Journalier, né en 1812, habitant Le Puy-en-Velay (Haute-Loire), Arthur Astier fut condamné par le tribunal correctionnel de cette ville, le 8 mai 1848, à huit jours de prison, pour « provocation, le 15 mars 1848, par discours et cris dans la rue, à la destruction à force ouverte des propriétés publiques et particulières ». Voir Allègre Jean-Pierre.
SOURCE : Arch. Dép. Haute-Loire, 7 M 59, pièce 2.