DELIGNOU Albert, François écrit aussi DELIGNON

Par Jean Quellien

Né le 16 novembre 1926 à Sainte-Margueritte-de-Viette (Calvados), massacré le 18 août 1944 à Saint-Michel-de-Livet (Calvados) ; journalier agricole ; civil.

Fils de Léonard Achille Delignou et de Madeleine Georgette Huet, Albert Delignou était domicilié à Sainte-Marguerite-de-Viette. Journalier agricole, il travaillait à Saint-Michel-de-Livet.
Le 18 août 1944, il était dans un champ en compagnie d’André Granval* lorsque retentirent de fortes détonations. Ils se dirigèrent à la hâte vers la ferme toute proche d’Ernest Bourrienne dans laquelle des soldats allemands venaient de lancer des grenades, tuant la plus grande partie de la famille. Arrivant à proximité, Albert Delignon et son compagnon furent tous deux abattus en plein herbage.

Son nom figure sur la plaque commémorative de La Cour Vigneux à Saint-Michel-de-Livet écrit Delignou et sur le monument aux morts de Saint-Michel-de-Livet sous le nom de Delignon.

Saint-Michel-de-Livet (Calvados) : massacre du 18 août 1944

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article205253, notice DELIGNOU Albert, François écrit aussi DELIGNON par Jean Quellien, version mise en ligne le 24 juillet 2018, dernière modification le 11 novembre 2019.

Par Jean Quellien

SOURCES : Centre de recherche d’histoire quantitative de l’Université de Caen, Quellien J. [dir.], Livre mémorial des victimes du nazisme dans le Calvados, Caen, Conseil Général du Calvados, 2004.— MémorialGenweb.

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