Par Jean-Louis Ponnavoy
Né le 5 octobre 1927 à Besançon (Doubs), victime civile de la Libération morte le 7 septembre 1944 ; manœuvre ; victime civile.
André Macle était le fils de Constant Étienne, carbonisateur et de Yvonne Rosalie Émilie Trimaille, sans profession. Il était célibataire et domicilié chez ses parents, 3 rue des Granges, à Besançon.
Les combats pour la Libération de Besançon commencèrent le 5 septembre. Ils dureront jusqu’au 8 septembre.
André Macle en fut victime et décéda le 7 septembre à une heure trente des suites de ses blessures, à l’hôpital Saint-Jacques, à Besançon.
Il obtint la mention « Mort pour la France » sur avis du Secrétaire général aux Anciens combattants en date du 1er juillet 1945.
Son nom figure sur le monument aux morts le monument de la Libération et le Livre d’Or des habitants de Besançon Morts pour la France, à Besançon (Doubs).
Par Jean-Louis Ponnavoy
SOURCES : Vivre aux Chaprais Il y a 70 ans, la Libération de Besançon (8 septembre 1944).— Mémorial genweb.— État civil (acte de décès).