Par Frédéric Stévenot
Né le 29 janvier 1904 à Wignehies (Nord), mort le 2 septembre 1944 à Esquéhéries (Aisne) ; résistant FFI.
Fils de Vincent Froment, herbager âgé de vingt-cinq ans, et de son épouse Charlotte Demeiller, ménagère âgée de vingt-cinq ans également, René (Réné selon son acte de naissance) Froment se maria à Esquéhéries le 23 février 1925, avec Lucienne Lalain.
« Tué au combat », René Froment fut reconnu « mort pour la France » (AC 21 P 187914) à titre militaire (FFI). Son homologation n’a pu être établie, non plus que les circonstances de sa mort. Son nom n’apparaît sur aucun monument.
On remarque que la date de sa mort coïncide avec le massacre de civils dans des communes proches d’Esquéhéries : Étreux et La Neuville-lès-Dorengt.
Par Frédéric Stévenot
SOURCES. SHD, dossiers adm. résistants. — Site Internet : Mémoire des hommes. — État civil de Wignehies, 3 E 11915.