ROUCH

Résistant « sédentaire » rattaché au maquis de Rieumes de l’Armée secrète (Voir Delattre Jules), Rouch fut tué le 7 juillet 1944 lors d’une opération non localisée précisément en Haute-Garonne : il fut tué par l’explosion d’un pylône électrique saboté par le maquis. Ce maquis d’abord cantonné près de Rieumes recrutait et intervenait depuis la basse vallée de l’Ariège (Auterive) et de la Lèze à l’est jusque dans le Comminges à l’ouest. Plus tard, il fut cantonné dans une forêt de Fabas (Ariège), limitrophe de la Haute-Garonne (Comminges). Il participa à la libération de Muret.
Nous ignorons où habitait Rouch. Il n’y a pas de dossier à son nom au Service historique de la Défense (SHD), ni à Vincennes, ni à Caen. Son nom n’est recensé sur aucun des monuments aux morts de la Haute-Garonne. Il n’apparait que dans le dossier d’homologation du maquis de Rieumes (état des morts, disparus et déportés) de cette unité, déposé au SHD à Vincennes.