Né en 1815 à Privas (Ardèche), mort antérieurement à 1858. Bourrelier à Chomérac (Ardèche). Frédéric Argaud fut inquiété pour sa participation au mouvement armé de Chomérac et des environs de Privas, après le coup d’État du 2 décembre 1851. La Commission mixte de Privas disait de lui : « Chef socialiste ; a pris une part active au mouvement ; très dangereux », et le condamna à « Algérie plus », il fut gracié en 1853. Voir Jean-Louis Fialon*, François Ranc* père.
SOURCE : Elie Reynier, Histoire de Privas, t. III, p. 279.