Mécanicien domicilié à Paris, chez un autre mécanicien, Linck*, Bellinger fut arrêté après l’attentat du 28 juillet 1835 (affaire Fieschi*). Un non-lieu à suivre ayant été prononcé avant l’ouverture des débats, il fut remis en liberté. Des lettres de lui ont été trouvées dans le portefeuille d’un ouvrier allemand nommé Ranke*.
SOURCE : Cour des Pairs. Procès politiques, 1835-1848, Inventaire dressé par J. Charon-Bordas, Paris, Archives Nationales, 1984, CC 683 d 10 n° 120.