DUMAY Alphonse dit Fonfon, [pseudonymes dans la Résistance : Victor, Bill, Marcel, Raphaël Storn]

Par Jean-Claude Lahaxe et Jean-Marie Guillon

Né le 25 août 1919 à Philippeville (Algérie), mort le 11 avril 1983 ; officier mécanicien de marine ; membre du comité de la fédération communiste des Bouches-du-Rhône ; membre des Groupes francs (GF) du mouvement Combat, puis des Mouvements unis de la Résistance (MUR), officier des Francs-tireurs et partisans (FTP).

Alphonse Dumay
Alphonse Dumay

Alphonse Dumay naquit dans une famille de militants communistes. Agnès Dumay, sa mère, fut tuée le 2 novembre 1938 lors d’un bombardement à Madrid. Auguste Dumay, son père qui décéda le 9 mai 1955, fut le secrétaire de la Fédération CGT des marins. Militante communiste elle aussi, sa sœur Juliette épousa Charles Nédélec. De santé fragile, elle décéda peu après son mariage à la suite de sa participation à une manifestation particulièrement dure.
Habitant avec sa mère rue Curiol, Alphonse Dumay était élève à l’école primaire supérieure Pierre Puget à Marseille (Bouches-du-Rhône) lors des événements de février 1934. En 1935, il participa à la fondation du premier cercle d’étudiants communistes de cette ville. Ce cercle devint membre de la fédération des JC. Alphonse Dumay contribua aussi à la création d’un comité antifasciste des étudiants qui adhérant au mouvement Amsterdam-Pleyel. Ce nouvel organisme siégeait tous les samedis dans les locaux de la Bourse du Travail.
Alphonse Dumay entra en 1936 à l’École de navigation de Marseille pour devenir officier mécanicien comme son père. En juillet 1937, il participa au congrès de la fédération des JC qui se tint à Paris. Il vint alors habiter dans cette ville chez son père qui, devenu capitaine d’armement à France-Navigation, était un des responsables des envois d’armes à l’Espagne républicaine. Alphonse Dumay embarqua lui aussi en tant qu’officier mécanicien sur les navires de cette compagnie. En 1938, il adhéra au Parti communiste.
À la fin de l’année 1939, Alphonse Dumay devint le père d’une petite fille qu’il appela Agnès en souvenir de sa mère.
Sans doute fut-il mobilisé durant la guerre. Il déclara avoir travaillé comme officier mécanicien sur le Carthage de mars à mai 1941, puis sur le Saint-Brieuc de juin 1941 à décembre 1942. Il entra vraisemblablement alors dans la clandestinité. L’action d’Alphonse Dumay dans la Résistance suscite bien des interrogations. Elle n’en fut pas moins remarquable, créant d’ailleurs autour de l’homme un certain légendaire. On le soupçonne d’être en cheville avec un ou des réseaux de l’Internationale communiste. Il n’en figura pas moins, comme son père, sur les listes noires du PC au moins jusqu’en septembre 1942. Il faisait pourtant partie au même moment, comme Raymond Vincent Dick et Alexandre Delabre Max, des GF du mouvement Combat, la volonté d’action se joignant à la volonté de récolter des moyens en argent et en armes pour le parti. Marcel Guizard affirme dans un texte partiellement publié en avril-mai 1949 dans La Marseillaise que ce fut sur ordre de la direction régionale des FTP que cette équipe aurait investi les GF. Dans sa demande pour obtenir le certificat d’appartenance FFI faite peu après la Libération, Dumay ne mentionna pas son engagement dans les GF de Combat et des MUR, mais il affirma que son action entre 1940 et le 1er novembre 1942 relevait de la « Résistance individuelle » et que son passage dans la « Résistance organisée » à partir de cette date s’inscrivait uniquement dans la cadre des FTP. Il déclara s’être livré durant la première période à de la diffusion de propagande clandestine (sans autre précision), avoir organisé une manifestation devant la préfecture le jour de la fête des Mères en mai 1942 et interpelé à cette occasion, et avoir transporté des imprimeries en caoutchouc lors de voyages en Espagne (ce qui ne manque de susciter la curiosité sur leurs buts). Ce serait donc en novembre 1942 qu’il aurait donné son adhésion aux FTP à Raymond Vincent Dick* et que celui-ci et Alexandre Delabre* l’aurait nommé commissaire aux opérations (CO) du détachement FTP n°2 qui, fort de trente hommes, avait pour base le quartier ouvrier de la Belle-de-Mai. Sa demande de certificat FFI laissait apparaître son implication dans diverses formes de Résistance. Il indiqua que les attaques de sièges de divers organismes de collaboration (Légion des combattants, Francisme, Jeunesse de l’Europe nouvelle) qu’il mentionnait – et que les sources policières attestent – associèrent FTP et GF (en clair, les FTP agissaient sous couvert des GF). Il mentionna sa liaison avec les maquis de l’Armée secrète (AS) grâce à Henri Masi*, ancien responsable de l’Organisation spéciale du parti communiste devenu responsable régional maquis de l’AS, et son soutien au premier maquis (FTP) du Luberon avec Roger Tarquin (probablement Edgar Tarquin* fusillé le 23 septembre 1943). Il ajouta qu’il assurait la protection des radios du réseau Azur jusqu’en Haute-Savoie et en Ardèche et qu’il avait participé à celle d’une liaison par sous-marin dans la presqu’île de Saint-Tropez, à Ramatuelle (Var) en mai 1943 pour le même réseau. Ce réseau américain, créé par Fred Brown à partir de février 1943, était le premier réseau de l’OSS (Office of Strategic Services) en France. Raymond Vincent et Delabre y participaient aussi. D’après Marcel Guizard*, Delabre et Franck Boujard* participaient à l’opération de Ramatuelle. C’est à cette occasion qu’ils auraient réceptionné les premières mitraillettes stens parvenues dans la région. Brown ignorait, au moins au début, qu’ils étaient communistes, tout comme l’ignoraient les officiers du réseau britannique Monk du SOE (Special Operations Executive) dont il était devenu l’officier de sécurité, ce que Dumay n’indiqua pas dans sa demande de certificat FFI. Avec les armes et les explosifs récupérés dans les parachutages reçus par ces réseaux, il put équiper plusieurs détachements FTP urbains, notamment celui que dirigeait à Aix-en-Provence, André Claverie*, qu’il vint trouver en janvier 1943. Ce dernier fit son premier sabotage avec lui en février 1943. Plusieurs autres suivirent sur les voies ferrées de la région, contre le tunnel ferroviaire de Cassis (Bouches-du-Rhône), les locomotives de la gare de La Blancarde à Marseille. Claverie participa à la réception avec lui de trois parachutages du SOE au nord d’Aix-en-Provence dans le secteur Jouques-Le Puy-Sainte-Réparade au début de 1944. Dumay dirigeait alors comme CO un détachement qui devint la 7e compagnie FTP, créée à partir du groupe FTP/GF auquel il avait donné le nom de Raymond Vincent après la mort de celui-ci. Ce détachement aurait compté d’après lui cent vingt membres dont trente permanents. Dans sa demande de certificat FFI, Dumay énuméra de nombreuses actions réalisées par ses groupes en plus de celles qui viennent d’être évoquées : destruction de pylône à haute tension (1er mai 1943), destruction de boites relais de tramways pour appuyer une action contre le STO (mars 1943), des attentats contre une imprimerie « collabo » et le siège du PPF à Marseille, des sabotages contre des installations industrielles (réservoirs Kuhlmann au quartier de L’Estaque, usine Lafarge à Fos-sur-Mer) et d’installations ferroviaires. Pour Gaston Beau et Louis Blésy décrivant les origines de l’insurrection marseillaise, Dumay fut « un organisateur, mais aussi un chef qui donne l’exemple ». Son état-major était composé d’Yves Lariven* qui était son second, de Pierangeli Tunis, d’Edmond Bertrand dit Bertrand le Bègue (d’après Claverie) et peut-être de Charles Thorimbert, un ancien des Brigades internationales qui devint commissaire régional aux opérations pour les FTP du Vaucluse en 1944. Alphonse Dumay fut blessé de deux balles par la police allemande lors d’un rendez vous chez Garoutte Tréville, membre des GF, le 28 août 1943, dans la quartier des Chartreux à Marseille. Lui-même aurait tué l’un des policiers et en aurait blessé deux autres (il écrivit avoir tué les trois policiers dans sa demande de certificat FFI comme dans le témoignage qu’il donna à Combattre, hebdomadaire des FTP en janvier 1946). Ayant pu s’échapper, il fut soigné par le Dr Gauthier* à l’hôpital Saint-Joseph, puis dans le Vaucluse, par le Dr Appy.
Sa compagnie continua d’agir et réalisa, notamment, sous la direction de Lariven le sabotage spectaculaire de quatorze locomotives à Pertuis (Vaucluse) dans la nuit du 14 au 15 mars 1944. Après l’arrestation d’Yves Lariven, blessé en opération, condamné à mort et fusillé le 20 mai, et la découverte de son dépôt d’armes et de ses planques, Dumay décida de se replier dans le Lubéron où sa famille s’était réfugiée. Avec Edmond Bertrand Tite, son second, il rejoignit son père qui était caché chez Henri Roman, à la carrière de La Roche d’Espeil (commune de Buoux, Vaucluse). Il décida d’y constituer un maquis en mai 1944 avec la complicité du carrier et du directeur de la colonie de vacances de Buoux. Le groupe – sept hommes - prit alors le nom d’Yves Lariven. Tandis que Tite devenait Tito, Dumay, qui en était le chef incontesté, changea de pseudonyme pour prendre le nom d’un brigadiste tué en Espagne, Raphaël Storn ou Sthorn. Pour tous, il était le commandant Raphaël. Son maquis, redouté, prit de l’extension, en contact avec les FTP de la région, ceux de Pertuis et de Bonnieux en particulier. Il était composé d’étrangers - Espagnols évadés de GTE (groupes de travailleurs étrangers), Italiens, Russes déserteurs de la Wehrmacht – et recrues locales, souvent jeunes. Nommé commissaire aux opérations (probablement du sous-secteur), il établit de bonnes relations avec les autres composantes de la région, notamment l’Armée secrète du Vaucluse et la Section atterrissages et parachutages (SAP) qui contribuèrent à son armement. D’après René Gilli, membre de l’état-major départemental FTP (commissaire technique), le camp se distinguait par son organisation militaire, différente de celle « bon enfant » qu’il avait constatée ailleurs, et qu’il était « convenablement armé » avec, en particulier, deux mitrailleuses et deux mortiers. En août 1944, il comptait trente deux membres, dont des Espagnols, répartis en plusieurs groupes aux noms significatifs (Franck Boujard*, Raymond Vincent*, Édouard Tarquin*, Jean Thibaut, France-Lorraine, France-Belgique, Messidor). Il effectua de nombreux coups de main et exécuta plusieurs suspects de collaboration. Dans un compte-rendu du 7 août (cité par Louis Coste dans son ouvrage sur le secteur d’Apt, p. 91), il indiquait pour le 4 août une attaque de « miliciens » à Ménerbes, la destruction d’un camion le 5 (dix Allemands tués), et, le 6, l’occupation du village de Lacoste avec tenue de deux meetings (sic). Dans la demande de certificat FFI déjà citée, il ne citait que l’attaque du camion, mais ajoutait la destruction du pont ferroviaire sur la Durance dans la nuit du 17 au 18, et la « bataille de Coustellet » le 19. Il reprenait certains de ces faits dans l’article qu’il écrivit pour Combattre et qui fut publié en janvier 1946. Il y mentionnait seulement les actions effectuées à partir du 5 août dont une récupération d’essence à Apt le 14 août, en précisant que ce jour-là l’action s’était passée à Mérindol (Vaucluse) après l’« occupation » du village et la « récupération » de 6 000 F à la poste (avec la complicité de la préposée), et que l’action à Lacoste avait pour but de prendre les vélos des jeunes gens qui participaient à un bal clandestin. Il justifiait la coûteuse et contestée affaire de Coustellet où onze des hommes qu’il avait envoyé intercepter un convoi de blindés de la XIe Panzer Division avaient été tués (voir notice Lieux). Il ne mentionnait que c’était en représailles qu’avaient été exécutés à la carrière de La Roche d’Espeil le 21 ou le 22 août onze prisonniers du maquis, huit Français (dont trois femmes et pasteur Noël Vesper) et trois Allemands.
Après avoir participé à la libération de son secteur, il s’engagea dans l’armée. Chef du 1er bataillon FFI (Forces françaises de l’Intérieur) Ventoux, il devint chef de bataillon adjoint au commandant du Bataillon 14/15, puis chef de bataillon adjoint au commandant du 1/141e Régiment d’infanterie algérienne qui combattait sur le front des Alpes (haute vallée de l’Ubaye). Muté au centre d’organisation de l’infanterie 115 à Marseille, il fut démobilisé là le 23 octobre 1945. Homologué comme lieutenant de réserve, il sortait de la guerre décoré de la Légion d’honneur à titre militaire et de la Croix de guerre avec citation à l’ordre de la division.

Alphonse Dumay se retrouva en 1947 prisonnier des Anglais à Chypre pour avoir transporté clandestinement des Juifs vers la Palestine.
Revenu en France, il participa aux événements de novembre 1947 à Marseille. Durant les années suivantes, il continua à multiplier les activités militantes dans cette ville. En 1949, alors qu’il était président départemental des anciens FFI, il fut promu au comité de la fédération communiste des Bouches-du-Rhône. En juin de cette même année, Alphonse Dumay fut nommé secrétaire général du Comité d’action départemental pour la paix au Viêt-nam. À ce titre, il contribua à la création de plusieurs comités dans les quartiers (en particulier de ceux de Saint-Gabriel et d’Endoume). Il fut aussi membre du comité d’organisation de la journée départementale de la paix du 2 octobre 1949. Alors qu’il se rendait en voiture vers le cinéma Oddo pour y animer un meeting de protestation contre l’arrivée à Marseille d’un train chargé de chenillettes à destination de l’Indochine, Alphonse Dumay fut interpellé dans la nuit du 30 au 31 janvier 1950 en compagnie de Lucien Molino, Mireille Dumont et de Max Biondi. En janvier 1951, il se montra actif au sein du comité de défense Henri Martin de Marseille.
À cette époque, la lutte contre la « sale » guerre ne fut pas son unique activité militante puisqu’il fut membre du comité de défense en Provence des persécutés et emprisonnés en Yougoslavie et qu’il s’impliqua au sein des organisations des anciens FFI et FTPF en tant que membre du bureau départemental, puis à l’issue du congrès qui se tint à Marseille en mai 1951, de membre du comité. Alphonse Dumay n’hésita pas à critiquer les responsables du PCF chaque fois qu’il jugea que ces derniers ne prenaient pas suffisamment en compte la défense des intérêts des anciens résistants. Le 4 juillet 1951, il reprocha par exemple aux membres du bureau de la section du Centre de ne pas s’être assez mobilisés pour commémorer le souvenir de Francis Aicard. Ces heurts ne l’empêchèrent pas pour autant de contribuer à organiser le soutien des candidats présentés par le PCF à l’occasion des cantonales d’octobre 1951.
L’activité militante d’Alphonse Dumay fut aussi importante en 1952. Toujours secrétaire départemental des FTPF et nommé secrétaire administratif de la FORR à la suite de l’assemblée générale du 24 février, il participa, le 2 mars, au meeting organisé en faveur des 34 emprisonnés de Barcelone et fut de nouveau élu au comité de la fédération communiste des Bouches-du-Rhône à la suite du congrès des 29 et 30 mars. Le 20 avril, Alphonse Dumay participa aux cérémonies commémoratives des mutineries de la Mer Noire. Lors de la manifestation organisée le 28 mai contre la venue en France du général Ridgway, il fut chargé de diriger le secteur Nord de Marseille. En novembre, il entra au secrétariat de la section communiste Port et Marine.
L’année 1953 débuta sur un rythme similaire. En janvier, Alphonse Dumay intenta un procès au quotidien Le Méridional qui, en août 1952, avait accusé les communistes d’être des traîtres. Ce même mois, il participa à une réunion contre la CED organisée au cinéma La Plaine.
Il fut actif jusqu’en mai 1968.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article23307, notice DUMAY Alphonse dit Fonfon, [pseudonymes dans la Résistance : Victor, Bill, Marcel, Raphaël Storn] par Jean-Claude Lahaxe et Jean-Marie Guillon, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 16 avril 2020.

Par Jean-Claude Lahaxe et Jean-Marie Guillon

Alphonse Dumay
Alphonse Dumay

SOURCES : Liste établie en 1952 par la fédération communiste des Bouches-du-Rhône. - Arch. dép. Bouches-du-Rhône, dossier 148 W 290, notes du 21 septembre 1949 et du 31 janvier 1950 ; dossier 148 W 291, notes du 22 mai 1951, du 6 juillet 1951, du 31 mai 1952 et du 15 juin 1952, dossier 148 W 294, note du 26 février 1952. — Arch. Musée de la Résistance nationale de Champigny, A2 98 PCF IV Régions Marcel Guizard, « Marseille, citadelle de la Résistance ». — Arch. Louis Blésy, Lucien Beau et Louis Blésy, « Les origines de l’insurrection ». — Combattre n° 37, 13 janvier 1946, Alphonse Dumay, « Nationale 100 ». — La Marseillaise : 9, 22, 23 juin, 15 juillet 1949, 19 janvier 1950, 20 janvier, 24 septembre, 2 octobre 1951, 21 avril, 9 novembre 1952, 3 mars, 9 juillet 1952, 7, 12 janvier 1953. — Madeleine Baudoin, Témoins de la résistance en R2, tome 2, thèse de doctorat d’État, Université de Provence (Aix-Marseille I), 1977. — Marcel-Pierre Bernard, Les communistes dans la Résistance, Marseille et sa région, Université de Provence (Aix-Marseille I), thèse 3e cycle Histoire, 1982. — Jean-Maurice Claverie, La Résistance, notre combat. Histoire des Francs-tireurs et partisans français du pays d’Aix⎬, Beaurecueil, Éd. Au seuil de la vie, 1991. — Louis Coste (dir.), La Résistance du pays d’Apt, de la Durance au Ventoux. Historique, Apt, 1974, rééd. 1982. — René Gilli, 1936…1946. Tranche de vie⎬, La Trinité, 1999. — Jean-Marie Guillon, ⎨La Résistance dans le Var. Essai d’histoire politique⎬, Aix-en-Provence, thèse de doctorat d’État, Université Aix-Marseille I, 1989, accessible en ligne (site var39-45.fr). — Robert Mencherini, Résistance et occupation (1940-1944), tome 3 de Midi rouge, ombres et lumières, Paris, Syllepse, 2011.— Lucien Molino, Ma vie et mes combats, Miramas, édité à compte d’auteur, 2000, p. 73.—Témoignages André Claverie, René Gilli. — Notes de Jean Michel. Sanchez.

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