COEKELBERGHS Ferdinand.

Après des études secondaires à l’Athénée de Tirlemont, Ferdinand Coekelberghs entre en qualité de commis direct au service de l’ancienne administration des Chemins de fer de l’État belge avant la Première guerre mondiale.

Soldat durant la Première Guerre mondiale, Ferdinand Coekelberghs en revient avec une affection des bronches. Il passe à la direction du personnel des chemins de fer, renommés en 1926 Société nationale des chemins de fer belges (SNCB), au contentieux du service juridique et est mis en retraite prématurée en janvier 1936.

Après sa pension, Ferdinand Coekelberghs devient secrétaire du groupement des pensionnés intégré au Syndicat national des CPTTMA (chemins de fer, poste, téléphones, télégraphe et marine). En 1945, il est secrétaire national du secteur Pensionnés » de la Centrale générale des services publics (CGSP), nouvellement créée. Coekelberghs participe à toutes les luttes, notamment en faveur du statut des cheminots pensionnés, la question de la partie fixe de la pension et sur les retenues, l’indemnité d’attente de 20, 25 et 30 %, la loi de péréquation des pensions sur la base des barèmes au 30 juin 1948.

Époux d’Eulalie Freys, Ferdinand Coekelberghs démissionne de son mandat de secrétaire national du secteur Pensionnés, deux ou trois ans avant sa mort.

Après des funérailles à Schaerbeek (pr. Brabant, arr. Bruxelles ; aujourd’hui Région de Bruxelles-Capitale), Ferdinand Coekelberghs est inhumé dans le caveau familial à Cortenberg le 14 février 1957.