DIVOUX Jean

Par Jean-Louis Ponnavoy

Né le 18 juillet 1926 à Raon-l’Étape (Vosges), exécuté sommairement le 4 septembre 1944 à Bertrichamps (Meurthe-et-Moselle) ; résistant

Jean Divoux était le fils de Jean Nicolas et de Marguerite Boudot. Il était célibataire et domicilié à Raon-L’Étape (Vosges). Il exerçait le métier de graniteur.
Il entra dans la Résistance au sous-groupement 3 des Vosges, secteur de Saint-Dié, Groupe mobile d’Alsace-Vosges (GMA).
Capturé par les Allemands au cours du combat de la ferme de Viombois à Neufmaisons (Meurthe-et-Moselle), il a été fusillé le jour même à Bertrichamps, selon la date portée sur l’acte de décès.
Son corps ne fut découvert que beaucoup plus tard car l’acte de décès fut dressé le 17 décembre 1944 sur la déclaration de Pierre Mélinand, âgé de 59 ans, garde champêtre à Bertrichamps.
Selon Mémoire des Hommes, il obtint la mention « Mort pour la France », cependant cette mention n’apparaît pas sur l’acte de décès et sur Mémorial Genweb, il n’y pas d’information.
Son nom figure sur la stèle commémorative à sa mémoire, située à la lisière sud du bois du Hamelin, à Bertrichamps (Meurthe-et-Moselle) et sur la plaque commémorative 1939-1945 de la mairie, à Raon-l’Étape (Vosges).

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article244734, notice DIVOUX Jean par Jean-Louis Ponnavoy, version mise en ligne le 7 janvier 2022, dernière modification le 21 février 2022.

Par Jean-Louis Ponnavoy

SOURCES : Service historique de la Défense, AVCC, Caen, Cote AC 21 P 121011 (nc) et SHD, Vincennes, GR 16 P 186759 sans homologation (nc). — Mémoire des Hommes. — Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès n° 25).

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