Cousin (ou frère ?) d’Adolphe Alisse, Jules Alisse appartint au néo-Temple (avec P.-L. Mathieu et H. Carnot*) et à la Société de la morale chrétienne. Les deux Alisse participèrent au mouvement saint-simonien dès 1825 et le quittèrent en 1829 après avoir frondé contre Enfantin et Bazard aux côtés de Buchez.
SOURCES : Hippolyte Lazare Carnot, Sur le saint-simonisme, lecture faite à l’Académie des sciences morales et politiques, Paris, Picard, 1887, in-8°, 45 p. — François André Isambert, De la Charbonnerie au saint-simonisme. Étude sur la jeunesse de Buchez, Paris, Éd. de Minuit, 1966. — Bibl. de l’Arsenal, Fonds Enfantin, ms. 7 644/58-60 et 7815/1.