ». Il continua à collaborer à Europe durant les années trente après que son ami Jean Guéhenno eut été nommé rédacteur en chef. Il accepta de faire partie du comité directeur de la revue mis en place en mai 36 après le départ de ce dernier.

Sa notoriété littéraire s’accrut avec la publication en 1927 des Hommes de la route et de « L’homme contre l’histoire », édité dans un volume des Cahiers verts, Ecrits, où se retrouvaient les signatures de Chamson, Grenier, Jouve, Malraux, Petit, puis, en 1928, du Crime des Justes. En août de la même année, Chamson et sa femme participèrent aux Décades de Pontigny sur le thème « Jeunesses d’après-guerre, à cinquante ans de distance : 1878-1928 ». La joute oratoire qui opposa Chamson à Malraux sur le sujet de la Révolution marqua les témoins, Gide, Schlumberger, Desjardins, Roger Martin du Gard.

En 1930, paraissaient les Histoires de Tabusse (Tabusse fut porté au cinéma en 1948). André Chamson poussa Jean Paulhan à consacrer un numéro spécial de la NRF d’hommage à Mistral pour l’année du centenaire ; il y donnait des « Affirmations sur Mistral », développant les thèmes de « L’Homme contre l’histoire », mai 1930. Au tournant des années trente, l’intérêt croissant d’André Chamson pour la politique, se traduisit significativement dans son œuvre : Tyrol (1930) posait le problème des minorités nationales, Héritages (1932) traitait de la fin du monde rural traditionnel ; en 1934, Chamson mettra en scène des ouvriers dans L’année des vaincus. En février 1933, il participait à l’« Union pour la Vérité » à un débat sur « les positions révolutionnaires non marxistes » de la jeunesse.

André Chamson posa alors sa candidature au poste de conservateur adjoint du Musée de Versailles ; il fut nommé à ce poste en septembre 1933. Au moment du 6 février 1934, Chamson venait d’entrer au cabinet de Daladier comme chef adjoint et il y resta jusqu’à la démission de Daladier. Très marqué par les événements de février 1934, il s’engagea dans la lutte antifasciste et adhéra au CVIA puis devint membre de l’Association des écrivains et artistes révolutionnaires (AEAR) lorsqu’elle s’ouvrit largement aux écrivains antifascistes. À la fin de l’année 1934, il publia L’Année des vaincus, roman évoquant la défaite que l’avènement du nazisme faisait subir au pacifisme. En 1935, désireux de mener en intellectuel une action efficace en faveur du succès du Front populaire, il se consacra avec passion au lancement de l’hebdomadaire Vendredi, qu’il allait diriger avec Jean Guéhenno et Andrée Viollis. Le premier numéro de Vendredi sortit le 8 novembre 1935 ; il se présentait comme un journal, animé et dirigé par des intellectuels, libre et indépendant des partis politiques, préconisant la plus large union, allant - selon la formule - « d’André Gide à Jacques Maritain » et Louis Martin-Chauffier fut choisi comme rédacteur en chef, aidé par André Ulmann. Vendredi connut un grand succès comme hebdomadaire du Front populaire ; à la fin de 1935, il tirait à 100 000 exemplaires. André Chamson y donnait fréquemment des articles (citons le 6 décembre 1935, « Contre la guerre civile. À propos de couteaux de cuisine »). Pour le premier anniversaire de Vendredi, André Chamson écrivait : « Notre fidélité ? Elle s’exprime, politiquement, par notre attachement au Front populaire. Mais cet attachement n’est lui-même que la traduction d’une vocation plus profonde. Nous sommes du « parti de l’homme » et ce que nous défendons, ce sont les chances que l’homme porte en lui » (6 novembre 1936). Cependant, le déclin du Front populaire, les dissensions entre membres de la rédaction entraînèrent le déclin de l’hebdomadaire. Le 13 mai 1938, les trois directeurs se retirèrent laissant à L. Martin-Chauffier le soin de poursuivre la publication et Vendredi parut jusqu’en novembre 1938.

Outre son action à Vendredi, André Chamson, « de plus en plus dévoré par les passions politiques » (Devenir ce qu’on est, p. 61) s’était engagé dans la lutte électorale. Il participait à la campagne en faveur du Front populaire, prenant la parole en de nombreux endroits, en banlieue, dans la région parisienne. Il prenait part aux manifestations qui précédèrent et suivirent l’avènement du Front populaire, celle du 14 juillet 1935 (où il prononça un discours, représentant la région Sud-Est), celle du 14 juillet 1936. Il avait collaboré à la rédaction du serment qui fut lu le 14 juillet 1935 à Buffalo : « Nous faisons le serment solennel de rester unis pour désarmer et dissoudre les ligues factieuses, pour défendre et développer les libertés démocratiques, et pour assurer la paix humaine. »

André Chamson prenait sa place dans les grandes manifestations antifascistes des années 1935-1937 sur le thème de la défense de la culture. Il participait avec de nombreux écrivains à la préparation du Congrès international des écrivains pour la défense de la culture qui se réunit en juin 1935 à Paris. Il subissait alors l’attrait que l’URSS et le communisme exerçaient sur les intellectuels. À la veille du Congrès des Écrivains, il écrivait dans Monde (30 mai 1935) : « Tout homme qui défend la culture a les yeux tournés vers l’URSS. » Le 23 juin 1935, à la séance « Nation et Culture », il prononçait un discours, « Le nationalisme contre les réalités nationales » : « C’est par le nationalisme que l’on s’efforce de sauver tout un ordre qui ne trouverait plus en lui assez de forces pour se soutenir. » En juillet 1937, il partait pour Valence en Espagne au IIe Congrès international des Ecrivains pour la défense de la culture. Les 16 et 17 juillet 1937 il fit à Paris, au théâtre de la Porte-Saint-Martin où se tenaient les dernières réunions, le compte rendu d’ensemble du congrès. Après son voyage en Espagne, il écrivit Retour d’Espagne. Rien qu’un témoignage (1937), publié d’abord dans Vendredi. À l’été 1936, André Chamson était parti pour l’URSS avec un groupe de lecteurs de Vendredi. A. Gide, à peine de retour de son propre voyage, avait tenu à rendre visite à Chamson pour le mettre en garde contre un jugement superficiel et l’engager à publier dans Vendredi ce qu’il lui donnerait de son retour de l’URSS. Au cours de leur voyage, les Chamson furent surtout reçus par des écrivains et revinrent toujours amis de l’URSS. Vendredi, comme il avait été convenu, publiait le 6 novembre 1936 l’Avant-propos au Retour de l’URSS de Gide, mais Chamson comme Guéhenno ne voulurent pas, par la suite, publier dans l’hebdomadaire, en novembre 1937, une réponse de Gide à un violent article d’I. Ehrenbourg paru dans les Izvestia. Il leur semblait alors que toute attaque contre l’URSS était inopportune en pleine guerre d’Espagne.

En 1939, il publiait La Galère, roman sur le 6 février. Il accompagnait Daladier, à titre personnel, en Corse et en Tunisie. Pendant la campagne de 1939-1940, capitaine de réserve, il était mobilisé et attaché à l’état-major de la 5e Armée sous les ordres du général de Lattre. Après l’armistice, il alla diriger les dépôts-refuges des chefs-d’œuvre évacués des musées nationaux, au sud de la Loire, notamment dans la région de Montauban, ville dans laquelle il resta de fin octobre 1940 à la fin 1942. De son expérience de guerre naquirent Quatre mois, notes prises au jour le jour qui parurent juste avant l’armistice, puis Écrit en 1940... composé en octobre 1940 à Montauban « pour le jour de la liberté » (qui ne put paraître qu’en juillet 1944, et fut dédié à son ami Jean Prévost). Citons aussi Le Puits des miracles (envoyé à Paris en 1943, mais qui ne put paraître qu’en juillet 1944 aux Éditions de Minuit), Le Dernier village (qui parut en 1946), évocation de la guerre et de la défaite ; les Fragments d’un Liber veritatis, écrits en 1941-1942, publié en 1946, réflexion sur la création et le métier d’écrivain. Après le 11 novembre 1942 et l’arrivée des Allemands à Montauban, les collections du Louvre furent dispersées dans les châteaux des environs. Chamson s’installa alors au château de La Treyne, près de Souillac ; il entrait en rapports avec les maquis du Lot, pour lesquels il devint le commandant Lauter. Après le débarquement de la 1re Armée française du général de Lattre en Provence (août 1944), il partit rejoindre son ancien chef laissant officiellement la garde des dépôts nationaux à sa femme. Il organisait un bataillon, composé surtout d’Alsaciens-Lorrains cantonnés dans la région, et réunissait son bataillon avec ceux du colonel Berger (André Malraux) formant ainsi la brigade « Alsace-Lorraine » qui sera incorporée à la Ire Armée française. Il prit part ainsi à la campagne d’Alsace et d’Allemagne.

Fin 1945, André Chamson devint conservateur du Petit Palais, où il organisa de nombreuses expositions. Il s’éloignait peu à peu de la politique, confiant à Jean Queval en 1950 : « Depuis que je suis revenu de la guerre, je n’ai plus le désir de signer des manifestes » ; mais il ajoutait que toute sa vie, que tout ce qu’il avait fait et écrit, depuis Roux le bandit jusqu’au Puits des miracles, était une protestation contre la guerre. André Chamson qui avait été élu en 1951 président de la branche française des PEN Clubs, en fut élu en 1956 le président international ; élu à l’Académie française en 1956, il y entra en 1957. Il fut de 1959 à 1971, directeur général des Archives nationales.

André Malraux, devenu ministre d’État, chargé des Affaires culturelles, en 1959, proposa au général de Gaulle de nommer André Chamson à la direction des Archives. Le général de Gaulle, aurait demandé si la tradition ne voulait pas qu’on nomme un chartiste à la tête des Archives. Ce à quoi Malraux a pu répondre qu’André Chamson avait aussi fait l’École des chartes. André Chamson fut directeur général des Archives de France du 1° octobre 1959 jusqu’à sa retraite en mars 1971.
André Chamson garda un mauvais souvenir de mai 1968. En effet, Il était cette année là président du jury du festival de Cannes, en sa qualité de romancier et d’académicien. Or, le Festival de Cannes, ouvert le 10 mai 1968 fut officiellement annulé le 19 mai, après la démission, le 18 mai, de plusieurs membres du jury, dont Louis Malle, Roman Polanski, Monica Vitti, Terence Young.
André Chamson augmenta le rayonnement des Archives par l’organisation de grandes expositions nationales, notamment sur Les Droits de l’Homme (1968), Napoléon tel qu’en lui-même (1969), La France de Saint-Louis (1970), et par l’installation de la Cité interministérielle de Fontainebleau. Il posa la première pierre du dépôt central des microfilms au château d’Espeyran, dont il avait négocié la donation au ministère des Affaires culturelles.
Il est enterré avec son épouse, Lucie Mazauric, dans les Cévennes, sur la commune de Valleraugue, sur les pentes du mont Aigoual.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article19360, notice CHAMSON André par Cécile Duret, Nicole Racine, Guy Putfin, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 27 mai 2017.

Par Cécile Duret, Nicole Racine, Guy Putfin

ŒUVRE CHOISIE : Attitudes, Nîmes, J. Fabre, 1923, 19 p. — Roux le bandit, Grasset, 1925, 219 p. (Les Cahiers Verts). — Les hommes de la route, id., 1927, 255 p. — L’homme contre l’histoire, id., 1927, 135 p. — A. Chamson, A. Malraux, J. Grenier, H. Petit, Écrits, id., 1927, XVI-272 p. — Le crime des Justes, id., 1928, 235 p. — Clio ou l’Histoire sans les historiens, E. Hazan et Cie, 1929, 127 p. — Histoires de Tabusse, « Horizons de France », 1930, 219 p. — Héritages, Grasset, 1932, 319 p. — L’Année des vaincus, id., 1934, 260 p. — Retour d’Espagne. Rien qu’un témoignage, id., 1937, 132 p. — La Galère, Gallimard, 1939, 293 p. — Quatre mois, carnet d’un officier de liaison, Flammarion, 1940, 141 p. — Écrit en 1940..., Gallimard, 1944, 32 p. — Le Puits des miracles, Gallimard, 1945, 239 p. — Le dernier village, Mercure de France, 1946, 254 p. — Fragments d’un liber veritatis (1941-1942), 131 p. — La Neige et la fleur, id., 1952, 357 p. — Le Chiffre de nos jours, id., 1954, 415 p. — Devenir ce qu’on est, Paris, Namur, Wesmael-Chartier, 1959, 210 p. — La Superbe, Plon 1967, 551 p. — La Reconquête : 1944-45, id., 1975, 222 p.

SOURCES : Arch. Nat. 72 AJ 45. — J. Quéval, André Chamson, Mercure de France, août 1950, p. 396-404. — Dictionnaire biographique contemporain, Pharos, 1954. — Nouveau Dictionnaire national des contemporains, 1964. — A. Chamson, Devenir ce qu’on est, op. cit. [Ce jugement critique sur sa vie et son œuvre est une source importante]. — Rolfe Léonard-H., The Novels of André Chamson, New York, Vantage press, 1971, 204 p. — Lucie Mazauric (Mme André Chamson), Avec André Chamson..., Plon, 1972, t. 1 : Ah Dieu ! que la paix est jolie ; t. 2 : « Vive le Front populaire ! ». — Lucie Mazauric, Ma vie de châteaux, Perrin, 1967. — Le Monde, 11 novembre 1983. — Cécile Duret, André Chamson, 1919-1939, un intellectuel dans la cité, mémoire de DEA. Histoire du 20e siècle, IEP, 1995.

ICONOGRAPHIE : Lucie Mazauric, Avec André Chamson, op. cit. — Filmographie : voir L.-H. Rolfe , The Novels of André Chamson, op. cit.

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