CLIPPE Claude.

Par Marie-Thérèse Coenen

Solre-sur-Sambre (aujourd’hui commune d’Erquelinnes, pr. Hainaut, arr. Thuin), 10 décembre 1937 – Namur (pr. et arr. Namur), 23 août 2021. Ouvrier métallurgiste puis employé, militant chrétien, dirigeant jociste, dirigeant du Mouvement ouvrier chrétien de Walcourt (pr. Namur, arr. Philippeville), permanent puis président national des Équipes populaires.

Claude Clippe à l’inauguration des locaux du CARHOP, rue des Moucherons, Bruxelles, 1986 (CARHOP, fonds Claude Clippe, album photo, reproduction M.-T. Coenen).
Claude Clippe à l’inauguration des locaux du CARHOP, rue des Moucherons, Bruxelles, 1986 (CARHOP, fonds Claude Clippe, album photo, reproduction M.-T. Coenen).

Le père de Claude, Gaston Clippe, naît le 19 septembre 1911 à Solre-sur-Sambre. Il est menuisier de formation et ouvrier beurrier. Mobilisé en 1940, il est prisonnier pendant plus de trois ans. Revenu quasiment aveugle, il est reconnu comme grand invalide de guerre. Jeune homme, il était jociste à Solre-sur-Sambre. Après, il est membre de l’Équipe populaire locale. Il décède le 22 juin 1979. Sa mère, Léonce Dubois, naît le 19 septembre 1911 à Solre-sur-Sambre et décède à Walcourt le 12 janvier 1986. Femme au foyer, elle milite dans la section locale des Ligues ouvrières féminines chrétiennes (LOFC, mouvement devenu en 1969, Vie féminine). Le couple a deux enfants : Claude, l’ainé, et Michel, né le 3 décembre 1949.
Claude fait son école gardienne et ses études primaires à l’école libre de Solre-sur-Sambre de 1944 à 1951. Il poursuit ses études à l’Université du travail à Charleroi, de 1951 à 1955, dans la section industrielle des ouvriers des machines-outils, qu’il termine avec distinction.

Élevé dans un milieu chrétien, Claude Clippe souligne l’influence de son instituteur, Maurice Desgain, sur son engagement. Ce dernier, membre de la démocratie chrétienne, prisonnier politique pendant la Seconde Guerre mondiale, oriente son enseignement vers les réalités sociales, politiques et humaines et répète à ses élèves l’adage suivant : « Mieux vaut mourir debout que vivre esclave à genoux », qui guide Claude Clippe tout au long de son parcours.

Claude Clippe débute sa vie professionnelle en septembre 1955, comme tourneur, ouvrier sur machine-outil, dans la société Dutrannoit à Charleroi (pr. Hainaut, arr. Charleroi). Cette société fabrique des presses. D’avril 1956 à septembre 1957, il fait son service militaire dans l’aviation et obtient le brevet de spécialiste en mécanique moteur d’avions spéciaux J65. Démobilisé, il retrouve son poste de travail grâce à l’action d’un délégué syndical qui plaide sa cause auprès de son employeur. Pour le jeune travailleur, seul syndiqué chrétien (affilié à la Centrale chrétienne des métallurgistes de Belgique - CCMB) dans l’entreprise, ce soutien forge une conviction qu’il gardera toute sa vie : « L’unité syndicale est à l’œuvre à la base » (CARHOP, fonds Claude Clippe, n° 1, questionnaire en préparation d’une notice pour le Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier en Belgique (DBMOB), juillet-août 2021).
Claude Clippe quitte Dutrannoit en janvier 1958 pour aller travailler sur le site français de la multinationale Baume & Marpent, une entreprise de construction métallique et de matériel ferroviaire, jusqu’en janvier 1958. Commence, pour lui, un parcours de permanent au sein des organisations ouvrières chrétiennes.

À quinze ans, Claude Clippe s’affilie à la Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC). Avec l’aumônier des Œuvres sociales chrétiennes pour la Thudinie (pr. Hainaut, arr. Thuin) qui n’est autre qu’Antoine Dhanis, dit Tony, il relance la section locale et en devient président en août 1955. Comme tout militant, il participe à la vie du mouvement local, mais aussi fédéral et national. On le retrouve, participant aux semaines d’études à Floreffe (pr. et arr. Namur) qu’il considère comme une école de formation à partir des réalités de la vie ouvrière ! En février 1958, il quitte le travail en usine pour accepter le poste de permanent fédéral à la JOC du Brabant wallon, section Wavre - Court-Saint-Etienne (arr. Nivelles). Comme beaucoup de jocistes, Joseph Cardijn l’enthousiasme. Cette rencontre et les échanges qu’ils ont eus ont forgé l’adulte engagé qu’il deviendra (CARHOP, fonds Claude Clippe, n° 1, …).

Le mariage de Claude Clippe, le 8 août 1959, avec Lucienne Piette, met un terme à son engagement dans les organisations de jeunesse. À cette occasion, l’abbé Pierre Donnez présente aux jeunes mariés, ses vœux de bonheur et de fécondité : « Je pense pouvoir associer à ces quelques lignes, la sympathie de tous les membres de la section des jocistes de l’Institut technique de Wavre, qui ont pu bénéficier de l’encouragement et de l’expérience d’un jeune travailleur au service des jeunes travailleurs » (CARHOP, fonds Claude Clippe, n° 2, lettre de l’abbé Pierre Donnez à Claude Clippe, 7 août 1959).
Lucienne Piette est née le 12 février 1937 à Solre-sur-Sambre. Ouvrière dans l’industrie textile à Binche (pr. Hainaut, arujourd’hui arr. la Louvière) jusqu’à son mariage, elle est militante à la LOFC-Vie féminine et volontaire à la section de Floreffe de la Croix-Rouge de Belgique. À Floreffe, elle devient gardienne encadrée, « Mamy Lulu », employée par le service communal. Cette forme de garde d’enfant au domicile de la gardienne se développe dans les années 1970, comme réponse au manque de places dans les crèches dans les villages et aux besoins de familles. Le couple a trois enfants, Christine (née le 8 mai 1960), Nadine (née le 8 novembre 1962) et Manu (né le 25 décembre 1965).

Après son mariage, Claude Clippe devient permanent, pour trois ans, dans les Groupes d’amitié. Il s’agit d’assurer l’aide et la préparation des jeunes au service militaire ainsi que l’animation des groupes de miliciens dans les casernes tant pour maintenir un réseau d’amitié qu’une certaine pratique religieuse (DEBATTY M., « Un nouveau président à la barre du Mouvement. Entretien avec Claude Clippe », Debout. Bulletin de liaison des équipiers namurois, octobre 1982, p. 2). Le jeune couple s’installe à Bruxelles avant de revenir, en avril 1964, dans la région pour un bref passage (dix mois), Claude devenant employé à la mutualité chrétienne à Lobbes (pr. Hainaut, arr. Thuin).

Élu secrétaire par le Bureau de la Fédération du Mouvement ouvrier chrétien (MOC) à Walcourt, Claude Clippe occupe cette fonction de février 1965 à août 1972. Sa mission est d’assurer la présence les organisations du mouvement ouvrier chrétien dans cette région semi-rurale (syndicat local, mutualité, coopératives) et soutenir le développement des organisations éducatives, les Équipes populaires (EP), les LOFC-Vie féminine et les organisations de la jeunesse ouvrière. Il représente le mouvement au sein de la démocratie chrétienne, une tendance politique du Parti social-chrétien (PSC).
Claude Clippe met ces années à profit pour poursuivre sa formation intellectuelle, en s’inscrivant à l’Institut supérieur de culture ouvrière (ISCO), dans le groupe de Charleroi, de 1966 à 1970. Cette formation, basée sur des petits groupes, fonctionne de manière décentralisée. Elle permet d’obtenir, au terme de quatre années, un graduat en sciences sociales du travail. Ce programme exigeant suppose une présence aux cours, trente samedis par an, ainsi que de consacrer une soirée par semaine pour travailler les contenus en sous-groupe. La formation est validée par l’Université Notre-Dame de la Paix à Namur qui cosigne le diplôme, après la défense d’un mémoire et d’un travail annexe. C’est dans ce cadre que Claude Clippe présente, en 1970, une enquête réalisée auprès des travailleurs de sa région intitulée Approche de la mentalité ouvrière en région semi-rurale, travail qu’il dédicace à son père et à sa mère. Il présente également un mémoire annexe portant sur la philosophie d’Emmanuel Mounier et son actualité contemporaine. L’ISCO, lancé en 1962 par le MOC, en est encore à ses premiers essais. Claude, comme secrétaire fédéral du MOC, est délégué de son groupe et apporte un soutien aux enseignants. Il s’occupe de la promotion de la formation dans la région et fait le relais avec Max Bastin et ensuite Émile Creutz*, les pilotes de ce programme à la Centrale d’information et d’éducation populaire (CIEP), le service socioculturel du MOC.

En 1972, Claude Clippe opte pour les Équipes populaires (EP). Il devient mi-temps permanent à la Fédération de Namur et mi-temps au Centre national. À Namur, il lance, avec son équipe fédérale, un journal, Debout. Bulletin de liaison des équipiers namurois, dont le premier numéro sort le 3 décembre 1974 : « Nous voulions valoriser tout ce qui se disait, se faisait, se vivait dans les Équipes, dans le monde du travail et dans la Fédération […] Je récoltais les articles, les frappais, et tournais les stencils […] C’était le travail normal du permanent ainsi que l’assemblage, le collage des timbres et l’inscription des adresses […] À cette époque, il n’y avait pas d’employée à Namur » (Debout, n° 100, (mai 1991), p. 10-11). Désormais, il s’installe, avec sa famille, à Floreffe qui devient sa commune d’adoption et où il anime également une EP.
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En 1977, Claude Clippe passe à temps plein au Centre national des EP où il retrouve son ami et compagnon de Solre-sur-Sambre, Maurice De Backer. En évoquant son engagement, il souligne l’approche intégrale en vigueur à cette époque : « il fallait être disponible six jours sur sept pour le mouvement, et si, par hasard, une soirée se libérait, il se sentait obligé d’aller rencontrer un équipier, un animateur d’une équipe locale plutôt que de prendre du temps pour ses proches. Ce n’était pas facile à vivre pour les siens et c’était sans doute exagéré » (Entretien avec Marie-Thérèse Coenen, Floreffe, 23 juin 2021).

En 1982, Claude Clippe est élu président – il succède à Maurice De Backer –, par le Bureau national des EP pour un mandat de trois ans, renouvelable. Âgé de quarante-cinq ans, il est le cinquième président des EP. Il occupera cette fonction jusqu’au 30 août 1989. À l’occasion de cette passation de témoin, André Dejardin, journaliste à Vers l’avenir, interroge, en mars 1983, Maurice De Backer et Claude Clippe, sur le sens de leur engagement. Pour eux, être militant s’acquiert par l’expérience de la vie ouvrière et par le partage d’une culture ouvrière. « À cet égard », observe le journaliste, « De Backer et Clippe par leur passé familial sont des hommes d’expérience ouvrière. L’un et l’autre passant par la JOC, ont reçu l’empreinte de Cardijn et la foi chrétienne à laquelle l’un et l’autre se réfèrent, ne semble pas passer par des cours de théologie, mais bien par Jésus incarné, un Jésus présent dans l’humain, dans le vécu du monde du travail » (DEJARDIN A., « Les équipes populaires, une sorte de JOC des travailleurs adultes », Vers l’avenir, jeudi 17 mars 1983). Claude Clippe nuance dans un autre entretien : « Cette démarche de foi est devenue davantage une recherche de sens, où chacun peut avoir l’occasion d’exprimer ce qui motive sa lutte dans un dialogue vrai et égalitaire » (« Travailleurs en équipe », L’appel, novembre 1982, p. 19).

Comme président des EP, Claude Clippe devient membre du Bureau national du MOC. Il est actif aux Familles populaires à Lourdes (FPL), service commun aux Équipes et à Vie féminine, qui organise chaque année, des pèlerinages à Lourdes, administrateur du Centre de promotion socio-culturelle (CPC), un partenariat entre les Équipes et Vie féminine, créé par son collègue Guy Gossuin* (Haine-Saint-Paul (aujourd’hui commune de La Louvière, pr. Hainaut, arr. La Louvière), 11 décembre 1932 – Evere (Bruxelles), 28 septembre 2016), assistant social, permanent national aux EP, en 1972, pour promouvoir l’accès des classes populaires aux nouveaux médias ainsi que le Centre d’animation et de recherche en histoire ouvrière et populaire (CARHOP) constitué officiellement en ASBL, en 1980.
Au niveau interne, le mandat de Claude Clippe est marqué par l’adoption des options fondamentales du mouvement EP en 1982 et le 40ème anniversaire des EP. À cette occasion, une manifête se déroule à Floreffe, son fief. Plus de 5 000 personnes se retrouvent sous le signe de la culture et les pratiques artistiques en milieu populaire avec une exposition originale présentant des artistes du Soir et de la nuit du 21 juin au 5 juillet 1987, des débats, des films… et beaucoup de convivialité.

Au niveau international, Maurice De Backer et Claude Clippe sont mandatés par les Équipes pour les représenter au Mouvement mondial des travailleurs chrétiens-section Europe. Il participe, à ce titre, à de nombreuses rencontres qu’il qualifie « d’expériences riches et interpellantes, en lien direct avec les réalités vécues par les travailleurs et travailleuses dans les différentes régions du monde où le mouvement est présent » (Entretien avec Marie-Thérèse Coenen, Floreffe, 23 juin 2021).

Après avoir pris sa prépension, Claude Clippe est admis à la retraite le 1er janvier 1998. À cette occasion, la Centrale nationale des employés (CNE) lui décerne le titre de Syndiqué d’honneur pour ses 30 années d’affiliation à la centrale. Quelques années auparavant, en 1986, la Confédération des syndicats chrétiens (CSC) lui octroie la distinction syndicale de 3ème classe.

Claude Clippe est un chrétien engagé, fidèle et critique parce qu’il aime l’Église et le message libérateur du Christ. Il est membre de la Commission d’étude et de pastorale ouvrière (CEPO), et membre de l’Assemblée générale et du Comité du Conseil général de l’apostolat des laïcs de la Belgique francophone (CGAL qui devient la Commission interdiocésaine des laïcs) qui rassemble une cinquantaine d’associations chrétiennes. Le CGAL met l’accent sur la paix et le désarmement, la reconversion des industries de guerre et sur la construction d’une Europe. « Une Europe », précise-t-il dans un entretien avec un journaliste polonais, « qui soit une authentique communauté humaine, sociale, culturelle, spirituelle de justice et de paix. Nous tenons à ce que tous les projets humains trouvent leur inspiration profonde dans le message libérateur de l’Évangile » (Entretien entre Lucien Even et Claude Clippe, « 50 ans après l’éclatement de la Seconde Guerre mondiale, pour une Europe plus fraternelle », paru en polonais dans ZA I Przeciw, n° 39 (1687), 24.IX.1989, Varsovie, p. 4-5). Élu président du CGAL en 1989, il pilote avec la vice-présidente, Geneviève Ryckmans-Corin (née le 26 février 1930, mandataire politique représentant le PSC, aujourd’hui Centre humaniste démocrate-cdH), et le groupe de travail « Passeport 2000 », la première Assemblée interdiocésaine des catholiques en Belgique francophone qui se tient à Louvain-la-Neuve (commune d’Ottignies, aujourd’hui pr. Brabant wallon, arr. Nivelles), le 25 septembre 1994. Plus de 13 000 personnes y participent.

Claude Clippe est un chrétien fidèle. Il aime l’Église et le message libérateur du Christ, mais reste critique face à son évolution dont il dénonce les conservatismes et les rigidités qui se multiplient ces dernières décennies. « J’ai mal à mon Église », écrit-il dans L’appel en janvier 1995. Il dénonce le propos de Jean-Paul II quand il met la focale sur le rôle du prêtre et l’importance du magistère, réduisant les laïcs à en être de simples auxiliaires : « Aucune paroisse ne peut leur être confiée et même la présidence d’un conseil paroissial doit revenir au curé, le rôle des laïcs étant simplement consultatif. […] Outre la douche froide dont sont porteurs les documents romains, ils ont un ton autoritaire, abrupt et sec, il y manque souvent la référence aux droits de la conscience personnelle. […] Que les responsables ne s’étonnent pas si un certain découragement se manifeste » (CLIPPE C., « Le cri d’un chrétien ordinaire », L’appel, janvier 1995).
En conclusion, il invite les chrétiens, membres de communautés de base, de relever le défi de la vraie coresponsabilité. Il s’agit, pour lui, d’un défi majeur pour l’avenir de l’Église. En 2009, dans une carte blanche publiée dans Vers l’Avenir, il commente les décisions de Benoit XVI : « La plupart de celles-ci me semblent aller vers le retour d’une Église de plus en plus frileuse et moyenâgeuse sans aucune perspective d’ouverture au monde et aux hommes du XXIe siècle : insistance sur Humanae vitae, refus de la pilule, du préservatif, du mariage des prêtres, de l’accès au sacerdoce des femmes, amalgame homosexualité et réchauffement climatique, etc. Et voilà qu’aujourd’hui, Sa Sainteté le pape réhabilite les adeptes de Monseigneur Lefebvre, parmi lesquels un évêque révisionniste […] Si le pardon du péché est un précepte évangélique, l’oubli des fautes est autre chose. "Va et ne pêche plus" (mais n’oublies pas que tu as péché). Trop, c’est trop ! Par cette décision, le pape sème la division à l’intérieur et à l’extérieur de l’Église. […] De nouveau, j’ai mal à mon Église » (CLIPPE C., « Le Saint-Esprit, personna non grata au Vatican ? », Vers l’avenir, 28 janvier 2009).

Claude Clippe est aussi auteur d’un très beau crédo, Je crois : « Je crois… Cela me fait vivre, donne tout son sens à ma vie, à mon engagement de travailleur avec d’autres travailleurs, dans les Équipes populaires et le mouvement ouvrier » (CARHOP, fonds Claude Clippe, n° 4, extrait de « Je crois », s.l., s.d..

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article245298, notice CLIPPE Claude. par Marie-Thérèse Coenen, version mise en ligne le 1er février 2022, dernière modification le 1er février 2022.

Par Marie-Thérèse Coenen

Claude Clippe à l'inauguration des locaux du CARHOP, rue des Moucherons, Bruxelles, 1986 (CARHOP, fonds Claude Clippe, album photo, reproduction M.-T. Coenen).
Claude Clippe à l’inauguration des locaux du CARHOP, rue des Moucherons, Bruxelles, 1986 (CARHOP, fonds Claude Clippe, album photo, reproduction M.-T. Coenen).
À droite de l'image, Claude Clippe à l'occasion de ses 60 ans, aux côtés de Josette Thibeau, ancienne secrétaire générale de Vie féminine, s.l., 1997 (CARHOP, fonds Claude Clippe, album photo, reproduction M.-T. Coenen).
À droite de l’image, Claude Clippe à l’occasion de ses 60 ans, aux côtés de Josette Thibeau, ancienne secrétaire générale de Vie féminine, s.l., 1997 (CARHOP, fonds Claude Clippe, album photo, reproduction M.-T. Coenen).

ŒUVRE : « Le cri d’un chrétien ordinaire », L’appel, janvier 1995 – Avec RYCKMANS G., « Avant-propos », dans Conseil général de l’apostolat des laïcs, Passeport pour l’an 2000. Cinq défis majeurs vus par des catholiques en Belgique francophone, Bruxelles, 1996, p. 5-6 – « Le Saint-Esprit, personna non grata au Vatican ? », Vers l’avenir, 28 janvier 2009, article repris dans Floriffoux. Feuille paroissiale, 15 février 2009, p. 1.

SOURCES : CARHOP, fonds de la JOC, fédération de Thuin, correspondance, 1950-1960 – DEBATTY M., « Un nouveau président à la barre du Mouvement. Entretien avec Claude Clippe », Debout. Bulletin de liaison des équipiers namurois, octobre 1982 – « Claude Clippe », dans Qui est qui en Belgique francophone, 1985-1989, Bruxelles, Éditions BRD, 1985, p. 153 – Entretien avec Marie-Thérèse Coenen, Floreffe, 23 juin 2021 – CARHOP, fonds Claude Clippe, en particulier n° 1, questionnaire en préparation d’une notice pour le Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier en Belgique (DBMOB), juillet-août 2021.

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