Par Jean-Luc Marquer
Né le 11 février 1906 à Montricher (aujourd’hui Montricher-Albanne, Savoie), tué accidentellement en service commandé le 3 mai 1944 à Méaudre (aujourd’hui, Autrans-Méaudre-en-Vercors, Isère) ; ouvrier mécanicien ; résistant de l’Armée secrète, homologué Forces françaises de l’Intérieur.
Selon les sources et les lieux Perreto s’écrit Perretto, Peretto ou Pereto.
Marcel Perreto était le fils d’ Ambroise, Giacinto et d’Augustine Col, son épouse.
Il était ouvrier mécanicien.
Il épousa Ettorina, Clélia Durand. En dernier lieu ils habitaient 17 rue Lesdiguières à Grenoble (Isère).
Marcel Perreto appartenait à un groupe franc de Grenoble (Isère) et était un compagnon d’Henri Tarze, dit Bob.
Activement recherché dans l’agglomération grenobloise, il gagna le maquis du Vercors, secteur 8 de l’AS Isère. Il fut chargé de la surveillance de la route montant vers le plateau depuis Sassenage (Isère), tâche dont il s’acquit parfaitement.
Il fut tué accidentellement en service commandé le 3 mai 1944 à Méaudre (aujourd’hui, Autrans-Méaudre-en-Vercors, Isère).
Il obtint la mention "Mort pour la France" et fut homologué résistant, membre des Forces françaises de l’Intérieur.
Il est désormais enterré au cimetière Saint-Roch à Grenoble (Isère), carré 19, rang 5 emplacement 05230.
Son nom figure sur une plaque déposée au pied du monument aux morts de Méaudre,
Une rue de Grenoble porte son nom, orthographié Peretto.
Notice provisoire
Voir : Méaudre
Par Jean-Luc Marquer
SOURCES : SHD Vincennes, GR 16 P 468397 (à consulter) ; GR 19 P 38/16 — AVCC Caen, AC 21 P 128173 (à consulter) — Mémoire des hommes — Geneanet — Musée de la résistance en ligne — Gescimenet.com — https://theses.univ-lyon2.fr/documents/getpart.php?id=lyon2.2000.barriere_p&part=11582 — Les Mille et une rues de Grenoble — État civil