Par Jean-Luc Marquer
Né le 13 mai 1925 au Gua (Isère), blessé le 22 août 1944 au Pont-de-Claix (Isère) et mort à l’hôpital des suites de ses blessures le 20 septembre 1944 à La Tronche (Isère) ; résistant de l’Armée secrète (AS).
Albino, Victor Bolzon était le fils de Narciso, Alexandre Bolzon, cimentier, né à Piombino Dese (Italie), et de Joséphine, Catherine Buzzi, née à Sutrio (Italie), son épouse.
La famille habitait aux Saillants, un village de la commune du Gua (Isère), puis déménagea pour Le Pont-de-Claix (Isère).
Il avait un frère d’un an plus âgé, Louis, qui rejoignit le maquis du Vercors fin juin 1944, et qui fut porté disparu, considéré comme mort au combat le 21 juillet 1944 à Vassieux-en-Vercors (Drôme).
Albino Bolzon s’engagea dans la Résistance et rejoignit les rangs du maquis de l’Oisans.
Il fut blessé dans les combats pour la libération du Pont-de-Claix (Isère) le 22 août 1944 et mourut à l’hôpital de La Tronche (Isère) le 20 septembre 1944.
Il obtint la mention « Mort pour la France ».
Son nom figure sur le monument aux morts du Pont-de-Claix, sur une plaque commémorative dans l’église Saint-Étienne de cette commune et sur le Mémorial du maquis de l’Oisans à Livet-et-Gavet (Isère).
Voir : Le Pont-de-Claix, 30 décembre 1943, juillet, août 1944
Par Jean-Luc Marquer
SOURCES : AVCC, Caen, AC 21 P 25996 (nc). — SHD, Vincennes, GR 16 P 69221 (nc) ; GR 19 P 38/4. — Mémoire des hommes. — Mémorial GenWeb. — Site Maquis de l’Oisans. — État civil.