BESSON Ernest, Théophile

Par Robert Serre, Jean-Luc Marquer

Né le 12 juillet 1905 à Charpey (Drôme), sommairement exécuté le 22 juillet 1944 à Corrençon, aujourd’hui Corrençon-en-Vercors (Isère) ; sans profession connue ; résistant de l’Armée secrète

Ernest, Théophile Besson était le fils de Joseph, Théophile et de Marie, Joséphine Ollot.
Il habitait à Romans-sur-Isère (Drôme).
Il rejoignit probablement le maquis du Vercors après l’ordre de mobilisation générale du 9 juin 1944.
Le 21 juillet 1944 un groupe de sept résistants dont faisait partie Ernest Besson prit position au Pas de la Balme à Corrençon (Isère) avec pour mission d’empêcher les Allemands d’atteindre le plateau par les sentiers qui montent de Corrençon et de Château-Bernard (Isère).
Le matin du 22 juillet 1944, une fusillade éclata.
Ernest Besson fut fait prisonnier et sommairement exécuté.
Il obtint la mention "Mort pour la France".
Son nom figure sur la liste des morts du secteur 8 de l’AS-Isère.
Son nom figure sur la plaque commémorative du Pas de la Balme à Corrençon, sur le monument aux morts de Villard-de-Lans (Isère) et sur la plaque commémorative de l’hôtel-de-ville de Romans.


Voir Corrençon


Notice provisoire

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article219802, notice BESSON Ernest, Théophile par Robert Serre, Jean-Luc Marquer, version mise en ligne le 26 octobre 2019, dernière modification le 5 mai 2021.

Par Robert Serre, Jean-Luc Marquer

SOURCES : SHD Vincennes, GR 19 P 38/16 ; GR 16 P 56462 ( à consulter) — Mémorial GenWeb — Mémoire des hommes — http://museedelaresistanceenligne.org/media584-En-mA — Cdt Pons, De la Résistance à la Libération, rééd. 1987, p. 281. — Deval ; op. cit., p. 262. — État civil

rebonds ?
Les rebonds proposent trois biographies choisies aléatoirement en fonction de similarités thématiques (dictionnaires), chronologiques (périodes), géographiques (département) et socioprofessionnelles.
Version imprimable