YAMAKAWA Hitoshi

Né le 20 décembre 1880 dans le département d’Okayama ; mort le 28 mars 1958. Théoricien de l’École marxiste Rōnō (Rōnō ha). Un des fondateurs du P.C.J. ; rédacteur en chef de la revue Rōnō (Ouvriers et paysans) ; puis dirigeant et théoricien de l’aile gauche du Parti socialiste japonais (Nihon shakai tō) après la Seconde guerre mondiale.

Fils aîné de YAMAKAWA Seibei qui était à la fois agriculteur et commerçant, YAMAKAWA Hitoshi naquit dans le village de Kurashiki (actuelle ville de Kurashiki), district de Kuboya, département d’Okayama. Il entra en 1895 à l’école Doshisha de Kyōto pour y suivre des cours de rattrapage et fut admis l’année suivante, en application de la réforme du système scolaire, en troisième année du cycle secondaire ordinaire ; mais il abandonna ses études un an plus tard en signe de désapprobation du contenu de la réforme. Il se rendit alors à Tōkyō où, ayant élu résidence chez AKIYAMA Teisuke président du journal Niiroku shinpō (La Dépêche du 26), il fréquenta l’école secondaire Meiji gikai et l’école Tōkyō seiji. Ayant lancé en 1900 avec MORITA Bunji (pseudonyme : YŪSHŪ), qu’il avait rencontré chez son hôte AKIYAMA, la petite revue Seinen fukuin (L’Évangile pour la jeunesse), il fut inculpé du crime de lèse-majesté pour un article rédigé avec MORITA sur le mariage du prince héritier, le futur empereur Taishō, article intitulé « Jinsei no dai sangeki » (Un événement funeste pour l’humanité) ; condamné à une peine de trois ans et six mois d’emprisonnement assortie d’une amende de cent vingt yen, il fut de plus, assujetti à une surveillance policière d’un an après avoir purgé sa peine. Incarcéré à partir de 1901 dans la prison de Sugamo, il y étudia seul les sciences économiques et plus particulièrement Smith, Ricardo et Marshall ; quand il eut été relaxé en 1904, il retourna à Kurashiki pour y travailler dans le magasin de produits pharmaceutiques de son beau-frère.
Ayant adhéré au Parti socialiste (Shakaitō) fondé en février 1906, il fut invité par KŌTOKU Shūsui à devenir membre de la rédaction du Heimin shimbun quotidien (Le Journal de l’homme du peuple). Lorsqu’au cours du deuxième congrès du Parti socialiste, en février de l’année suivante, éclata la controverse au sujet de la ligne politique du mouvement, YAMAKAWA Hitoshi se rallia à la doctrine de l’action directe défendue par KŌTOKU Shūsui ; après la dissolution forcée de l’organisation, il participa aux réunions de la Société du vendredi (Kin’yōkai) animée par ce dernier et, tout en éditant avec SAKAI Toshihiko la brochure Rōdōsha (Ouvrier), il collabora également au Ōsaka (nihon) heimin shimbun (Journal de l’homme du peuple d’Ōsaka et du Japon), dans lequel il défendit les positions de l’anarcho-syndicalisme. Impliqué dans l’incident de janvier 1908 au cours duquel les principaux participants aux causeries de la Société du vendredi refusèrent d’obéir à l’ordre de dispersion donné par les autorités, il fut condamné à une peine d’emprisonnement d’un mois ; mais ayant pris part, peu après, en juin, à la manifestation organisée pour fêter la libération de YAMAGUCHI Gizō au cours de laquelle furent brandis des drapeaux rouges (Affaire du drapeau rouge, il fut cette fois condamné à une peine de deux années d’incarcération dans la prison de Chiba. Ce qui lui permit d’échapper à la dure répression qui accompagna l’Affaire du complot de lèse-majesté. Après sa libération en 1910, il retourna une nouvelle fois dans son village natal où il ouvrit un magasin de produits pharmaceutiques ; fermant boutique cinq ans plus tard, il se rendit à Kagoshima pour s’y occuper de la gestion d’un élevage de chèvres, mais ce fut là encore un échec.
Il reprit donc en 1916 la route de Tōkyō, et étant entré à la maison d’éditions de SAKAI Toshihiko, Baibunsha (La Société des écrivaillons), il collabora à la rédaction du Shin shakai (La Nouvelle société) ; il épousa en novembre, AOYAMA Kikue, militante du mouvement socialiste des femmes. Il se lança alors pendant plus d’une année dans une controverse avec YOSHINO Sakuzō, et ŌYAMA Ikuo, farouches défenseurs du principe de la souveraineté du peuple (minponshugiron) ; il les critiqua principalement à partir du point de vue de la classe ouvrière. Ayant organisé en 1919 avec ARAHATA Kanson le Groupe d’études sur les syndicats ouvriers (Rōdō kumiai kenkyūkai), il entreprit une action de diffusion de ses idées et d’information de la classe ouvrière au moyen de la Revue Aofuku (Habits bleus) dont chaque numéro fut d’ailleurs interdit ; il fut finalement condamné à une peine de quatre mois d’emprisonnement pour avoir revendiqué dans cette publication les droits d’association et de grève pour les travailleurs.
A sa libération en février 1919, il lança avec SAKAI Toshihiko une nouvelle revue Shakaishugi kenkyū (Recherches sur le socialisme) dans laquelle, présentant des textes commentés de théoriciens marxistes notamment K. Radek, E. Unterman, M. Adler et J. Dietzgen, ils se livrèrent à la diffusion de la philosophie et de l’économie marxistes, à la propagation de la Révolution bolchevique et de la situation en Russie soviétique, à la description du mouvement ouvrier dans les pays étrangers, et exposèrent la pensée socialiste en général. Après la fin de la Première guerre mondiale, YAMAKAWA Hitoshi participa, en 1920, au rassemblement des militants syndicalistes ouvriers et de tous les socialistes dans une seule et vaste organisation, la Fédération socialiste du Japon (Nihon shakaishugi dōmei) et collabora même après la dissolution de ce groupement qui survint l’année suivante, au mois de mai, à la rédaction de ses organes de presse Shakaishugi (Socialisme) et Shakaishugi kenkyū (Recherches sur le socialisme) ; y abordant des sujets tels que la dictature du prolétariat ou traitant de l’organisation fonctionnelle du Parti communiste d’Union soviétique, il poursuivit son œuvre d’éducation des militants communistes. C’est ainsi qu’il prit une part active à la formation du Parti communiste japonais en juillet 1922 ; il publia dans le numéro d’août de Zen’ei (Avant-garde) son article « Musan kaikyū undō no hōkōtenkan » (Changement d’orientation du mouvement prolétarien) qui devait influer de manière décisive sur le mouvement ouvrier de cette époque : en effet, dans la perspective de vaincre l’esprit syndicaliste qui régnait alors au sein du mouvement, il était indispensable, selon lui, qu’une avant-garde peu importante mais bien formée s’attachât à pénétrer les rangs de la masse ouvrière afin de l’animer. Impliqué dans la première Affaire de répression du Parti communiste en juin 1923, YAMAKAWA Hitoshi fut acquitté trois ans plus tard pour insuffisance de preuves. Mais à la suite de cette vague d’arrestations, il commença à conseiller la dissolution du Parti communiste, puis l’inutilité de sa reconstitution ; d’accord avec la stratégie du front unifié préconisée par le Comintern, il se fit le défenseur de la formation d’un « parti de front commun » qui regrouperait politiquement toutes les forces économiques anticapitalistes de la nation, à commencer par les ouvriers et les paysans et marqua fortement de son empreinte l’aile gauche du mouvement pour la constitution de partis prolétariens. Cependant la doctrine du « parti de front commun » de YAMAKAWA Hitoshi différait de la doctrine du front unifié du Comintern en ce sens qu’elle n’avait pas pour prémisse la constitution d’un parti d’avant-garde. Et il fut bientôt vivement attaqué, d’une part, par FUKUMOTO Kazuo qui dénonçait l’éclectisme avec lequel YAMAKAWA Hitoshi mêlait mouvement politique et mouvement économique, en niant la nécessité d’une concentration des forces marxistes politiquement conscientes ; il fit, d’autre part, l’objet des attaques du Comintern dans les Thèses de 1927 du Parti communiste japonais pour « dissolutionnisme » et « spontanéisme ».
En décembre 1927, YAMAKAWA Hitoshi fonda avec des opposants au « fukumotoïsme », comme SAKAI Toshihiko et INOMATA Tsunao, la revue Rōnō (Ouvriers-paysans) dans laquelle il publia « Seiji teki tōitsu sensen e » (Vers un front politique unifié) : dans cet article, il affirmait que l’ennemi principal de la classe ouvrière japonaise était la bourgeoisie impérialiste et que, par conséquent, la première tâche du prolétariat japonais était d’affronter cette classe dirigeante en faisant bloc dans un « parti de front commun » regroupant les partis prolétariens d’alors, à savoir : le Parti des ouvriers et des paysans (Rōnōtō ou Rōdō nōmintō), le Parti des paysans japonais (Nihon nōmin tō) le Parti ouvriers-paysans japonais (Nichirōtō ou Nihon rōnōtō) et le Parti socialiste du peuple (Shamintō ou Shakai minshūtō) ; cette position de YAMAKAWA était en totale contradiction avec la ligne adoptée par le Parti communiste japonais (Nihon kyōsantō) dans ses Thèses de 1927. Les partisans de YAMAKAWA Hitoshi, militant au sein de l’Ecole marxiste Rōnō (Rōnō ha) du nom de leur revue, réussirent, en décembre 1928, à constituer le Parti populaire japonais (Nihon taishū tō) qui regroupait sept partis autour du Parti ouvriers-paysans japonais (Nichirōtō), mais, bientôt, surgit le problème de l’« épuration » de la nouvelle formation à propos des rapports que ses cadres devaient entretenir avec la classe dominante. Au nom de la priorité absolue à donner à l’unité, YAMAKAWA Hitoshi entra alors en conflit avec la fraction d’INOMATA Tsunao qui réclamait une « épuration » systématique des responsables, et il annonça officiellement, en 1929, qu’il se retirait du cercle constitué autour de la revue Rōnō. La question de l’épuration avait divisé le Parti populaire (Taishūtō) et, au cours de la période d’éclatement et de scissions que traversèrent alors les partis prolétariens légaux, YAMAKAWA Hitoshi continua d’écrire de nombreux articles en faveur d’une unification du front politique prolétarien qu’il publia dans des revues comme Rōnō (Ouvriers-paysans), Kaizō (Reconstruction), et Chūō kōron (Tribune centrale) ; c’est ainsi que, par son argumentation théorique, il contribua de manière décisive à la constitution, en juillet 1931, du Parti populaire national (Zenkoku taishū tō) et qu’il eut même une influence certaine sur l’élaboration de la ligne du mouvement par le biais de l’aile gauche du parti dont les leaders comme SUZUKI Mosaburō étaient proches de lui. Après l’Incident de Mandchourie qui marqua l’entrée en guerre du Japon, YAMAKAWA Hitoshi rédigea, à la fin de l’année 1931, une proclamation « Dai issen yori intai » (Retrait des premières lignes) et se mit dès lors à écrire pour des revues d’information générale des critiques sur l’actualité assorties parfois de violentes diatribes contre le glissement vers la droite du Parti socialiste populaire (Shataitō ou Shakai taishū tō) qu’il ne réussit cependant pas à entraver.
En décembre 1937, il fut arrêté dans le cadre de l’Affaire du Front populaire, et resta sous mandat de dépôt pendant un an et demi à la maison d’arrêt de Sugamo ; après sa relaxation, il put retourner dans sa maison de Fujisawa mais il lui était interdit de se livrer à ses activités de plume ; il fut déporté plus tard dans le village de Kokufu, district d’Ashina, département de Hiroshima où il vécut la fin de la guerre et la défaite du Japon.
Il avait alors soixante-cinq ans et retourna dès le mois de septembre 1945 à Tōkyō car il désirait éditer un journal ou une revue ; mais parce que le papier manquait et que les imprimeries étaient surchargées de travail, il dut se contenter de collaborer à la revue d’ONO Shun’ichi, Minshū shimbun (Le Journal du peuple). YAMAKAWA Hitoshi publia dans le numéro du 14 janvier 1946 du Minshū shimbun un article dans lequel il réclamait la constitution d’un front populaire démocratique, qui réunirait tous ceux qui aspiraient à une démocratisation réelle du Japon, à savoir, les partis politiques, les syndicats ouvriers, les organisations paysannes, les associations culturelles, les organes d’opinion et aussi les individus concernés. Il fut l’un des organisateurs de la réunion destinée à fêter le retour de Chine de NŌSAKA Sanzō et c’est en tant que président de cette assemblée de trente mille participants qu’il participa activement à la réalisation de l’unification du front pour laquelle il avait lutté. En avril de l’année suivante s’ouvrit la séance inaugurale du Congrès pour la constitution d’une Ligue populaire démocratique (Jinmin minshū renmei) dont il fut élu président ; mais, cloué au lit par une forte fièvre, il ne put prendre part aux débats. Le diagnostic des médecins révéla qu’il s’agissait d’un cancer et il fut transféré le mois suivant à la maison de cure de Shimosōga dans le département de Kanagawa. La Ligue commença officiellement ses activités en juillet mais, gênée par l’obstruction de l’aile droite du Parti socialiste et par les critiques du Parti communiste, elle ne réussit jamais à avoir une action décisive et se démembra d’elle-même au mois de mai de l’année suivante.
Après la dissolution de la Ligue, YAMAKAWA Hitoshi lança en août 1947 la revue Zenshin (En avant), dans laquelle il se proposait de traiter du processus d’évolution de la « révolution démocratique » en cours et d’effectuer des recherches pour l’inscrire dans la pratique. Assumant avec SAKISAKA Itsurō la responsabilité de la publication, il s’y livra alors à une critique violente du Parti socialiste dominé par son aile droite et de la ligne politique du Cabinet KATAYAMA ; il encouragea de plus l’aile gauche de ce même parti à faire scission afin d’affirmer l’indépendance des partis d’obédience socialiste par rapport au pouvoir. YAMAKAWA Hitoshi fonda, en octobre 1948, l’Association pour la promotion d’un parti authentiquement socialiste (Shakaishugi seitō sokushin kyōgikai) qui fut bientôt connue sons le nom de « Nouveau parti de YAMAKAWA » ; quand ARAHATA Kanson en prit la présidence, l’organisation adopta pour dénomination Société pour la préparation d’un parti socialiste du travail (Shakaishugi rōdōtō junbi kai) avec pour objectif de fonder un parti socialiste s’appuyant sur la Fédération pour la démocratisation des syndicats ouvriers (Rōdō kumiai no minshuka dōmei) ; mais cette tentative échoua. Lorsqu’au cours du IVe congrès du Parti socialiste en avril 1949, la controverse entre INAMURA et MORITO révéla les dissensions existant au sein du parti sur la question de la révolution au Japon, le groupe de la revue Zenshin (En avant), dont YAMAKAWA Hitoshi était le chef de file, adopta aussitôt une attitude de soutien à l’aile gauche du Parti socialiste ; mais sur la question du réarmement, le groupe lui-même fut divisé entre les partisans d’un armement garant de l’indépendance nationale dont les représentants étaient ARAHATA Kanson, TSUSHIMA Tadayuki et KOBORI Jinji et ceux qui restaient fidèles à la ligne de YAMAKAWA : c’est ainsi que la parution de Zenshin (En avant) fut suspendue en août 1950 et que le cercle de ses amis se dissocia.
Après le déclenchement de la guerre de Corée, la question du Traité de paix vint à l’ordre du jour. A partir du printemps 1951, YAMAKAWA Hitoshi se fit le champion de la lutte contre le réarmement, pour la signature d’un traité de paix avec toutes les parties belligérantes de la Deuxième guerre mondiale sans exclusive, et pour une neutralité non armée placée sous la garantie des Nations unies ; c’est avec ces options que fut constituée au mois de mai de cette même année l’Association socialiste (Shakaishugi kyōkai) dont YAMAKAWA et ŌUCHI Hyōhei assumèrent la responsabilité — l’organe de presse de la nouvelle organisation, Shakaishugi (Socialisme), commença à paraître le mois suivant.
Quand le Parti socialiste japonais se fut scindé en deux, à propos de la question du Traité de paix, YAMAKAWA Hitoshi et l’Association socialiste (Shakaishugi kyōkai) soutinrent le Parti socialiste de gauche (Saha shakai tō) et la rédaction du programme de ce parti fut confiée à SAKISAKA Itsurō, un des animateurs principaux de l’Association qui était en faveur de la doctrine de la Révolution socialiste pacifique (Shakaishugi heiwa kakumei). Mais, lors des discussions qui se déroulèrent au sein de l’Association socialiste (Shakaishugi kyōkai) à propos du projet rédigé par SAKISAKA Itsurō, TAKANO Minoru et SHIMIZU Shinrō entre autres, proclamèrent leur opposition au nom de la doctrine de la Révolution socialiste de libération nationale (Minzo kukaihō shakaishugi kakumei) et quittèrent l’organisation. Le projet de programme de SAKISAKA fut néanmoins adopté avec quelques amendements par le congrès du Parti socialiste de gauche (Saha shakaitō) en janvier 1954 ; à cette occasion, YAMAKAWA Hitoshi fut cité comme le plus grand serviteur du mouvement socialiste japonais. Non contente d’offrir au Parti socialiste de gauche son assise théorique, l’Association socialiste (Shakaishugi kyōkai) s’efforça d’approfondir ses relations avec les dirigeants de gauche de la Fédération de démocratisation (Mindō) du Conseil général des syndicats ouvriers (Sōhyō ou Nihon rōdō kumiai sōhyōgikai) comme OTA Kaoru et IWAI Akira et exerça ainsi une grande influence sur le mouvement syndicaliste de cette époque.
Au moment de la réunification du Parti socialiste japonais en 1955, YAMAKAWA Hitoshi tenta de maintenir le Parti socialiste de gauche à l’écart au nom de la préservation de son originalité, mais n’ayant pu réussir, il critiqua le programme du Parti unifié et s’efforça d’accroître le nombre et la détermination des adhérents se réclamant du programme de l’ancien Parti socialiste de gauche. A partir du printemps 1957, il commença à ressentir une certaine gêne dans la région de l’abdomen et, à l’automne, son état empira irrémédiablement. C’était la période de la déstalinisation et il continua d’écrire de nombreux articles sur le mouvement communiste international. Il succomba au printemps de l’année suivante, d’un cancer du pancréas.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article237739, notice YAMAKAWA Hitoshi, version mise en ligne le 29 juillet 2022, dernière modification le 28 juin 2022.

ŒUVRE : YAMAKAWA Hitoshi zenshū (Œuvres complètes de YAMAKAWA Hitoshi), en vingt volumes, 1966.

SOURCES : Ouvrage publié sous la direction de YAMAKAWA Kikue et SAKISAKA Itsurō, YAMAKAWA Hitoshi jiden (Autobiographie de YAMAKAWA Hitoshi), 1961. — ARAHATA Kanson, Kanson jiden (Autobiographie de Kanson), 1961. — Revue, Kirisuto kyo shakaishugi kenkyū (Etudes sur le socialisme chrétien), numéro 2, 1958. — Numéro spécial de la revue Shakaishugi (Socialisme), YAMAKAWA Hitoshi kenkyu (Recherches sur YAMAKAWA Hitoshi), 1958. — Ouvrage publié sous la direction de KOYAMA Kōken et KISHIMOTO Eitarō, Nihon no hikyōsantō marukusushugisha (Les Marxistes japonais non communistes), 1962. — OKAMOTO Hiroshi, Nihon shakaishugi seitō ronshi jōsetsu (Introduction à l’histoire des doctrines des partis politiques japonais d’obédience socialiste), 1968.

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