Par Jean-Marie Guillon
Né le 11 juin 1893 à La Roquebrussanne (Var), tué le 23 août 1944 à Toulon (Var) ; ouvrier maçon ; Forces françaises de l’Intérieur (FFI) ou victime civile.
Fils de Pierre Cornille, cultivateur, et de Marie Gouffond, sans profession, ouvrier à la Société des Grands Travaux en béton armé, résidant à Carqueiranne (Var), Clément Cornille a été tué le 23 août 1944 à 17 heures par les Allemands lors des combats pour la libération de Toulon. Son supérieur, l’ingénieur-chef Baudin, attesta qu’il était mort pendant son service près des abris du quartier de Vert Côteau.
La mention « Mort pour la France » lui fut attribuée par le ministère des anciens combattants, le 4 octobre 1960.
Par Jean-Marie Guillon
SOURCES : Arch. dép. Var 45 J fonds German (archives Amigas et CDL, attestation de l’ingénieur-chef Baudin).⎯ Mémoire des hommes SHD AVCC 21 P 328121 (nc). ⎯ registre décès Toulon (arch. municipales 4 E 139).