DOMENECH Albert, Emmanuel

Par Jean-Pierre Besse, Jean-Claude Lahaxe, complété par Renaud Poulain-Argiolas

Né le 11 février 1916 à Alger (Algérie), mort le 4 juillet 2009 à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) ; ouvrier du bâtiment puis ouvrier de raffinerie (électricien) ; militant des Jeunesses socialistes d’Alger, puis secrétaire des Jeunesses communistes d’Alger ; militant du PCA puis du PCF des Bouches-du-Rhône ; membre du bureau régional des JC de la région marseillaise en 1937 ; secrétaire du Comité départemental des journées du sacrifice pour l’Espagne républicaine en 1938 ; syndicaliste CGTU puis CGT ; résistant du Front national de lutte pour la libération ; membre du bataillon de la centrale d’Eysses ; déporté à Dachau (Allemagne) ; secrétaire de la section du PCF de Martigues en 1953 ; membre du comité fédéral du PCF des Bouches-du-Rhône (1957-1962) ; secrétaire du syndicat CGT des Métaux des Chantiers et Ateliers de Provence (CAP) de Port-de-Bouc de 1954 à 1966 ; membre du Comité d’entreprise et du Conseil d’administration des CAP ; conseiller municipal de Port-de-Bouc (1959-1971).

Le père d’Albert Domenech, Jean-Baptiste, Dominique Domenech, né à Alger, était menuisier et ébéniste. Il était anarcho-syndicaliste. Sa mère, Dolores Ramon, était elle aussi originaire d’Alger.
Albert avait trois frères plus âgés que lui : Jean-Baptiste, né en 1907, Antoine, né en 1910, et Henri, né en 1912. Jean-Baptiste Domenech milita à la CFTC, Henri à la CGT et au Parti communiste. Quant à Antoine, engagé dans la Légion étrangère, il mourut de ses blessures à Thanvillé (Bas-Rhin), pendant la bataille de Colmar, le 27 janvier 1945 et fut reconnu « Mort pour la France ».

Albert Domenech fit des études primaires jusqu’à l’âge de quinze ans et suivit ensuite les cours d’un centre d’apprentissage.
Devenu ouvrier du bâtiment en 1933, l’année suivante il était domicilié dans la cité Climat de France à Alger et militait aux Jeunesses socialistes. Le 12 mars 1934, il fut pris dans une bagarre, rue Michelet, près des facultés, entre jeunes socialistes et Camelots du roi. Une douzaine de ces derniers revenait d’une conférence de l’avocat Paul Robain et du publiciste José Le Boucher, orateurs de l’Action française. Un camarade d’Albert Domenech, Antoine Grouix, fut blessé par balle au bras, leurs adversaires étant en possession d’un revolver, d’un « casse-tête », d’un coup de poing américain et d’une canne plombée. Deux militants d’extrême-droite furent jugés le 13 mars. Jean Jarrige, qui avait reconnu avoir tiré en l’air, fut condamné à quinze jours de prison. Henri Hémen, le détenteur du « casse-tête », écopa d’une peine de huit jours avec sursis. D’abord inculpé pour outrage à agents, Domenech fut finalement relaxé.
Il adhéra par la suite aux Jeunesses communistes, au Parti communiste en juillet 1935 et au syndicat CGTU du bâtiment d’Alger en octobre 1935. Il fut secrétaire des JC d’Alger (L’Écho d’Alger le mentionna comme « secrétaire des Jeunesses communistes d’Algérie »). À ce titre, il anima notamment un meeting intitulé « La jeunesse communiste devant les événements actuels » le 26 avril 1937 à l’Eldorado Cinéma de Maison-Carrée, aux côtés de Gaston Chevalier, secrétaire des JC des Bouches-du-Rhône.

En juillet 1937, Albert Domenech se maria à El Biar, près d’Alger, avec Joséphine Hamdani, dite « Fifi ». Fifi Domenech sera une militante du Parti communiste et de l’Union des femmes françaises (UFF). Ils eurent trois filles entre 1935 et 1940.

Venu à Marseille, avec sa femme et ses enfants pour des raisons économiques, il milita au cercle de la Plaine. Le congrès de l’Alhambra de décembre 1937 l’élut au bureau régional des JC aux côtés de Victor Joannès et Robert Giudicelli. Il avait participé au congrès communiste de Villeurbanne (Rhône) en janvier 1936. Il travailla aux Aciéries du Nord, puis à la Compagnie française de raffinage (CFR) de La Mède, sur la commune de Châteauneuf-les-Martigues, en tant qu’électricien.
En février-mars 1938, alors que la guerre civile espagnole faisait rage, il signa dans Rouge-Midi plusieurs appels à participer aux collectes de lait pour les enfants espagnols. Il était secrétaire du « Comité départemental des journées du sacrifice pour l’Espagne républicaine ».
Il témoignera de l’hostilité envers les militants communistes suite au pacte germano-soviétique d’août 1939 : « Il y a eu une baisse du militantisme après le pacte. C’est sûr. Il a fallu beaucoup discuter avec des camarades. Nous étions peu nombreux à lire l’Humanité régulièrement et à pouvoir donner des explication. L’opinion était montée contre nous. Le dernier Rouge-Midi que nous avons vendu sur le pont de Jonquières [à Martigues] parlait du pacte. Les gens qui passaient nous insultaient. » (extrait de 1938-1945 : Les communistes face à la tourmente).

Appartenant à la classe 1936, Albert Domenech fut réformé définitivement en 1940. Au mois de juin, il fut contacté par Paul-Baptistin Lombard dit « Titin » pour rejoindre le Parti communiste interdit. Il fabriqua et distribua des journaux et des tracts clandestins contre Vichy et l’occupant. D’après les souvenirs du résistant port-de-boucain Joseph Brando, Lombard et Domenech créèrent début juillet 1941 un groupe de résistants d’obédience communiste à Martigues. Dans la clandestinité il côtoya également Gabriel Mouttet* dit « Biel ». Il fut arrêté le 10 octobre 1941 par la police spéciale dans la campagne Bricard à Marignane, en détention de tracts clandestins du Front national. Lors d’une perquisition à son domicile, on avait trouvé des tracts d’avant-guerre, des journaux clandestins et une machine à ronéotyper (ce dernier point sera évoqué dans une attestation signée par Marcel Mugnier en octobre 1953). Pendant 48 heures il fut soumis à Marseille à de violents interrogatoires : gifles, coups de poing et coups de pied au visage, menaces de le déchoir de ses droits paternels et de placer ses enfants dans un orphelinat. Il fut détenu la semaine suivante dans les caves de l’Évêché, siège de la police, puis au fort Saint-Nicolas. Selon le récit qu’il fit de son emprisonnement, ils étaient trois par cellule, crânes rasés, couchant sur des paillasses. Les prisonniers avaient le droit d’écrire à leur famille une fois par semaine. Par la suite on les regroupa dans la salle du haut : une centaine de camarades venant de toute la région, soudés par une forte solidarité. Ils discutaient de politique, certains donnant des cours de diverses disciplines, et se partageaient les colis. Le repas officiel était composé de feuilles de choux, de queues de poireaux et de courges, ainsi qu’une boule de pain de 250 grammes par jour et pour deux. Parmi les prisonniers, Domenech retrouva Paul-Baptistin Lombard. Ils s’entendirent pour cacher que ce dernier était membre du Parti communiste, car, à la différence de Domenech, il n’avait pas été fiché comme tel avant la guerre et la police n’avait rien trouvé chez lui.

Albert Domenech passa les 10 et 11 décembre 1941 avec dix autres militants communistes devant le Tribunal militaire de la XVe division militaire (section spéciale), siégeant en face du fort Saint-Nicolas. Selon le récit qu’il en fit, le procès se déroula à huis clos, avec trois juges, un procureur et un avocat commis d’office. Le procureur le décrivit comme un individu dangereux, agent de la IIIe Internationale, coupable de "reconstitution de ligue dissoute et d’intelligence avec l’ennemi". Il fut condamné à dix ans de travaux forcés, dix ans d’interdiction de séjour ainsi qu’à la déchéance de ses droits paternels et civiques. Son avocat tenta de le rassurer en lui disant que la guerre passerait vite. Parmi ses co-inculpés plusieurs comparaissaient pour activité illégale et liaison entre le Parti communiste d’Algérie et la métropole : Jean Devaux fut condamné à la peine de mort par contumace, Joseph Gabalda à vingt ans de travaux forcés, Jean Farrugia et Carmen Boatell (ou Boateil) à dix ans de travaux forcés. D’autres étaient jugés pour confection et distribution de tracts communistes à Marseille : Joseph Pastor condamné à mort par contumace, Adolphe Folignani aux travaux forcés à perpétuité par contumace et Antoine Ballari à quinze ans de travaux forcés.

Albert Domenech fut transféré à la prison Saint-Pierre à Marseille puis à la prison de Nice. Dans les lieux de détention qu’il connut il contribua à former des comités patriotiques. Interné à la centrale d’Eysses, située sur la commune de Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne), le 13 octobre 1943, il y assuma, suite à un contact avec Henri Auzias, la responsabilité d’un groupe du Front national de lutte pour la libération, distribuant journaux et tracts clandestins. Il participa à la formation du Bataillon d’Eysses et à la lutte armée des 19 et 20 février contre les forces de Vichy, soutenues par l’artillerie allemande, pour s’évader et rejoindre le maquis. Ce point fut confirmé par le Docteur Stéphane Fuchs, capitaine FFC (Forces françaises combattantes), et Raymond Prunières, lieutenant FFI (Forces françaises de l’intérieur), commissaires liquidateurs du Bataillon FFI de la centrale d’Eysses, en décembre 1951, qui établirent son appartenance au bataillon en qualité de soldat de la 1ere compagnie matricule 497. La répression frappa douze prisonniers qui furent exécutés par la police de Vichy, dont Henri Auzias. Livré aux SS le 30 mai 1944, Domenech fut conduit au camp de Compiègne-Royallieu (Oise), Frontstalag 122, et déporté le 18 juin 1944 vers Dachau sous l’autorité de la « Sipo Paris » (abréviation de Sicherheitspolizei, « Police de sûreté »). Peut-être fut-il molesté par les Allemands pendant le trajet car il était considéré comme blessé ce jour-là. À Dachau il porta le numéro de matricule 73375. Le document administratif enregistrant son arrivée au camp précise qu’il déclarait habiter à Marignane tandis que sa femme était domiciliée à Port-de-Bouc. Il fut détenu au Block 19.

Albert Domenech fut affecté au Kommando d’Allach, qui utilisait des déportés pour une manufacture de porcelaine, pour la firme BMW et enfin pour différents chantiers de l’organisation Todt. On l’envoya aussi au Kommando de Blaichach, qui travaillait pour l’usine BMW de Sonthofen. Pendant qu’il était déporté en Allemagne, il fut selon ses propres mots « responsable d’un trio pour le Comité de solidarité ».
Ses lieux de détention successifs l’amenèrent à croiser à plusieurs reprises le chemin de certains résistants communistes tels que Philippe Demaurizi à la prison à Nice, à la centrale d’Eysses, à Dachau et Allach ; Joseph Gabalda, qu’il côtoya à Eysses, Dachau et Allach ; ou encore Victor Michaut à Eysses, Dachau et Blaichach. C’est d’ailleurs de Blaichach que Domenech fut libéré le 30 avril 1945, avant d’être rapatrié le 13 mai par Strasbourg-Revigny.

Albert Domenech et sa femme avaient eu deux filles et un fils de plus entre 1943 et 1948. En septembre 1948, il fut homologué Résistance intérieure française (RIF) au titre du Front national avec le grade d’assimilation de sergent. Il était alors domicilié 9 rue Brescon à Martigues. En octobre 1953, une attestation de Marcel Mugnier, liquidateur national du Front national, venait appuyer cette reconnaissance.

En 1946, il était entré comme électricien aux Chantiers et Ateliers de Provence (CAP) de Port-de-Bouc. Après le lock-out de 1949, il joua un rôle important dans la reconstitution de la section syndicale CGT. En mars 1953, il assista au congrès départemental du Secours Populaire Français. La même année, il était secrétaire de la section du PCF de Martigues.
En 1954, suite au licenciement de Marius Fournier, Albert Domenech devint le nouveau secrétaire du syndicat des Métaux des CAP, fonction qu’il allait exercer jusqu’en 1966. En 1955, il fut élu au comité d’entreprise et délégué au conseil d’administration de l’entreprise.

En 1957, Albert, Fifi Domenech et leurs six enfants s’installèrent à Port-de-Bouc, dans le quartier Tassy, au bloc 1 du groupe Paul Langevin.

Il fut membre du Comité fédéral du PCF entre juin 1957 et juillet 1962. Durant cette période, après avoir milité à Istres, il devint secrétaire de la section de Port-de-Bouc entra au conseil municipal dans l’équipe de René Rieubon. Élu en mars 1959 sur la « Liste d’Union ouvrière et démocratique de lutte pour la paix, pour la défense des libertés républicaines » présentée par le PCF, il fut réélu lors du scrutin de mars 1965 et siégea jusqu’en 1971.

En 1966, l’annonce de la fermeture des CAP, poumon industriel de la ville, provoqua une multitude d’actions de résistance. Du 15 janvier au 4 mars, les distributions de tracts furent quotidiennes et les manifestations organisées chaque semaine, dépassant le strict cadre de la commune pour mobiliser dans tout le département. La CGT et le PCF étaient littéralement vissés à cette lutte. Des trains et des routes furent bloquées, des marches de protestation menées à Marseille et à Martigues, un comité de femmes assura une présence permanente, une journée de solidarité de la classe ouvrière du département et de l’ensemble de la construction navale eut lieu, ainsi qu’une consultation continue du personnel des chantiers. À deux reprises, Le Provence, dernier bateau construit aux CAP, fut pris par les ouvriers avant son départ. De son côté, la direction tenta plusieurs fois de réaliser un lock-out.
Lors des meetings, il y avait toujours une présence du Parti communiste. Mis à part René Rieubon, maire de Port-de-Bouc, et Georges Lazzarino, secrétaire de la Fédération du PCF des Bouches-du-Rhône et licencié des CAP en 1949, un certain nombre de figures communistes régionales ou nationales se rendirent sur place. Parmi elles on peut citer Marie-Claude Vaillant-Couturier, membre du Comité central, Maurice Garenq, du comité fédéral, Léon David, sénateur, Roger Donadio, conseiller général, Pierre Doize et Edmond Garcin, députés, Francis Turcan, maire de Martigues, et Marius Fournier, maire de Saint-Mitre-les-Remparts.
Le 7 mars, lors du départ du Provence, ce fut grâce aux interventions de René Rieubon et d’Albert Domenech que M. Vicaire, le "liquidateur" de l’entreprise, venu assister à l’événement, ne fut pas jeté à la mer par les ouvriers. Ce dernier dut toutefois quitter le quai en urgence, sous les insultes et les huées.

Ce n’est qu’une fois à la retraite qu’il fut homologué Déporté et interné de la Résistance (DIR) en janvier 1984. Depuis 1956 il avait droit à une pension de victime de guerre. L’obtention du statut DIR lui donna droit à une pension militaire d’invalidité de 100 % définitive plus 12 degrés pour maladies contractées en déportation assimilées à des blessures de guerre.

Albert Domenech participa en 1995 à la rédaction de la brochure intitulée 1938-1945 : Les communistes face à la tourmente dans les Bouches-du-Rhône.

Il prit part aux activités des anciens internés et déportés, faisant notamment avec Armand Guigue, rescapé de Buchenwald, des interventions dans les écoles pour témoigner auprès des jeunes générations de leur vécu des camps et rappeler les valeurs de résistance et de solidarité qui les avaient animés. En 2004 il était encore actif au sein de l’Amicale d’Eysses de la région PACA.

Il mourut le 4 juillet 2009 à Aix-en-Provence. En octobre 2016, le maire communiste Patricia Fernandez-Pédinielli honora au nom de la ville de Port-de-Bouc la mémoire de quatre résistants locaux en donnant leurs noms à des rues du quartier des Résidences de la Paix : Joseph Brando, François Caparros, Armand Guigue et Albert Domenech.

Le Service historique de la Défense de Caen possède des éléments le concernant dans ses archives.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article22813, notice DOMENECH Albert, Emmanuel par Jean-Pierre Besse, Jean-Claude Lahaxe, complété par Renaud Poulain-Argiolas, version mise en ligne le 15 mars 2021, dernière modification le 25 octobre 2022.

Par Jean-Pierre Besse, Jean-Claude Lahaxe, complété par Renaud Poulain-Argiolas

Albert Domenech jeune
[photo extraite de l’ouvrage de Jacky Rabatel]
Domenech condamné sous Vichy
Domenech condamné sous Vichy
L’Écho d’Alger du 13 décembre 1941.
Carte du combattant
Manifestation en 1963
Manifestation en 1963
Au bord à droite : Albert Domenech, au bord à gauche : René Rieubon, maire de Port-de-Bouc
[photo fournie par Cathy Borios]
Albert Domenech (à gauche) aux côtés de MIchel Vaxès, maire de Port-de-Bouc (au micro)
[Arch. mun. Port-de-Bouc]

SOURCES : Arch. de la fédération communiste des Bouches-du-Rhône, listes des instances dirigeantes établies de 1957 à 1962 ; liste interne établie le 26 mai 1964. — Arch. mun. Port-de-Bouc. — SHD Vincennes, GR 16 P 188537. — SHD Caen, AC 21 P 627458 (nc). — Mémorial annuaire des Français de Dachau, 1987. — Articles de L’Écho d’Alger : « La bagarre entre "Camelots du roi" et Jeunesses socialistes », 14 mars 1934 ; « Tribunal correctionnel d’Alger – Sixième chambre : Manifestants devant leurs juges - Deux sont condamnés », 15 mars 1934 ; « Jeunesses communistes », 24 avril 1937 ; « Onze communistes condamnés à Marseille », 13 décembre 1941. — Articles de Rouge-Midi, « Le Comité départemental des journées du sacrifice se réunira lundi », 18 février 1938 ; « Au secours des populations d’Espagne », 22 février 1938 ; 1er mars 1938 ; « Compte-rendu du Comité régional des Jeunesses communistes », 11 mars 1938. — « Au Tribunal militaire : Condamnation de communistes », Le Petit Provençal, 13 décembre 1941. — La Marseillaise, 16 mars 1953. — Bulletin d’ information et de liaison de l’Association Nationale pour la Mémoire des Résistants et Patriotes emprisonnés à Eysses, septembre 2004, n°230 (en ligne). — Article de Maritima Info, « Port-de-Bouc, les rues de l’histoire », 13 octobre 2016 (en ligne). — Jean Domenichino, Une ville en chantiers : La construction navale à Port-de-Bouc, 1900-1966, Edisud, 1989 (pp. 285-286, 290-291, 337). — Jacky Rabatel, Une ville du Midi sous l’occupation : Martigues, 1939-1945, Centre de Développement Artistique et Culturel, Martigues, 1986 (pp. 154-155, 223 [photographie]). — Pascal Posado et Léo Lorenzi et 150 témoins, 1938-1945 : Les communistes face à la tourmente dans les Bouches-du-Rhône, édité par la Fédération communiste des Bouches-du-Rhône et l’Amicale des vétérans, 1995, p. 20. — Joseph Brando, Notes d’histoire vécue à Port-de-Bouc durant l’occupation allemande de 1940 à 1945 (non publié). — Fragments d’Histoire, Section du PCF de Martigues (brochure), 2021, 52 p. — Renseignements fournis par l’intéressé à Georges Righetti en 1982. — Sources familiales. — Livre-Mémorial, Fondation pour la Mémoire de la Déportation. — Archives Arolsen. — Site Filae. — Site Généanet, Arbre généalogique de Bernard Costa-Perez. — Mémoire des Hommes (concernant Antoine Domenech). — Notice DOMENECH Henri par René Gallissot dans le Maitron en ligne. — Site Match ID, Acte N°973 N, Source INSEE : fichier 2009, ligne n°300278.

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