Par Louis Botella
Cheminot ; syndicaliste CGT de l’Algérois (Algérie).
Depuis décembre 1930, Germain Raffi était membre de la commission de contrôle du syndicat confédéré [CGT] des cheminots d’Alger (réseau de l’État).
Il fut élu, au cours du printemps de l’année suivante, membre de la commission exécutive de l’Union des syndicats confédérés de cheminots d’Algérie ; fonction qu’il occupait toujours en avril 1932.
En janvier 1931, Germain Rafi ou Rafy était membre de la commission de contrôle du syndicat confédéré [CGT] du personnel des services actifs du réseau de chemin de fer de l’État à Alger.
En mars de la même année, Germain Raffi fut signalé comme étant secrétaire général adjoint du syndicat CGT des cheminots de Maison-Carrée [El Harrach].
En mars 1946, un militant nommé Germain Rafy fut signalé comme étant le secrétaire général du syndicat des cheminots de Bordj-Bou-Arreridj. S’agit-il de la même personne ?
Par Louis Botella
SOURCES : La Tribune des cheminots, organe de la Fédération nationale [CGT] des travailleurs des chemins de fer, 1er janvier 1931 (Institut d’histoire sociale de la Fédération CGT des cheminots). — La Voix du Cheminot Algérien, organe de l’Union des syndicats confédérés [CGT], décembre 1930, mars, juin-juillet 1931, avril 1932 (BNF Gallica). — Le Cheminot Algérien, organe officiel de l’Union d’Algérie [CGTU puis CGT], mars 1938, février-mars 1946 (BNF Gallica).