GARNIER Auguste [dit FOUROT ou PICARD] [Dictionnaire des anarchistes]

Par Dominique Petit

Né le 11 janvier 1860 à Perrigny-sur-l’Ognon (Côte-d’Or) ; journalier ; anarchiste parisien.

Photo anthropométrique Alphonse Bertillon. Collection Gilman. Métropolitan museum of art. New-York

Auguste Garnier, dit Picard, demeurant 1 rue Deparcieux en avril 1892, son dossier avait le n°311 .651. Il figurait une liste d’anarchistes au 14 avril 1894, son adresse était 46 rue Liancourt. Il était marié et avait deux enfants.
Le 2 mars 1894, Auguste Garnier était arrêté à son domicile 46 rue de Liancourt. Il était libéré le 12 mars. Son dossier à la Préfecture de police portait le n°311.651.
Auguste Garnier dit Fourot était sur une liste d’anarchistes connus de la 3e brigade de recherches de la Préfecture de police et ayant des dossiers au 10 septembre 1894. Son adresse était 46 rue Liancourt.
Auguste Garnier figurait sur l’état du 31 décembre 1894, il habitait 73 rue Daguerre et sur celui du 31 décembre 1896, il était noté « dangereux ».
Sur l’état de 1901, Auguste Garnier, sans adresse, dont le dossier portait le n° 311.651 était noté présent.
Auguste Garnier se maria à Paris (IVe arrondissement) avec Joséphine, Félicie, Marie Lecerff, le 16 avril 1910.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article228084, notice GARNIER Auguste [dit FOUROT ou PICARD] [Dictionnaire des anarchistes] par Dominique Petit, version mise en ligne le 22 mai 2020, dernière modification le 22 mai 2020.

Par Dominique Petit

Photo anthropométrique Alphonse Bertillon. Collection Gilman. Métropolitan museum of art. New-York
Fiche photo anthropométrique Alphonse Bertillon. Collection Gilman. Métropolitan museum of art. New-York

SOURCES :
Le Figaro 3 mars 1894 — Archives de la Préfecture de police Ba 1500 — Archives départementales de la Côte-d’Or. Etat civil

rebonds ?
Les rebonds proposent trois biographies choisies aléatoirement en fonction de similarités thématiques (dictionnaires), chronologiques (périodes), géographiques (département) et socioprofessionnelles.
Version imprimable