Propriétaire à Castanet (Haute-Garonne), son pays natal. Les rapports de police signalent que depuis la révolution de Février, Béni-Barde se livrait à la propagande socialiste dans les campagnes. Il fut interné après le coup d’État, pour avoir manifesté à Toulouse à l’appel des journaux L’Émancipation et La Civilisation. Voir Cartier Louis, Dubernat François, Godoffre Henri, Noye André, Verdier Laurent, Vidal et Achard Marie.
SOURCE : Arch. Dép. Haute-Garonne, 4 M 76.