LANGLOIS Jérôme, Amédée

Par Edward Castleton

Né à Paris le 7 janvier 1819 ; journaliste ; adhérent de l’AIT.

Il était le fils du peintre à l’Institut Jérôme-Martin Langlois. Étudiant à l’école navale en 1835, Amédée-Jérôme Langlois en sortit aspirant, devenant en 1841 enseigne de vaisseau. En 1847, il fut détaché au ministère de la Marine comme secrétaire de la commission supérieure chargée de la révision du règlement général des bâtiments de la flotte.
Ardent républicain depuis sa jeunesse, il se trouvait à Paris, président du club Roisin et secrétaire du Club de la Révolution, entre la Révolution de février 1848 et les journées de juin. Il commença à écrire pour Le Représentant du Peuple, journal auquel était associé Pierre-Joseph Proudhon, en août 1848, puis écrivit régulièrement dans Le Peuple (1848-1849), dont Proudhon était le rédacteur et Georges Duchêne le gérant, se chargeant, outre des articles réguliers, des compte-rendu des séances à l’Assemblée nationale. Langlois ne se contenta pas d’être journaliste, il agit aussi politiquement, par exemple en prenant la parole, avec Proudhon, au premier banquet de la République démocratique et sociale le 17 octobre 1848. Langlois se présenta aussi comme candidat du Comité démocratique et socialiste aux élections législatives des 13-14 mai 1849 pour le département de la Seine. Ayant obtenu 105 000 voix, il fut battu de peu.
Reprenant le relais de la gestion du Peuple avec Alfred Darimon après les arrestations et les condamnations de Proudhon et de Duchêne, Langlois fut jugé devant la Haute Cour à Versailles avec les accusés du 13 juin 1849. Emprisonné à Belle-Île, Langlois se brouilla avec son ami Victor Pilhes, lors de la querelle opposant Armand Barbès et Auguste Blanqui, Langlois s’étant rapproché de Barbès tandis que Pilhes restait fidèle à Blanqui. Grâce à l’intercession de Proudhon auprès du prince Jérôme Bonaparte, Langlois fut transféré avec Pilhes à Sainte-Pélagie, puis libéré.
Par la suite, il voyagea et se trouvait à Constantinople au moment de la Guerre en Crimée en 1854. Presque dix ans plus tard, Langlois fit partie du comité abstentionniste de Proudhon avec Charles Beslay*, Gustave Chaudey*, et Georges Duchêne lors des élections du 31 mai et du 14 juin 1863. Il fut, avec Duchêne, l’organisateur des obsèques de Proudhon.
Après la mort de ce dernier, Langlois est nommé exécuteur-testamentaire (avec notamment Chaudey et Duchêne). Il s’occupa, avec Duchêne, de la publication de l’ouvrage posthume de 1866, Théorie de la propriété. En témoignage de son estime pour la pensée philosophique de Proudhon, Langlois publie en 1867 un grand livre en deux tomes composé de huit études dédiées à Proudhon, L’Homme et la Révolution, dans lesquelles il cherchait à vulgariser, développer et approfondir différents aspects de la pensée philosophique de Proudhon. Mais à part ce livre, Langlois écrivit peu, et ne contribua pas autant que beaucoup de ses contemporains, à part un article ici ou là. Il recommença à avoir une activité politique à partir de l’autorisation des réunions politiques en 1868, prenant souvent la parole en public. Il tendit la main dans une adresse signée également par Félix Chemalé, André Murat*, Gustave Lefrançais*, Alfred Briosne*, Henri Tolain, Dumay, Charles Longuet* et Pierre Denis*, aux républicains parlementaires, les invitant à discuter avec les militants ouvriers et les divers membres de l’AIT sur les moyens de faire la réforme sociale par des moyens pacifiques. Il participa avec Briosne*, Longuet*, Jean-Baptiste Millière*, Félix Pyat*, Augustin-Joseph Verdure* et d’autres au journal La Tribune populaire en 1869.
Également membre de l’AIT, il participe la même année au congrès de Bâle de la Première Internationale (5-12 septembre 1869), combattant les thèses collectivistes de César de Paepe et de Michel Bakounine avec des arguments proudhoniens, de la même manière que Chaudey l’avait fait au Congrès de la Ligue de la Paix et de la Liberté tenu à Berne l’année précédente (21-25 septembre 1868). Soucieux de s’aliéner la population rurale par une politique d’État de collectivisation foncière, Langlois voyait l’avènement des courants collectivistes au sein de l’AIT comme une menace pour la mise en place d’institutions promouvant le mutuellisme et le crédit gratuit.

Un des instigateurs de la manifestation en faveur de la paix du 12 juillet 1870 avant la guerre franco-prussienne, Langlois fut nommé après la chute de l’Empire chef du 116e bataillon de la Garde nationale et se distingua dans l’affaire de la Gare aux Bœufs (29 novembre 1870) en faisant 12 prisonniers allemands. Promu au grade de lieutenant-colonel commandant le 18e régiment de marche, il combattit à Montretout et à Buzenval où il fut grièvement blessé, et fut décoré de la Légion d’honneur.
Élu membre de l’Assemblée Nationale par les électeurs de la Seine le 8 février 1871, il critiqua les députés réactionnaires à Bordeaux puis à Versailles, vota pour la continuation de la guerre et contre les préliminaires de paix, et demanda le transfert de l’Assemblée à Paris, tout en avertissant Adolphe Thiers des risques de guerre civile le 17 mars dans l’affaire des canons. Les députés et maires de Paris proposèrent à Thiers de lui donner le commandement des gardes nationales de la Seine, et le comité central à Paris le nomma commandant de la Garde nationale parisienne le 18 mars. Mais Langlois refusa d’être le chef d’une insurrection qu’il ne soutint pas, rentrant à Versailles.

Les interventions parlementaires de Langlois ne furent pas particulièrement notables avant l’écrasement de la Commune de Paris, mais il se distingua des autres députés en intervenant assez régulièrement à presque chaque séance à Versailles. Il se prononça, comme beaucoup d’autres élus de la gauche, pour la validation de l’élection de Giuseppe Garibaldi* le 8 mars. Dans une lettre ouverte « à nos mandants, électeurs de la Seine », co-signée avec Alphonse Peyrat, Edmond Adam, Edgar Quinet, Victor Schoelcher, Henri Brisson, Greppo, Henri Tolain, Charles Ferdinand Gambon*, Édouard Lockroy*, Jean Brunet, Charles Floquet, Pierre Tirard, Georges Clémenceau*, Martin Bernard, Eugène Farcy, et Louis Blanc*, Langlois insistait sur sa volonté de transférer l’Assemblée nationale à Paris, « seule capitale possible de la France », et se contenta de contribuer à faire avorter le transfert de résidence de la législative à Fontainebleau lors de la séance parlementaire du 10 mars. Avec essentiellement les mêmes signataires (Blanc, Schoelcher, Peyrat, Adam, Floquet, M. Bernard, Lockroy, Farcy, Brisson, et Greppo), plus J.-B. Millière*, Langlois insista ensuite dans un « manifeste des députés et des maires » sur la nécessité de l’élection de tous les chefs de la Garde nationale, et l’importance de l’établissement d’un conseil municipal. Fin mars, Langlois déposa une proposition ayant pour but de nommer une commission de 15 membres chargée de faire une loi sur les attributions des maires comme administrateurs municipaux et comme délégués spéciaux du pouvoir exécutif. Début avril, il se prononça contre la souveraineté des communes et pour une fédération d’États (comme en Suisse ou en Angleterre) et non point des communes. Dans l’une de ses interventions le 8 avril à l’Assemblée, Langlois insista pour rassurer les députés conservateurs sur le fait que si les préfets, sous-préfets, procureurs généraux et commissaires de police étaient chargés du maintien de l’ordre, les maires seraient sous l’autorité du pouvoir central (donc sous les ordres des préfets et sous-préfets) et leur seraient subordonnés en ce qui concernait la sécurité publique. Dans son discours parlementaire du 3 avril, il félicita Thiers pour son apparente modération tout en insistant par ailleurs sur le désir d’ordre des opposants de gauche à l’Assemblée. Il déclara même en s’adressant à Thiers : « Nous voulons que vous restiez au pouvoir, parce que vous nous êtes nécessaire et absolument nécessaire. »
Avec 8 autres députés de l’opposition de gauche (L. Blanc, Brisson, Adam, Tirard, Farcy, Peyrat, Quinet, et, pour la première fois parmi les signataires des lettres ouvertes que Langlois signait habituellement à cette époque, l’ancien ministre des Travaux publics du gouvernement du 4 septembre 1870, Pierre-Frédéric Dorian), Langlois signa le 8 avril une lettre, affirmant qu’il était favorable aux libertés communales, mais qu’il fallait respecter le suffrage universel et éviter que l’idéal de l’autonomie communale devienne une force conduisant à la destruction de l’unité nationale. Au moment du débat autour de l’amendement du conservateur Claude-Marie Raudot visant à transformer les vingt arrondissements de Paris en une seule commune, avec un conseil municipal, un maire, un budget, et un conseil général uniques, Langlois insista, en tant que partisan de la décentralisation (il évoquait son amitié avec Proudhon pour le confirmer), sur la nécessité pour chaque arrondissement de garder la mainmise sur son budget, car ce qui pourrait fonctionner dans des petites villes comme en Suisse ne le pouvait pas dans des grandes agglomérations comme Paris. Langlois se prononçait en faveur de la dépolitisation des conseils municipaux par l’augmentation de leurs tâches administratives tout en souhaitant que leurs membres puissent être nommés au premier degré, mais il se prononça contre la création d’une commission budgétaire centralisée. Le 12 avril, il mena un combat avec « mon collègue et ami M. Tolain » pour que chaque arrondissement soit représenté en fonction du nombre réel de ses habitants afin que la représentation soit proportionnelle aux électeurs inscrits et domiciliés, s’opposant ainsi à la proposition de Léon Say de donner le même poids à chaque quartier. Le 20 avril, Langlois demanda la résiliation et l’annulation complète de tous les loyers impayés (y compris industriels) pendant le siège et le remboursement d’un tiers (33 %) seulement au lieu de la moitié (50 %) aux propriétaires pour leurs bien endommagés pendant la guerre. Les propriétaires devraient être remboursés non pas par un emprunt mais par des titres portant intérêt à 5 %. Le lendemain, Langlois revint sur le sujet, pour insister sur une nécessaire résiliation des baux à la volonté des locataires pour les propriétés industrielles, une réduction de 25 % des loyers, et le respect des contrats non-léonins afin d’aider les commerçants et industriels parisiens qui, à la différence des propriétaires, ne seraient jamais remboursés pour les dommages provoqués par la guerre. Le 8 mai, il intervint à propos de la question de la « représentation des intérêts », soutenant la proposition d’Edgar Quinet demandant un député pour chaque ville de plus de 35 000 habitants et un député supplémentaire pour chaque tranche de 35 000 habitants. Pour Langlois, il allait de soi que les villes avaient des intérêts différents des campagnes et que il était important qu’elles aient une représentation parlementaire conforme à leur importance démographique et économique. Le 12 mai, on retrouve Langlois donnant aux parlementaires une leçon sur la propriété, dont une bonne partie de la légitimité découlait selon lui de la bonne ou mauvaise foi de l’acheteur. À la veille de la semaine sanglante, Langlois se trouve chargé du rapport de la commission d’initiative relative à la composition de surveillance des caisses d’amortissement et des dépôts et consignations. Ensuite, jusqu’au mois de juin 1871, il ne dit rien à l’Assemblée par rapport au destin des Parisiens, si ce n’est pour exprimer son horreur en apprenant la mort de Chaudey.

Dans le sillage immédiat de l’écrasement de la Commune de Paris, Langlois intervint à la tribune à plusieurs reprises. Courant juin-juillet 1871, il proposa de nouveaux impôts pour couvrir l’emprunt et en juillet, il affirma que les préfets, cessant d’être des agents du pouvoir central, devraient être nommés par des conseils généraux (comme les maires nommés par les conseils municipaux) pour un temps déterminé mais sans être pour autant révocables à toute instant par ce conseil sous le régime du mandat impératif. Il proposait aussi qu’il n’y a pas de cumul des fonctions des conseiller général et de député, et insistait que les communes ne soient pas placées sous la tutelle des préfets, mais plutôt sous l’autorité des conseils cantonaux, supérieurs aux conseils municipaux et faisant la jonction entre ceux-ci et les conseils départementaux. Dans de nombreuses interventions, Langlois insista que le département de la Seine devrait avoir un conseil général comme les autres départements de la France. Langlois signa le projet de loi du 30 août ayant pour objet de faire élire une nouvelle Assemblée, et il dénia à l’Assemblée existante tout pouvoir constituant, d’autant plus qu’« à Paris, tous les électeurs en masse se sont prononcés d’une manière absolue contre le pouvoir constituant attribuée à l’Assemblée actuelle ». Dans ce contexte, en tant que « républicain », Langlois soutenait le principe de la « souveraineté permanente du peuple », la souveraineté nationale étant « toujours maîtresse », car rien n’est supérieur à elle (ni la tradition, ni la monarchie, ni même la constitution). Mais Langlois se proclamait d’accord avec Thiers (séance du 24 août) que le désordre moral était dans les divisions qui rongeaient le pays et il ne signa pas la proposition de loi relative à l’amnistie (alors que l’on retrouve parmi les signataires de cette proposition ses alliés législatifs habituels comme Brisson, Peyrat, Anthime Corbon*, Quinet, L. Blanc, Tolain, Léon Gambetta, Schœlcher, Adam, etc.).
Langlois se distingua surtout par ses nombreuses interventions parlementaires sur des questions de fiscalité et de budget militaire. Le 5 septembre 1871, il déposa un projet de loi sur l’impôt sur le revenu (publié dans le Journal officiel de la République française le 15 octobre), qui fut enfin débattu à l’Assemblée Nationale le 28, 29 et 30 décembre. Soucieux des effets des réparations à payer à la Prusse et des conséquences que le paiement des indemnités pourrait avoir sur le balance de commerce de la France si le gouvernement recourait à l’emprunt et aux « impôts de cherté » (autrement dit de consommation), Langlois cherchait à éviter une crise monétaire inéluctable en ayant recours à un impôt unique sur trois ans (de 1872 à 1874) de 5 à 20 % sur les revenus de travail et un impôt unique parallèle de 20 % sur les revenus du capital, l’imposition variant en fonction des revenus, des richesses, du statut réel et du nombre d’enfants des contribuables. Langlois était alors convaincu que cette mesure, « contribution de guerre » patriotique mais temporaire, pourrait facilement rapporter 1 800 millions de F par an, permettant de payer les 3 millions dus au gouvernement prussien et les dettes de l’État envers la Banque. En proposant cette loi et pour rassurer ses collègues représentants, Langlois affirma la nature éphémère de sa mesure : « Je suis l’adversaire de l’impôt progressif ; il y a vingt-cinq ans que je l’ai dit, et mon ami Proudhon l’a dit avec moi. […] Je suis un vieux socialiste, et, à ce titre, je ne suis nullement conservateur. Mais je suis un socialiste mutualiste, et à ce titre, je suis l’adversaire acharné et du communisme autoritaire, et des gros budgets, et de l’impôt sur les revenus à titre définitif » (séance du 28 janvier 1872). Selon Langlois, en décourageant une double hausse des taux d’intérêt et des prix des marchandises (conséquence inévitable de l’utilisation des impôts sur la consommation pour payer les réparations), une telle mesure bénéficierait surtout à l’ensemble des « petits » (cultivateurs, boutiquiers, patrons, propriétaires, fonctionnaires de l’État etc.), bref tous ceux dont le revenu annuel était inférieur à 3 600 F. À ses collègues qui s’inquiétaient que les ouvriers puissent être incités à surveiller la comptabilité de leurs patrons pour vérifier que ces derniers payaient bien leurs contributions fiscales (et ne gardaient pas pour eux l’argent retenu sur les salaires de leurs employés), Langlois répondit qu’une telle incitation permettrait aux ouvriers de reconnaitre qu’ils étaient exploités non pas en tant que salariés, mais en tant qu’acheteurs et consommateurs et qu’il fallait par-dessus tout déclarer la guerre à l’aléatoire dans la détermination des rémunérations et des profits. Si, en tant que bon proudhonien, Langlois affirmait que « ce qui importe aujourd’hui, c’est la suppression de toute espèce d’hostilité entre les classes », sa mesure permettrait justement selon lui une conciliation sociale louable pour la France post-communarde : « Au lieu d’avoir dans la majorité des ouvriers des autoritaires qui veulent résoudre les questions sociales par un coup de force ou par des grèves, vous aurez des libéraux, je veux dire des mutuellistes cherchant à la résoudre par la triple alliance de la démocratie, de la science et de la liberté, c’est-à-dire par des institutions d’assurance, de crédit mutuel, adoptées, après libre discussion, par les Assemblées qui représentent le suffrage universel » (séance du 29 décembre). Malgré la modération de ces propos, la proposition de Langlois fut largement rejetée.
À noter aussi parmi les diverses interventions parlementaires de Langlois durant cette même période son combat en mars 1872 (avec Tolain et Louis Blanc) pour repousser la loi contre l’Internationale lors des discussions à l’Assemblée de l’enquête sur les événements du 18 mars 1871. Dans son discours du 8 mars 1872, il revint sur ses combats au Congrès de Bâle en 1869 contre le « collectivisme » et Bakounine, reprenant essentiellement les arguments anti-communistes avancés par Proudhon dans sa Théorie de la propriété posthume que Langlois avait éditée avec Duchêne (mais en citant pas ses sources d’inspiration).

Tout en restant parlementaire jusqu’en 1885 (d’abord à l’Assemblée Nationale représentant Paris, ensuite élu successivement à Pontoise, en Seine-et-Oise, en 1876, 1877 et 1881, avant d’échouer finalement sur la liste des républicains opportuniste en 1885), Langlois édita et publia la correspondance de Proudhon en quatorze tomes en 1875 et publie en 1883 un long extrait en deux tomes d’un autre manuscrit de Proudhon, qu’il intitula Césarisme et christianisme, faisant ainsi preuve d’une fidélité constante au souvenir de son ami. Pendant cette même période, Langlois fréquenta beaucoup Thiers vers la fin de la vie de celui-ci, devenant un visiteur régulier à son domicile privé, indépendamment de ses affinités intellectuelles avec son ami Proudhon, mort depuis longtemps et qui avait été l’adversaire parlementaire de Thiers.
Après avoir été nommé receveur-percepteur du XVIIIe arrondissement, Langlois mourut à Paris le 25 septembre 1902.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article221887, notice LANGLOIS Jérôme, Amédée par Edward Castleton, version mise en ligne le 8 janvier 2020, dernière modification le 8 janvier 2020.

Par Edward Castleton

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