Par Annie Pennetier
Né le 17 février 1902 à Droux (Haute-Vienne), abattu le 25 août 1944 à Bonneuil-sur-Marne (Seine, Val-de-Marne) ; artisan maçon ; FFI.
Jean Courivaud était le fils de Martial Courivaud, domestique, âgé de 25 ans à sa naissance et de Marie Besse, couturière son épouse, âgée de 24 ans, domiciliés à La Brousse, commune de Droux (Haute-Vienne). Il s’était marié le 20 décembre 1924 à Droux, avec Marguerite Blanc, née le 10 mars 1901 à Droux, décédée le 10 juillet 1997 à Monein, (Pyrénées-Atlantiques). Ils avaient au moins deux enfants, Gilbert Courivaud (1926-1976) et Geneviève (1931-1944).
Jean Courivaud était domicilié 69 rue du Rancy, actuelle rue Paul-Vaillant-Couturier à Bonneuil-sur-Marne. Dans le cadre des combats de la libération, le 25 août 1944, des sentinelles allemandes l’abattirent alors qu’il rentrait chez lui après son travail de maçon. Transporté à l’hôpital intercommunal de Créteil, son décès y a été constaté à 12h30.
Reconnu « Mort pour la France ». Il a été homologué FFI statut militaire.
Son nom est inscrit sur le monument aux morts de Bonneuil-sur-Marne.
Par Annie Pennetier
SOURCES : AVCC, Caen, AC 21P 109492 (nc). — SHD, Vincennes, GR 16P 147345. — Mémoire des hommes. — Barty Mekri, association Bonneuil en Mémoires. — État civil, acte de naissance. — Geneanet.