Par Jean-Louis Ponnavoy
Né le 3 janvier 1904 à Grendelbruch (Meurthe-et-Moselle), mort en action le 1er décembre 1944 à Grendelbruch ; bûcheron ; résistant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Eugène Seel était le fils de Charles Seel, maçon (Maurer), et de Françoise Schaller, son épouse.
Il exerçait le métier de bûcheron. Il était domicilié 62 Bruchstrasse, à Grendelbruch (Bas-Rhin) et se maria le 25 juillet 1930 à Grendelbruch avec Marie Cécile Berger. Le couple eut au moins deux enfants.
Eugène Seel entra dans la Résistance aux FFI du Bas-Rhin, Groupement de la vallée de la Bruche, secteur de Molsheim.
Il fut tué au combat par l’explosion d’une mine le 1er décembre 1944 à 21 heures, à Grendelbruch.
L’acte de décès fut dressé le 4 décembre 1944 sur la déclaration du père.
Il fut reconnu « Mort pour la France », mention portée en marge de l’acte de décès le 4 juin 1948.
Son nom figure sur le monument aux morts, à Grendelbruch.
Par Jean-Louis Ponnavoy
SOURCES : Service historique de la Défense, AVCC, Caen, Cote AC 21 P 180204 (nc) ; GR 16 P 542892 sans homologation (nc) et GR 19 P 67/8 page 14.— Mémoire des Hommes.— Mémorial Genweb.— Geneanet.— État civil (acte de décès n° 27).