Par Jean-Louis Ponnavoy
Né le 18 avril 1908 à Branges (Saône-et-Loire), mort par accident le 11 août 1944 à Branges ; résistant de l’armée secrète (AS) du Louhannais et des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Marcel Gelot entra dans la Résistance à l’armée secrète (AS) dans le groupement du Louhannais et fut incorporé au Groupe Maury, sous les ordres du lieutenant Lavallée. Le 11 août 1944 lors d’une mission de nuit à moto avec Georges Chapuis, il circulait sans éclairage sur la route de Savigny-sur-Seille, en direction de Louhans. Au lieu-dit Copin, à Branges (Saône-et-Loire), leur trajectoire rencontra celle d’un camion FFI qui circulait également tous feux éteints en regagnant son cantonnement. Marcel Gelot décéda sur place et Georges Chapuis mourut à onze heures du soir à Saint-Étienne-en-Bresse (Sâone-et-Loire).
Il obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur la stèle commémorative au lieu-dit Copin, à Branges, sur le monument aux morts et le monument commémoratif de la Résistance 1939-1945, à Louhans (Saône-et-Loire).
Par Jean-Louis Ponnavoy
SOURCES : Le journal de Saône-et-Loire, article du 6 septembre 2012, Commémoration à la stèle de Copin et du 7 septembre 2017, Hommage à deux résistants morts peu avant la Libération.— Mémorial Genweb.