BEY Georges, Henri

Par Jean-Louis Ponnavoy

Né le 17 novembre 1921 à Dijon (Côte-d’Or), exécuté sommairement le 27 mai 1944 à Dijon ; menuisier ; résistant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).

Georges Bey était le fils de Désiré Auguste, employé au PLM et de Anne Célestine Tarnier, sans profession. Il était célibataire et exerçait le métier de menuisier. Il demeurait à Dijon.
Il entra dans la Résistance aux Forces françaises de l’Intérieur (FFI) au maquis Henri-Bourgogne.
Il fut abattu par les allemands rue Bossack selon Gilles Hennequin et décéda place Darcy à Dijon le 27 mai 1944 à 10h00. La rue Bossack se situant non loin de la place Darcy et à proximité de l’immeuble ou était le siège de la Gestapo, rue Docteur-Chaussier, il pourrait avoir été poursuivi par la Gestapo qui l’aurait abattu. Son acte de décès fut dressé le 30 mai 1944 sur la déclaration de sa sœur, Jeanne Bey, âgée de 29 ans, couturière à Dijon.
Il obtint la mention « Mort pour la France » le 9 avril 1971 par décision du ministre des Anciens Combattants.
Son nom ne semble pas figurer sur un monument.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article195698, notice BEY Georges, Henri par Jean-Louis Ponnavoy, version mise en ligne le 4 octobre 2017, dernière modification le 3 octobre 2017.

Par Jean-Louis Ponnavoy

SOURCES : Gilles Hennequin Résistance en Côte-d’Or, tome IV, Dijon 1997.— Mémorial GenWeb.— État civil.

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