BELLINGER Henry

Mécanicien domicilié à Paris, chez un autre mécanicien, Linck*, Bellinger fut arrêté après l’attentat du 28 juillet 1835 (affaire Fieschi*). Un non-lieu à suivre ayant été prononcé avant l’ouverture des débats, il fut remis en liberté. Des lettres de lui ont été trouvées dans le portefeuille d’un ouvrier allemand nommé Ranke*.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article26170, notice BELLINGER Henry , version mise en ligne le 20 février 2009, dernière modification le 20 février 2009.

SOURCE : Cour des Pairs. Procès politiques, 1835-1848, Inventaire dressé par J. Charon-Bordas, Paris, Archives Nationales, 1984, CC 683 d 10 n° 120.

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