Par Jean-Louis Ponnavoy
Né le 13 décembre 1916 à Bény (Ain), victime civile des combats de la Libération morte le 6 septembre 1944 à Besançon (Doubs) ; monteur de bois ; victime civile.
Georges Chancenot était le fils d’Alcide Ernest Théodore, carrier-mineur et de Jeanne Camille Raulin, lingère. Ses parents étaient divorcés. Il était domicilié chez sa mère 70 faubourg Rivotte, à Besançon et exerçait le métier de monteur de bois. Il était célibataire.
Il entra dans la Résistance au groupe FFI de Besançon et fut tué dans les combats de la Libération le 5 septembre 1944 à Chaudefontaine (Doubs).
L’acte de décès fut dressé le 8 septembre sur la déclaration de sa mère.
Il est inhumé dans le carré militaire du cimetière Saint-Claude, à Besançon (Doubs).
Il obtint la mention « Mort pour la France ».
Son nom figure sur le monument aux morts, sur le monument de la Libération et sur le Livre d’Or des habitants de Besançon Morts pour la France, à Besançon (Doubs).
Par Jean-Louis Ponnavoy
SOURCES : Mémoire des Hommes.— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).