Par Patrick Bec
Né le 26 mai 1923 à Ruynes-en-Margeride (Cantal), mortellement blessé en action à suite à Saint-Amant-Roche-Savine (Puy-de-Dôme), mort le 2 juillet 1944 à Ambert (Puy-de-Dôme) ; résistant au sein des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Louis Mizoule était le fils de Léon, Isidore, Joseph Mizoule, propriétaire cultivateur de St-Michel, commune de St-Georges (Cantal), marié à Ruynes le 24 novembre 1912 à Catherine, Marguerite, Marie Roudil, originaire de Salus, commune de Ruynes. Il avait un frère né en 1916 et quatre sœurs nées en 1913, 1919, 1921 et 1928 à Salus.
Louis Mizoule était résistant FFI du 4è corps franc d’Auvergne depuis le 21 mai 1944. Il a été blessé lors d’une opération à Saint-Amant-Roche-Savine (Puy-de-Dôme) et il est mort des suites de ses blessures le 2 juillet 1944 à l’hôpital de Ambert. Il avait 21 ans.
Son nom est gravé sur la plaque apposée dans l’église de Ruynes en "honneur aux glorieux combattants morts pour la France", ainsi que sur le monument aux morts de Ruynes-en-Margeride. Il est également gravé sur le monument de la Résistance à St-Flour (Cantal).
Il a été homologué FFI du 21 mai au 2 juillet 1944 au sein du 1er Bataillon des MUR du Mont-Mouchet.
Par Patrick Bec
SOURCES : SHD Vincennes : GR 16 P 421778, dossier Louis Mizoule (nc) .— AVCC Caen, dossier Louis Marcel Mizoule : AC 21 P 101369 (nc) .— Manuel Rispal, Tout un monde au Mont-Mouchet, Ytrac, éditions Authrefois, 2014 .— État civil (AD 15) . — MémorialGenWeb.