GALY-JAMOU Jean, Marius

Fils de Guilhaume Galy-Jamou, employé, et de Noémie Fauroux, sansprofession, Jean Galy-Jamou était typographe.

Il partit dans un chantier de jeunesse de juin 1941 à février 1942.

Le 19 août 1943, il rejoignit le maquis (de l’Armée secrète) de La Frau à Montségur, en Ariège. Il a été fait prisonnier le 22 septembre 1943 lors de l’attaque du maquis à Monstégur (Ariège) : Voir Jacques d’Andurain ; Louis Massa.

Condamné à quinze ans de travaux forcés par la section spéciale de la cour d’appel de Toulouse en février 1944, il a été détenu à Eysses à partir du 14 mars 1944. Suite à la révolte de la prison, il a été déplacé le 18 mai 1944 à Compiègne. Il fut déporté le 20 mai 1944 à Dachau puis le 12 décembre 1944 à Buchenwald, où il disparut.

L’état civil considère le 12 décembre 1944 comme la date de son décès. Il a été reconnu « Mort pour la France ».