Par Louis Botella
Garde-barrières ; syndicaliste CGTU puis CGT de Seine-et-Oise [Yvelines].
En novembre1930, Marie Corbin, garde-barrières, était la trésorière du syndicat unitaire [CGTU] des cheminots de Plaisir-Grignon [Plaisir].
Garde-barrières à Beynes, elle figura, en février 1934, sur la liste des candidats présentés par la CGT confédérée (une partie des militants CGTU du réseau de l’Etat avait rejoint la CGT en 1932) lors de l’élection des membres du Conseil supérieur des chemins de fer.
Elle était l’épouse de Théophile Corbin, alors secrétaire adjoint de ce syndicat.
Par Louis Botella
SOURCES : La Tribune des cheminots, organe de la Fédération nationale [CGTU] des travailleurs des chemins de fer, 1er novembre 1930 (Institut d’histoire sociale de la Fédération CGT des cheminots). — La Tribune des cheminots, organe de la Fédération nationale [CGT] des travailleurs des chemins de fer, 1er février 1934 (Institut d’histoire sociale de la Fédération CGT des cheminots).