Né vers 1806, sellier à Croisy (Cher), sous la Seconde République, Denis Arturion était alors marié et père de cinq enfants. Soupçonné d’appartenir à la société secrète de Nérondes (Cher), il fut condamné à la déportation en Algérie (Afrique plus) en 1852.
SOURCE : Arch. Nat., BB30/399. — Notes de M. Pigenet.