Militant de Lyon (Rhône), Alier fut compromis pendant les journées insurrectionnelles d’avril 1834 et put prendre la fuite. Il bénéficia néanmoins de la Cour des Pairs d’un non-lieu avant l’ouverture des débats.
SOURCE : Cour des Pairs. Procès politiques, 1830-1835, Inventaire dressé par J. Charon-Bordas, Paris, Archives Nationales, 1983. CC 571 d 3 n° 531.