SIOL Aimé

Né le 29 août 1913 à Draguignan (Var), mort en octobre 2002 ; résistant communiste.

Fils de Paul Siol (1876) et de Rose Verre (1880) famille d’origine protestante d’Aigues Vives, propriétaires terriens, tonneliers, Aimé Siol fut ouvrier métallurgiste aux aciéries de Brignoux, il termina sa carrière professionnelle comme employé municipal à la mairie de Saint-Martin d’Heres.
Militant communiste, agent de liaison FTPF, il dut être dirigé sur le maquis du Vercors en avril 1943, suite à l’attaque par le maquis FTPF de Crolles (Isère) d’un Convoi militaire ennemi. C’est avec l’aide de Mme Casset Paulette qu’il put échapper à son arrestation.
Avec le maquis du Vercors entre autres actions, il participa aux combats de Beaurepaire, à la prise de Lyon.
Admis à l’ordre du Vercors, insigne n°4192, il demeura membre du Parti communiste jusqu’à sa mort en octobre 2002...
Il est le frère de Louis Siol , et de Fernand Siol.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article222268, notice SIOL Aimé, version mise en ligne le 30 janvier 2020, dernière modification le 30 janvier 2020.

SOURCE : Notes d’Henri Siol.

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