CARRIÉ Henri, Léo, Louis, Bernard

Henri, Léo, Louis, Bernard Carrié était le fils d’Urbain, Marius Carrié et d’Hermine Viguié son épouse.
Célibataire, il habitait à Toulouse (Haute-Garonne) avec sa mère, veuve.
Élève de l’École normale d’instituteurs de Toulouse, il s’engagea dans la Résistance et rejoignit les rangs de la 4203e compagnie de FTPF du Tarn, qui fut intégrée aux Forces françaises de l’Intérieur.
Ses services sont homologués à partir du 6 juin 1944.
Il fut tué, à 18 ans, dans les combats de la Libération d’Albi (Tarn) le 22 août 1944.
Henri Carrié obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué résistant, membre des Forces françaises de l’Intérieur.
Son nom figure sur une plaque dédiée aux combattants FTP à Albi aux côtés de Lautier Maurice, Zyskowski Bodeslaw (fils), Zyskowski Bodeslaw (père), Rabec Pierre, Ruiz Denis, Espie Aubin, Adamski Stanislas, Bergamini Edmond et Blanc Émile.
Son nom figure le monument aux morts du quartier de Saint-Martin-du-Touch à Toulouse, sur le monument commémoratif aux FTPF du Tarn à Blayes-les-Mines (Tarn) et sur la plaque commémorative aux élèves et anciens élèves de l’école normale et aux instituteurs de la Haute-Garonne à l’INSPE de Toulouse.