Par Jean-Louis Ponnavoy
Né le 14 mai 1902 à Uzès (Gard), massacré le 21 août 1944 à Nîmes (Gard) ; cheminot ; victime civile.
Marcel Bonhomme était aide-ajusteur au service du Matériel à l’entretien des voitures à Nîmes. Il était marié et domicilié 84 avenue de Camargue à Nîmes.
Le 21 août 1944, il partait au travail lorsqu’il fut prit dans une embuscade route d’Uzès. Pour éviter le danger, il escalada une palissade et c’est à moment à 6h45 qu’il fut tué par l’éclatement d’une grenade allemande.
Il obtint la mention « Mort pour la France » apposée sur son acte de décès et son nom figure sur le monument aux morts, à Arpaillargues-et-Aureillac et la plaque commémorative de la SNCF en gare, à Nîmes (Gard).
Par Jean-Louis Ponnavoy
SOURCES : Notice sans auteur dans Cheminots victimes de la répression Mémorial 1940-1945, sous la direction de Thomas Fontaine, Perrin/SNCF, Paris, 2017, page 1601.— Mémorial Genweb.