SCHREIDER Eugène

Par Jean Lecuir

Né le 21 mars 1900 à Saint-Pétersbourg (Russie), mort à Paris le 24 mars 1978 ;membre du parti socialiste révolutionnaire russe, exilé russe apatride, à la vaste culture acquise dans diverses capitales européennes (Rome, Berlin, Prague), installé en 1929 à Paris comme anthropologue et journaliste. Réfugié à Toulouse en juin 1940, gagne par les États-Unis Londres, où, membre du Groupe socialiste Jean Jaurès, travaille à la BBC pour le service « La France parle aux Français » ; naturalisé français en 1951, directeur-adjoint, puis directeur (1961) du laboratoire Broca (Laboratoire d’anthropologie physique de l’EPHE), directeur scientifique (1950-1962), puis directeur du Laboratoire de biométrie humaine du CNRS jusqu’en 1973.

Eugène Schreider vécut une jeunesse européenne tributaire des événements de Russie : enfant, il revint de Finlande à Saint Pétersbourg, puis suivit ses parents en exil à Naples, Capri (1907-1910), Rome (1910-1916), avant de revenir en Russie en 1917. Il était en effet le fils de Gregory Ilytch Schreider, juif, surnommé « le juste », un des dirigeants du parti socialiste révolutionnaire, maire de Saint-Pétersbourg à l’avènement de la République en 1917, bientôt réfugié dans la clandestinité à Odessa (1919), avant une nouvelle émigration à Rome (1919-1922).

Eugène Schreider y fit ses études de droit et de médecine légale (à l’école de Lombroso), découvrant les études sur les types. Après un an à Berlin (sept 1922-aout 1923), il partit pour Prague (23/8-23/12/1923), où il aborda l’anthropologie sociale (étude « sur les vieilles coutumes de diverses populations de l’Europe orientale, dans leurs rapports avec certaines tendances récentes »). Il vint avec sa famille à Paris en 1924-25 où il s’initia à la sociologie, puis rejoignit Prague (1926-1928) comme chercheur en anthropologie sociale à la section sociologique de l’Institut d’études de la Russie, ce centre de la vie intellectuelle des exilés russes, créé par ses socialistes révolutionnaires et qui ferma en 1928.

De retour à Paris il s’y forma à la biologie et à la psychologie (1929-1932). Diplômé de l’Institut de psychologie (1932), il déposa comme sujet de thèse : « les mobiles affectifs du travail salarié ». Sous la direction d’Henri Piéron et A. Fessard, il découvrit l’intérêt des statistiques et de la recherche psychologique expérimentale. Elève de Louis Lapicque médecin, professeur de physiologie à la Sorbonne, il travailla au Laboratoire d’anthropologie physique de l’EPHE dirigé par G. Papillault. Avec Henri Laugier, professeur de physiologie à la Sorbonne, il fut chercheur au Laboratoire de physiologie du Travail du Conservatoire national des arts et métiers (1932-1940), tout en étant archiviste bibliothécaire à la Société de Biotypologie. C’est là qu’il acquit sa formation d’anthropologue et cette orientation biométrique à laquelle il restera fidèle, soucieux de développer une science de la personnalité humaine, des caractères de l’homme, de la variabilité des types humains et de leurs liaisons mutuelles. Au Laboratoire de physiologie du Travail, il étudia en particulier « les facteurs physiologiques de la prédisposition aux accidents » (1934).

Il participa à la Mission Biométrique française, initiée par Henri Laugier en juillet-septembre 1936 et dirigée par le docteur Bonnardel, : il étudia au Mexique les Otomis et les Natualt dans la région d’Ixmiquilpan et dans une entreprise de textiles près d’Orezal, pour analyser l’adaptation d’Indiens au travail industriel. La guerre empêcha la publication de son étude, ce qui ne se fit que plus tard (1953). C’était pour lui une tâche prioritaire d’étudier des populations susceptibles de subir des changements profonds de modes de vie. En 1939, chargé de cours d’anthropologie physiologique à l’Institut d’ethnologie de l’université de Paris, il orientait son enseignement vers la biométrie, quand la défaite mit fin à un projet établi dans le cadre militaire pour le CNRS.

Ce membre du parti socialiste révolutionnaire russe fut en France, selon Paul Vignaux, un socialiste modéré non marxiste. Journaliste, il assura entre juin 1935 et juin 1940 une rubrique hebdomadaire de vulgarisation ethnologique et scientifique - plus de deux cents articles - dans La Lumière, où il fréquentait Georges Boris et Georges Gombault qu’il retrouva à Londres. Il augmentait ainsi ses revenus, car il avait ses parents âgés à charge. Il fréquentait là un milieu de républicains, radicaux, socialistes, proches de Léon Blum, des Ligues de l’enseignement et des droits de l’homme, antifascistes et antimunichois.

À 38 ans, cet ethnologue et anthropologue de formation pratiquait six langues (russe, finlandais, tchèque, italien français, anglais), sans parler des langues mortes. D’une grande puissance de travail, d’une culture encyclopédique et d’une prodigieuse mémoire, il s’intéressait aussi bien aux sciences qu’à la vie littéraire, philosophique ou politique. Sa conversation, au dire de ceux et celles qui le fréquentèrent, était marquée par un sympathique accent roulant les r dû à ses origines, la simplicité, un grand humour, mais aussi la passion.

En juin 1940, Eugène Schreider suivit le CNRS dans son repli sur Bordeaux et aboutit à Toulouse. Henri-Victor Vallois, professeur d’anatomie à Toulouse, directeur de la revue l’Anthropologie, devenu directeur du Laboratoire Broca, l’y accueillit ainsi qu’à l’hôpital militaire de Toulouse dont il était le médecin-chef : il y travailla jusqu’en novembre 1940.

Émigré juif russe, apatride sous passeport Nansen, Schreider fut inscrit, sur la recommandation du biologiste américain Raymond Pearl, sur la liste des scientifiques invités aux États-Unis parce que menacés par les nazis. Ayant donc reçu en juillet 1940 un visa spécial d’entrée aux États-Unis, il n’utilisa pas cette possibilité, qui n’était d’ailleurs pas facile à mettre en œuvre. En effet, il fréquentait alors les premiers groupes de résistance toulousains, marqués à gauche, autour du libraire Silvio Trentin, du réseau Bertaux, et bientôt du comité d’Action socialiste. Il fit alors connaissance de Paul Vignaux.

Bientôt assigné en résidence forcée en Haute-Garonne à Salies du Sarlat (novembre 1940-avril 1941), puis à Mane (avril-juillet 1941), réduit à l’impuissance, il envisagea alors de quitter clandestinement la France. Très tôt en relations avec le milieu socialiste, il accepta de tenter d’établir une liaison entre cette première résistance française et le quartier général du général de Gaulle à Londres en juin 1941. Il traversa l’Espagne pour atteindre le Portugal, en utilisant une invitation officielle à un congrès scientifique faite à H.V. Vallois et transférée par le recteur de Toulouse Dottin à son nom. Ce montage était analogue à celui utilisé par Paul Vignaux pour son passage au Portugal.

Plus particulièrement « mandaté par l’organisation socialiste de la zone sud », il était porteur de messages inscrits dans sa mémoire et d’une liste cachée dans le manche de son blaireau. Ces informations émanaient de personnalités appartenant à des courants politiques et syndicaux divers du Sud de la France : Léo Hamon, qui l’hébergea avant son passage de la frontière, Robert Lacoste, Daniel Mayer à Marseille, le réseau Bertaux à Toulouse, l’équipe Jean Brodier-Marcel Vanhove de la CFTC. Parti sur le Nyassa en juillet 1941 sur le même bateau que Paul Vignaux, il gagna par le Maroc, les Açores, les Bermudes les États-Unis, où il arriva en août 1941 à New York.

Eugène Schreider entra en contact avec la délégation de la France libre de New York, avec Antoinette Boris, le colonel Pierrené, représentant du général de Gaulle au Canada, et Henri Laugier à Montréal. Ainsi, à Londres, Georges Boris fut vite informé et put lui confirmer que sa venue était souhaitée : il rejoignit alors Terre Neuve, d’où un avion britannique le conduisit à Londres début octobre 1941.

Il fut donc l’un des premiers exilés, avec Joseph Botton, autre ami de Paul Vignaux, et, quelques jours après, Jean Moulin, à assurer avec succès une liaison, provenant directement des premiers groupes de résistants, avec le général de Gaulle. Les noms, adresses et mots de passe ainsi transmis furent utilisés par Yvon Morandat, parachuté en France le 6 novembre 1941 près de Toulouse. Daniel Mayer l’attesta en 1949 : « C’est grâce à votre mission heureusement accomplie que nous avons pu avoir en 1942 les premiers contacts avec le BCRA et l’I.S. (Intelligence Service) ». Ses deux référents sur place étaient Georges Boris et Maurice Schumann. Pour autant, il ne s’engagea pas dans les Forces Françaises Libres.

Il fut en revanche embauché le 21 mars 1942 par Michel Saint-Denis (alias Jacques Duchesne) dans les services de la BBC « La France parle aux Français », sous le pseudonyme de Fleury : il devait chaque jour « fournir une image aussi complète que possible des activités de l’ennemi à travers la presse et de la radio de Vichy » pour construire les réponses radiophoniques adaptées. Il livra ainsi de nombreuses notes et revues de presse, diffusées aux autorités britanniques et à Georges Boris, donc à la France Libre. Ses études, qui utilisaient aussi la presse de la Résistance, comportaient de précieuses informations sur l’état de l’opinion, la vie quotidienne et les réalités socio-économiques de la France de Vichy. Par ailleurs, il tint à la radio une rubrique de vulgarisation scientifique, dans la continuité de son activité d’avant-guerre à La Lumière.

Il participa enfin à des recherches pour l’armée britannique au sein d’une équipe interalliée sur les prisonniers de guerre allemande, pour essayer de reconstituer les mobiles et les capacités de résistance des composantes de l’armée allemande ; il s’intéressa à la thermorégulation et à ses incidences, en s’interrogeant sur la manière d’acclimater des hommes amenés à combattre dans les pays chauds. Une étude envisagée avec des physiologistes de l’aviation britannique, le médecin-chef des forces aériennes libres et des scientifiques interalliés, sur « l’intérêt pratique de la psychiatrie sociale », ne fut pas menée à bien par suite du débarquement. Enfin, à la Libération, Schreider donna au journal France des argumentaires contre le racisme et sur la place de la science dans la reconstruction du monde.

Son activité de résistance à Londres était considérée par lui-même comme effectuée à titre civil. Elle le situa clairement dans le camp de ceux qui se méfiaient du général de Gaulle, militaire aux prétentions politiques et de l’attitude autoritaire de son entourage ; d’ailleurs il devint dès son arrivée en novembre 1941 membre du groupe londonien socialiste Jean Jaurès, majoritairement critique du chef des Forces Françaises Libres. Il fut assidu aux réunions, toujours virulent à l’égard de De Gaulle et des communistes, refusant le ralliement du Groupe au gaullisme demandé par Henry Hauck ou affiché par Pierre Brossolette, soutenant Félix Gouin sur la nécessaire reconnaissance des partis.

Ses relations londoniennes au carrefour de la BBC, de la France Libre et des socialistes du Groupe Jean Jaurès en faisait un précieux informateur sur ce que l’on pouvait savoir de la Résistance en France et des débats au sein de la France libre. Paul Vignaux, consultant de l’OSS et de l’OWI à New York, s’en était donc fait un correspondant régulier. Aussi depuis mai 1942, Eugène Schreider répondait à ses interrogations par l’envoi de journaux résistants, de ses revues de presse et de ses analyses. La transmission se faisait par l’intermédiaire du Journal France au bureau OSS de Londres et à l’ambassade américaine. Les autorités américaines pas dupes des oeillères de ce socialiste anti-gaulliste, le considéraient cependant comme « extrêmement honnête et sincère, intéressé à son travail, sans préoccupation de gains personnels » et comme un « Monsieur bien renseigné ». Ainsi ils apprendront, - car ils lisent tout ce que reçoit ou envoie Paul Vignaux - le 15 juillet 1943 « des arrestations massives en France, y compris le Commissaire national X [Jean Moulin], préposé aux organisations de résistance. » Les analyses de Paul Vignaux qui circulaient dans l’OSS, voire au Département d’État, dépendaient notamment de Schreider, source dans laquelle il avait pleine confiance.
 
La section française de la BBC Londres fut aussi pour Eugène Schreider l’occasion de rencontrer celle qui y travaillait comme lui et qu’il épousa à la fin de 1944 : l’écossaise Jean Mc Donald Scott (décédée en août 2016 à Monclar d’Agenais, Lot-et-Garonne), qui devenue française, fit carrière à l’UNESCO et à l’OTAN, avant d’être collaboratrice des Communautés de l’Arche de Lanza del Vasto. Ils eurent un fils Charles-Grégoire, ou « Gricha », né le 27 novembre 1947 (mort du paludisme au Sénégal après 1967) et se séparèrent en 1971.

À la Libération, Eugène Schreider devait être suffisamment apprécié à la BBC pour se voir proposer la direction de la section française de la BBC, avec une naturalisation rapide. Mais il préférait aller à Dakar, à la demande de Théodore Monod, assurer la direction d’anthropologie de l’Institut français d’Afrique noire, projet qu’il dût abandonner faute de logement disponible sur place. Il continua de travailler pour la BBC, tout en faisant des allers-retours entre Londres et Paris à la recherche d’une insertion stable en France et d’un règlement de son statut juridique d’apatride. Dans une situation inextricable à l’été 1948, il écrivit, probablement au sénateur Léo Hamon, pour obtenir son intervention auprès du ministère de l’intérieur, ce qui déboucha sur sa demande de naturalisation en 1949, obtenue le 26 octobre 1951 à 50 ans.

Il devint alors en avril 1949 directeur-adjoint du laboratoire Broca (Laboratoire d’anthropologie physique de l’EPHE) auprès de H.V. Vallois, auquel il succéda (1961-1971) et parallèlement directeur scientifique (1950/1962), puis directeur (1962-1973) du Laboratoire de biométrie humaine du CNRS. Il initia en 1950, dans le cadre de l’EPHE, le premier enseignement de biométrie humaine, qui fut ultérieurement coordonné avec le certificat d’anthropologie de la Faculté des sciences de Paris. Il enseigna la biométrie à l’Institut de Démographie de Paris (1958-1977) et intervint à l’Institut national d’étude du travail et d’orientation professionnelle d’Henri Piéron. Membre dès 1948 de la Société d’Anthropologie de Paris, il en devint président en 1956. Ayant participé aux débuts (1932) de la Société de Biotypologie et de sa revue, il succéda comme secrétaire général (1962-1977) à Henri Laugier (1932-1962) qu’il aidait dans cette tâche depuis 1950. Il présida en 1966 à la transformation de cette revue en Revue de la société de Biométrie humaine.

C’est dans ces diverses positions institutionnelles qu’après cinquante ans d’une vie passablement mouvementée, Eugène Schreider put donner la pleine mesure d’une personnalité scientifique à la culture encyclopédique, aux curiosités multiples, multidisciplinaires et internationales, dotée d’une grande capacité de travail.

Ce proche d’Henri Laugier, tant avant la guerre qu’après, poursuivit avec constance le projet de la biométrie, où la méthode mathématique, la statistique et l’analyse factorielle donne une assise à « la recherche sur « le désordre » qui marque tous les phénomènes de la vie, leur diversité et leurs changement. » Cette quête expérimentale, autour de l’unité fondamentale de l’homo sapiens, s’intéresse aux corrélations individuelles et collectives entre caractères morphologiques, physiologiques et psychologiques, éventuellement génétiques, pathologiques et psychiatriques, sans les dissocier des modes de vie et des contextes sociaux.

Dans le domaine de la physiologie, sa contribution essentielle fut d’avoir souligné, à partir d’expérimentations sur l’homme et sur divers animaux (tritons, grenouilles, souris...), l’importance des fluctuations intra-individuelles des caractères physiologiques et biochimiques décrivant les milieux intérieurs (sang, liquide céphalo-rachidien, humeur aqueuse). Il insistait sur l’inconstance des corrélations (plus de 150 coefficients étudiés) entre ces caractères et constatait l’impossibilité de réduire l’énorme masse des variations humaines à un nombre maniable de catégories. Ses travaux l’amenèrent à remettre en cause la notion de « fixité physiologique » chère à Claude Bernard.

En anthropologie, Eugène Schreider se pencha essentiellement sur des problèmes d’adaptation, en étudiant l’acclimatation à la chaleur et à l’effort, puis en étendant les règles écologiques de Bergman et Allen à l’espèce humaine. Ces règles relient les formats corporels (rapports entre stature ou longueur des membres et poids ou surface corporelle) aux gradients climatiques lors de l’adaptation à la régulation thermique. Il a beaucoup investi dans les relations entre le biologique et le social. Ses travaux portent sur les mécanismes de différentiation et de stratification sociale des caractères biologiques, sur les relations entre tests psychologique et rang de naissance, entre métissage et traits morphologiques.

II fut un excellent vulgarisateur, comme en témoignent sa chronique de La Lumière et ses émissions scientifiques à la BBC durant les années de guerre, ses deux « Que-sais-je ? » sur La Biologie humaine et La Biométrie (plusieurs édition et traductions), ses articles dans les revues de vulgarisation (Atomes, La Recherche), et ses diverses contributions comme rédacteur à la Revue de Biotypologie et de Biométrie humaine. Il a publié plus d’une centaine d’articles scientifiques, dont le quart en anglais.
Il mourut peu d’années après sa retraite sans avoir pu réaliser son projet de Manuel de Biométrie.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article201153, notice SCHREIDER Eugène par Jean Lecuir, version mise en ligne le 28 mars 2018, dernière modification le 29 mars 2018.

Par Jean Lecuir

SOURCES : H. Pineau, "Hommage à Eugène Schreider", Biométrie humaine, 1979, N°3-4, p.3-9. — H.V Valois, Eugène Schreider, L’Anthropologie, 1978, 82, p.455-456. ; —D. Ferembach, Eugène Schreider (avec bibliographie de ses écrits), Bulletins et mémoires de la Société d’Anthropologie de Paris, XIIIe série, tome 5 fascicule 2, 1978, p.89-98 ; —Interview de Henri Vallois (15 février 1981), ibidem, Nouvelle série, tome 8 fascicule 1-2, 1996, p. 81-103.— https://prosopo.ephe.fr/eugene-schreider ; — Dossier de carrière Eugène Schreider, archives de l’EPHE. — Archives du laboratoire Broca (Bordeaux), dossier 104. — Archives Vignaux à la CFDT et archives familiales Vignaux. — Archives de l’OSS (RG 226) à Washington. — Fonds Louis Lévy à l’OURS. — Liste alphabétique des personnes ayant acquis ou perdu la nationalité française par décret 1900–1979 (Archives Nationales),

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