ARMENGOL [parfois ARMENCOL]

Ouvrier verrier, en 1926, Armengol était militant à la fédération unitaire du verre. Il participa au 3e congrès de la fédération.

En 1928, il signa un article dans Le Travailleur du verre, l’organe de la Fédération unitaire, dans lequel il regrettait de n’avoir pu assister qu’une fois depuis le précédent congrès aux réunions de la Commission exécutive fédérale, ce qui lui fut reproché par Vuilleminot dans un article de l’Humanité du 16 août. Il rendait responsable les syndicats du verre de la région parisienne dans les difficultés qu’avaient les fédérations du verre et de la céramique à engager le processus de fusion engagé depuis comité national du 1er octobre 1927.

En 1928 il fut à nouveau délégué au congrès de la fédération unitaire. Le 30 septembre, il proposa une motion repoussant la fusion entre la fédération du verre et avec celle de la chimie.

Cité dans un article de La Voix des verriers de avril-mai 1930, Armengol aurait répondu à un courrier du Comité confédéré du Sud-Ouest, et déclaré être d’accord sur « les maux qui ravagent la corporation ». Relancé en décembre 1929 il n’aurait pas donné suite.