ROURE Marcel, Victor

Marcel, Victor Roure était le fils de Jean, Baptiste et de Rosine Meunier.
Veuf de Claire, Céleste, Valentine Bouillet, il épousa en secondes noces Mathilde, Hippolyte, Denise Elié. Ils habitaient à Échirolles (Isère).
Il était ouvrier d’usine.
Il s’engagea dans la Résistance et rejoignit le maquis de l’Oisans, secteur 1 de l’AS-Isère.
Il appartenait à la section Métal du Groupe Mobile n°1.
Fait prisonnier par les Allemands, et interrogé par la Gestapo dans la maison qu’elle avait réquisitionnée à Rioupéroux, un bourg de la commune de Livet-et-Gavet (Isère), il fut sommairement exécuté d’une balle dans la nuque, le 19 août 1944 vers 11 heures, selon son acte de décès.
Son corps fut trouvé le 22 août 1944 dans un charnier au lieu-dit "Fonfroide" à Gavet, commune de Livet-et-Gavet.
Il obtint la mention "Mort pour la France" et fut homologué résistant, membre des Forces françaises de l’Intérieur, et interné résistant.
Marcel Roure fut décoré de la Médaille de la Résistance à titre posthume.
Son nom figure sur le monument aux morts d’Échirolles (nom orthographié Rourre), sur le monument commémoratif au cimetière d’Échirolles (nom orthographié Rourre), sur une stèle commémorative érigée à proximité du lieu de sa mort à Gavet, sur un monument commémoratif érigé par le Souvenir Français à Livet-et-Gavet et sur le Mémorial du maquis de l’Oisans à Livet-et-Gavet.


Voir : Livet-et-Gavet


Notice provisoire