Né vers 1839, Théophile Berrue, fils d’un instituteur de Couy (Cher), lui-même ouvrier serrurier à Paris, fut inquiété, en décembre 1858, pour avoir envoyé à son père une lettre prévoyant un « coup de chien » à Paris, le 4 janvier. Lors d’une perquisition à son domicile, on découvrit un recueil de chansons séditieuses datées de 1849.
SOURCES : Arch. Dép. Cher, 30 U 248. — Note de M. Pigenet.