ISNARD Marie-Louise

Par Gérard Leidet

Institutrice à Marseille, militante syndicaliste du S.N. (Syndicat national des institutrices et instituteurs de France et des colonies), secrétaire adjointe de la section des Bouches-du-Rhône du S.N. (1924-1925) ; militante féministe (secrétaire générale de la Fédération féministe universitaire des Bouches-du-Rhône) ; militante pédagogique.

Marie-Louise Isnard était, au début des années 1920, institutrice à Marseille, directrice de l’école maternelle des Catalans (rue Clotilde), quartier du bord de mer situé au début de la corniche. Elle résidait 7 rue Crinas, toujours dans le 7e arrondissement.

En 1909, les groupes féministes universitaires (GFU) constitués en 1903 pour défendre notamment l’égalité des traitements entre instituteurs et institutrices avaient formé la fédération féministe universitaire (FFU). Celle-ci se situait en marge du syndicalisme, même si un certain nombre d’institutrices syndiquées, dont Marie-Louise Isnard, y militaient. De ce fait, elle participa à l’assemblée générale de la Fédération féministe universitaire (F.F.U) qui se tint à Lyon à l’occasion du congrès national du syndicat national des institutrices et instituteurs publics de France et des colonies (communément appelé « syndicat national ou S.N. ».) qui eut lieu les 7 et 8 août 1924 au palais du conservatoire. Près de 250 délégués et plus de 500 auditeurs assistèrent à ce congrès. Marie-Louise Isnard ressentit un certain plaisir à rencontrer la presque totalité des congressistes venus assister à la réunion de la F.F.U. A ces derniers s’étaient joints en effet un certain nombre d’enseignant.e.s qui n’étaient pas membres du syndicat national car la Fédération féministe universitaire était autonome, et regroupait les féministes de l’enseignement quelque soit le syndicat ou l’association auxquels elles appartenaient. Le rapport moral, établi par madame Castel-Bieilh, secrétaire nationale de la F.F.U marqua, selon elle, les progrès et la « prospérité croissante » de la Fédération. L’ appel pressant à tous les féministes présents pour l’extension de groupes départementaux résonna particulièrement pour Marie-Louise Isnard qui s’investissait fortement depuis plusieurs années dans le groupe des Bouches-du-Rhône. Elle rendit compte de cette assemblée générale dans le « bulletin mensuel des institutrices et instituteurs publics (section des Bouches-du-Rhône) » notant en particulier les interventions de Marthe Pichorel qui rendit compte de la vie du journal de la F.F.U, L’action féministe, tout en répondant aux critiques ayant trait notamment à des articles sur la maternité libre qui avaient « effarouché quelques bons esprits ». Marie-Louise Isnard intervint notamment auprès du comité de Paris afin que l’envoi du journal ne soit plus effectué en vrac comme les années précédentes mais « individuellement » à chaque abonné.e, escomptant une plus grande rapidité dans le service d’abonnement des militant.e.s. Après la question encore bien actuelle des intérimaires de guerre évoquée par Marthe Pichorel, Marie-Louise Isnard fut chargée de présenter le rapport sur la réversibilité de la retraite sur le conjoint et les enfants mineurs. Le débat qui suivit, très fécond, montra que les adversaires de cette revendication se situaient tous, selon ses mots, « dans le camp masculin »…Une contribution importante de Mme Grimmer sur la protection de l’enfance clôtura la soirée, ce qui fit écrire à Marie-Louise Isnard que « notre féminisme n’est pas à vues étroites et égoïste, mais il s’intéresse passionnément aux grandes questions sociales, et tout particulièrement à l’avenir de la race (sic ?) »...

Après avoir été membre de l’Amicale « Union et association pédagogique », Marie-Louise Isnard faisait partie du bureau du syndicat national des institutrices et instituteurs publics qui avait succédé à cette amicale en se transformant en syndicat en 1920. Lors de la rentrée de l’année scolaire 1924-1925, elle était secrétaire adjointe (« vice-secrétaire » comme indiqué sur le bulletin du syndicat) d’un bureau (nommé par « acclamations ») qui comprenait par ailleurs : Bernard Varèse (Président) ; Mme Nicolas et Mazet (vice-présidents) ; Armand Bernard (secrétaire) ;Jules Gautier (trésorier), Mme Darbon (vice-trésorière) ; Mlle Bouffard (bibliothécaire), et Jouve (archiviste). Elle fut nommée, lors de ce même conseil d’administration du 9 octobre 1924, responsable à la rédaction du Bulletin mensuel de la section des Bouches-du-Rhône (ex-Union et Association pédagogique) dont le comité, animé par quatre membres du bureau (Marie-Louise Isnard, Mme Darbon, Jouve, et Mazet, instituteur lui aussi à l‘école des Catalans) était complété par cinq autres militants : Victor Etienne, ancien Président du syndicat (1922-1924), Blanc, Camillle Miroglio, Jean Mouton (futur secrétaire général de la section du S.N. des Bouches-du-Rhône (1932-1934), et Poggi.

C’est d’ailleurs dans la rédaction d’articles pour le bulletin, davantage que dans ses interventions orales dans les instances du syndicat, (assez rares au demeurant), que l’on trouve la trace de l’activité syndicale de Marie-Louise Isnard. Cependant, lors du conseil syndical du 12 février 1925, elle exposa le cas d’une institutrice pourvue du C. A (certificat d’aptitude) à l’enseignement des langues vivantes qui attendait depuis de longs mois sa nomination pour un poste de professeur.e. Marie-Louise Isnard fut désignée – ainsi que Mme Darbon et M. Nicolas – pour intervenir auprès de l’Inspecteur d’académie. Le 12 mars elle rendit compte de la démarche effectuée en faveur de cette institutrice auprès de l’I. A., et assura le suivi du dossier à Paris, par voie hiérarchique, en écrivant à Louis Roussel, secrétaire général du Syndicat National des institutrices et instituteurs (1920-1932). Après avoir assisté le 16 juin à la réunion annuelle de la commission de surveillance de l’institut Bouquet de Caire Val (maison de retraite et de convalescence des institutrices des Bouches-du Rhône), elle fit le point sur la situation matérielle et morale de l’établissement. Le bilan financier, favorable en 1925, ne masquait pas les manques matériels de la maison dépourvue en linge, vaisselle, et literie… Marie-Louise Isnard releva dans le bulletin du syndicat ces insuffisances, évalua les quantités indispensables pour les investissements futurs, et proposa une gestion maîtrisée (« Il faut savoir dépenser à propos »). Elle mit à profit sa contribution pour s’adresser en particulier à ses collègues institutrices convalescentes ou « anémiées par les fatigues de notre rude profession », leur rappelant combien elles avaient tort de ne pas profiter de cette maison si accueillante. Elle conclut en évoquant la joie, la gaîté, l’enthousiasme rayonnant que les jeunes institutrices apporteraient aux pensionnaires plus âgées et un peu isolées : « pour les unes et les autres, il y aurait bonheur et profit ». Le 14 juillet suivant, elle participa à la journée « pleine d’entrain cordial et d’heureuse animation » qui eut lieu à la maison de retraite et de convalescence de Caire Val. Elle salua la rencontre entre les institutrices de la région venues à l’occasion de leurs trois journées de congé avec la doyenne des institutrices du département, Mme Lihou, ainsi que les qualités morales personnelles de la directrice de l’établissement, Mme Fabre, organisatrice de cette initiative.

Pour beaucoup de féministes, notamment les militantes de la fédération unitaire de l’enseignement (FUE-CGTU), l’affiliation de la FFU à une « organisation bourgeoise » (le Conseil national des femmes françaises) était inacceptable. Marie-Louise Isnard ne partageait pas cette position. Au printemps de 1925, elle participa à la campagne de la FFU (reliée à celle des autres groupements féministes) pour assurer des permanences en mairie afin d’y recueillir les noms des femmes désireuses de recueillir leurs droits politiques. En attendant le résultat de cette consultation publié par les soins du Conseil national des femmes française, elle espérait y trouver la forte présence des femmes de Marseille et des militantes féministes du département. Elle releva alors les progrès du « bon féminisme », constaté selon elle, dans les milieux les plus divers. Consultant ses listes elle y retrouvait des ouvrières, des employées, des fonctionnaires qui côtoyaient les noms de « bourgeoises et autres privilégiées de la fortune ». Ces femmes, unanimes à réclamer leur place dans la vie sociale et politique, commençaient à éprouver un sentiment profond, celui de la solidarité qui devaient les unir. Sans distinctions de classes sociales, de religion ou d’idées politiques, précisait Marie-Louise Isnard, elles avaient toutes su mener un travail en commun, s’organiser pour conquérir leurs droits. Pourquoi, s’interrogeait-elle, toutes ces femmes ne continueraient-elles pas « après la victoire » (elle ne précisait pas laquelle) à rester aussi étroitement unies pour la défense du foyer, de la famille et de la justice ? Pourquoi, laissant un peu de côté « les sentiers si vainement battus de la politique pure, ne formeraient-elles pas le grand parti national qui mettrait en tête de son programme les réalisations économiques et sociales que les hommes n’ont pas encore su réaliser »...? Autant de questions qui laissaient entrevoir chez elle une conception assez autonome du mouvement féministe (un « grand parti national » des féministes extérieur aux organisations du mouvement ouvrier...?), centré sur des valeurs plutôt traditionnelles mais sans doute liées au contexte du premier féminisme ( « pour la défense du foyer, de la famille et de la justice »). Elle conclut sa « Tribune féministe » parue dans le bulletin du S.N. de juin 1925 par un appel volontariste aux institutrices du département : « Aidez les militantes, apportez-nous votre aide matérielle et morale, venez à nos réunions, donnez votre adhésion à la FFU, abonnez-vous au journal ! ». Elle se faisait toujours un devoir de diffuser très régulièrement dans le syndicat L’action féministe, mais son féminisme, assez ouvert par bien des aspects, ne la conduisait pas à porter une préoccupation permanente en direction des seules femmes enseignantes, et des seules femmes salariées. De ce point de vue, elle se démarquait assez nettement de l’orientation des militantes syndicalistes de la FUE qui pensaient (depuis le congrès fédéral de Marseille de 1911) que la propagande et l’action féministe devaient trouver leur place au sein du syndicalisme enseignant, sous la forme, par exemple, de comités d’actions féministes constitués dans les syndicats départementaux.

Lors de l’assemblée générale du 9 juillet 1925, consacrée notamment à l‘élection des membres renouvelables du conseil syndical (C.S.) elle obtint 183 voix sur 195 votants, et fut élue membre du C.S. en compagnie de Mme A. Macchia, institutrice à Arles (194 voix), responsable de la rubrique « Le coin des poètes » dans le bulletin, qu’elle illustrait de ses propres productions littéraires, et Mme Nicolas, institutrice à Marseille, rue de l’Olivier (195 voix) ; sept instituteurs complétaient le conseil (Aillaud, Guillot, Mariani, Millet, Musso, Poggi et Vedel).

À la rentrée d’octobre 1925, toujours membre du bureau, elle occupait le poste de secrétaire pédagogique, une autre dimension de son engagement syndical au côté de celui de militante féministe. Membre de la délégation « Fédération des fonctionnaires », elle animait la commission pédagogique composée de quatre militants (trois instituteurs, Jouve, Village et Pinatel complétaient cette commission), et demeurait membre du comité de rédaction du bulletin. Dans la partie pédagogique du bulletin, elle fit publier avec ses collègues de la commission, un rapport de M. Pigatty, de la Fédération des Amis de l’instruction laïque (AIL) relatif au projet d’organisation d’une exposition de travaux scolaires dans le département. Militante passionnée par la pédagogie spécifique et singulière de l’école maternelle, elle était abonnée à L’Éducation enfantine alors « journal mensuel d’initiation maternelle » publié depuis 1905 aux Éditions Fernand Nathan. La revue avait été créée avec Pauline Kergomard (1838-1925), ancienne inspectrice des écoles maternelles. Comme beaucoup d’institutrices, Marie-Louise Isnard fut très influencée par la pédagogue qui avait été à l’origine de la création de l’école maternelle, par son rôle central dans la formation des maîtresses de maternelle, par la lecture, enfin, de son ouvrage L’éducation maternelle dans l’École (paru chez Hachette en 1886 et 1895, en deux volumes) dont elle avait retenu un des principes essentiels : « le jeu, c’est le travail de l’enfant, c’est son métier, c’est sa vie ». Au printemps 1926, c’est elle qui établit les liens entre l’Association française pour l’avancement des sciences et la section départementale du syndicat national des institutrices et des instituteurs. Cette association, qui regroupait des centaines de chercheurs répartis en 22 sections par catégories scientifiques, sollicitait l’adhésion du S. N. afin que le syndicat apporte sa contribution à la section pédagogique de l’association présidée par Paul Langevin. Il y avait, selon Marie-Louise Isnard un intérêt majeur à faire se rapprocher les domaines de la recherche de celui de l’enseignant, praticien dans sa classe ; à grouper aussi autour de l’école des « défenseurs éclairés » afin que celle-ci se rapproche toujours davantage « de la vie et du réel »… Aussi, elle fut déléguée du S.N. au 50e congrès de l’Association française pour l’avancement des sciences qui se tint à Lyon du 26 au 31 juillet 1926. L’ordre du jour en était très dense : école unique ; école active (apport des pédagogies novatrices et résultats de leurs expériences) ; problèmes de psychologie expérimentale appliquée à la pédagogie (collaboration effective des psychologues et des enseignants) ; les jeux chez les enfants (histoire universelle des jeux et études comparées par pays) ; monographies locales et régionales (le blé, le pin, la vigne, l’olivier par le groupe varois). Elle intervint en suggérant que Marseille et le département des Bouches-du-Rhône, « si riches en industries intéressantes », apporteraient leur contribution à ces travaux, et que la section pédagogique du S.N. était toute disposée à adhérer au programme de travail de l’Association française pour l’avancement des sciences. Beaucoup de questions évoquées (l’école unique, l’école active, notamment) étaient familières à Marie-Louise Isnard et à ses camarades instructrices et instituteurs.

« S’il y eut une question débattue vivement parmi les instituteurs, ce fut bien celle de la lutte contre la guerre et des moyens pour parvenir à une paix réparatrice des horreurs de la Grande Guerre ». On peut trouver certains échos de cette affirmation de Jacques Girault (voir « source ») déclinée tout au long de l’entre-deux guerres, dans certains débats menés, dès les années 1920, au sein de la section des Bouches-du-Rhône du S.N. Marie-Louise Isnard introduisit cette question à deux reprises, en mars puis en mai 1926, lorsqu’elle analysa dans le bulletin syndical les travaux d’Horace Thinet issus de son ouvrage, L’Éducation pacifiste. Elle y rappelait les illusions que représentaient les délégations, les discours, et autres représentations « démagogiques » censés depuis 1918 « tuer la guerre » ; mais aussi celles contenues dans ces « belles leçons en classe sur le pacifisme », insuffisantes pour créer chez les élèves et dans les masses l’esprit de paix. Il fallait se fonder non sur les mots, mais sur les actes, refaire notre « éducation d’éducateur » pour faire ensuite celle des citoyens. C’était là, la tâche de « L’école de la paix » et de son son organe L’éducation pacifiste, rédigée en allemand et en français afin de créer entre institutrices, instituteurs et professeurs des deux peuples, une « émulation » pour le bien commun. De l’entente avec les pacifistes allemands était né le rapprochement pédagogique franco-allemand, aussi Marie-Louise Isnard souhaitait ardemment que « L’École de la paix » fût ce lieu où hommes et femmes de bonne volonté échangeraient leurs points de vue sur l’éducation à la paix en prenant appui sur deux objets de réformes essentielles : la discipline scolaire qui fixait des principes pour l’élévation personnelle des écoliers et des lycéens, et les livres qui permettaient la diffusion partagée des idées pacifistes. Répondant aux questions de plusieurs collègues institutrices, sur la discipline notamment, et radicalement fidèle aux principes de « L’École de la paix », elle préconisait l’établissement d’une discipline librement consentie qui ne demandait rien à la force. En conséquence, Marie-Louise Isnard prônait non seulement la suppression absolue des châtiments corporels dans la famille et à l‘école, mais aussi une action constante des enseignants contre les histoires « impérialistes, sadiques, policières, criminelles, et même contre le cinématographe leur infâme propagateur » ! Enfin, elle était une farouche partisane de la suppression de tous les jouets et jeux militaires, notamment de toutes armes (même en carton) dont le caractère symbolique acclimatait les jeunes esprits à leur usage : « Les jeux guerriers et les livres de guerre enseignent la guerre ; les jeux instructifs et les livres qui cultivent l’esprit, enseignent la paix. Plus de canons ni de munitions pour les tout petits ! » conclut-elle dans son second article de mai 1926 qu’elle prolongea par la longue citation d’un poème de Madeleine Vernet (militante pacifiste, éducatrice et fondatrice de l’orphelinat L’Avenir social) : « Aux mères »…

Lors de l’assemblée générale du 11 mars 1926, les négociations menées avec le syndicat général (S. G., départemental) avaient abouti à un référendum se concluant en faveur de l’adhésion au S.N. La « fusion » était devenue, en partie, effective : dix membres du conseil syndical du S.G. remplaçaient dix membres démissionnaires du S.N. Parmi les institutrices sur le départ on relevait les noms de Mmes Bouffard, Granet et Macchia ; pas celui de Marie-Louise Isnard. Or, quelques mois plus tard, en octobre 1926, son nom disparut des instances dirigeantes du syndicat national.

Syndicaliste, militante féministe, pacifiste, pédagogue, Marie-Louise Isnard a sans doute occupé une fonction pionnière, déterminante, dans les commencements du syndicalisme enseignant, en tout cas celui qui se structura, au début des années 1920, autour du syndicat national des institutrices et instituteurs. Elle symbolisa assez bien - avec quelques autres militantes de la fédération unitaire de l’enseignement (F.U.E) ou du S.N. telles Mlle Beltrano, Suzanne Durand, Jeanne Féraud, Juliane Labrosse ou Marie Vidal - le rôle éminent que jouèrent les femmes dans le syndicalisme des instituteurs et institutrices, à Marseille et dans les Bouches-du-Rhône, en ce début de XXe siècle. Et ce, jusque dans les instances dirigeantes du syndicat, même si la place qu’elles occupèrent, loin de les rendre invisibles, demeura néanmoins bien minoritaire.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article242178, notice ISNARD Marie-Louise par Gérard Leidet, version mise en ligne le 18 août 2021, dernière modification le 12 septembre 2021.

Par Gérard Leidet

SOURCES : Syndicat national des institutrices et instituteurs publics de France et des colonies, Bulletin mensuel de la section des Bouches-du-Rhône (Ex : « Union et association pédagogique »), années 1924-1927. – Arch. Dép. Bouches-du-Rhône : cote SNI 316 – Loïc Le Bars, La Fédération unitaire de l’enseignement (1919-1935), aux origines du syndicalisme enseignant, Éditions Syllepse, 2005. – Jacques Girault, « Le SNI et le pacifisme dans les années 1930 », intervention au groupe FEN/CRHMSS, 15 décembre 1993. –

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