Par Louis Botella
Commis au chemin de fer ; syndicaliste indépendant puis CGT de l’Algérois (Algérie).
Commis de 1ère classe en gare d’Alger, Marcel Revel figura, en février 1929, sur la liste des candidats présentés par le Syndicat indépendant des cheminots (SIC) lors de l’élection des délégués auprès du réseau PLM (Paris-Lyon-Méditerranée) en Algérie.
Le SIC fut l’émanation d’une scission intervenue au sein de l’Union des syndicats unitaires [CGTU] des cheminots d’Algérie.
En mai 1932, Marcel Revel fut signalé comme étant membre de la commission exécutive de l’Union des syndicats indépendants de cheminots (USIC) d’Algérie.
A la suite de la fusion, en avril 1932, de l’USIC avec la CGT, Marcel Revel était, en août de la même année, trésorier adjoint du syndicat confédéré [CGT] des cheminots d’Alger.
Il était à nouveau candidat en octobre 1936, au titre de la CGT réunifiée, lors de la désignation des membres du Conseil supérieur des chemins de fer en Algérie.
Par Louis Botella
SOURCES : Le Cheminot Algérien, organe officiel de l’Union d’Algérie [CGTU puis CGT], octobre 1936 (BNF Gallica). — Le Cheminot Indépendant, organe officiel du Syndicat indépendant des cheminots (SIC), février 1929 (BNF Gallica). — La Voix du Cheminot Algérien, organe de l’Union des syndicats confédérés [CGT], mai, août 1932 (BNF Gallica).